Les agents du capitalisme "vert"

Les agents du capitalisme "vert"

 

La duplicité des émotions est un art particulièrement prisé par les métastases du système actuel. Que l’on observe bien et avec détachement les objectifs de certains partis pour rallier à leur panache l’empathie, prioritairement le sentiment du bien faire, bien œuvrer, bien communier avec les autres et on s’apercevra très vite que ce modèle est au paroxysme de ces concepts dans le cadre de ce que l’on nomme l’écologie politique, qu’il ne faut pas confondre avec l’écologie ou le développement durable qui se base sur des réalités scientifiques et non sur la virtualité et pire encore le mensonge allié à l’ignorance.

Il est temps que nos concitoyens perçoivent le vrai visage de ce qui pourrait être une comédie mais qui ressort de la tragédie, de ces mouvements d’écologie politiques. Nonobstant le caractère infantile de leurs mots d’ordre, dénués du moindre pragmatisme comme du moindre réalisme, car fondés sur un axiome dénaturant l’Humain au profit du néant, reniant ainsi l’humain dans sa globalité pour lui substituer un ersatz aphone en reptation devant le matérialisme le plus brut, dont leur idole Gaïa est le symbole, les forces de ces mouvements, conditionnées par un sentiment d’avoir la raison au nom de pseudos sciences truffées de sophismes et de mensonges manichéens, cherchent à s’accaparer les sentiments d’altruisme et de bonté des citoyennes et citoyens sans que ces dernières et derniers ne le perçoivent au premier plan.

Car comment pourrait-on soupçonner que derrière les mots se cache un vampirisme dévoué aux majors du mercantilisme, tout ce contre quoi se "battent" ces pseudos mouvements ? L’économie a des raisons que la raison ignore mais que le portefeuille ne néglige pas. Face aux contraintes nées de la pénurie à long terme de ressources naturelles non durables qui ont fait et continue à faire la fortune de certains, si pour les scientifiques cela ne pose pas de problème, les produits de substitution existant : atome, énergie gravitationnelle, pour les premiers cela pose inévitablement le problème de leur survie en tant qu’acteur majeur.

D’où l’idée de faire glisser le capitalisme traditionnel vers un capitalisme "vert", en ignorant l’énergie nucléaire et gravitationnelle, pour des artefacts sans lendemain, tels ces éoliennes, et autres broutilles, qui coûtent plus cher en énergie qu’elles ne rapportent, et conditionnellement un matraquage systémique tendant à culpabiliser les Êtres Humains — qui sont rendus responsables de la pollution créée par les consortiums sans qu’ils ne disent mot à leur encontre se croyant systématiquement responsables de tout -, opération de propagande répugnante tendant à faire accepter l’inacceptable, le profit par essence (sans jeux de mots) de ceux-là mêmes qui sont responsables des maux pandémiques qui sont des faits de pollution, tant des corps que des esprits.

Au sein de ce cercle de propagande se tiennent les milices de la politique dite "écologique", avec ses recteurs, ses "penseurs", une vaste confrérie interlope et apatride, qui surenchérit sur la dévitalisation énergétique des Pays, et notamment qui déploie tout ce qu’il est permis ou non pour faire en sorte que les pays en voie de développement restent des pays en voie de développement afin que les trusts ne soient mis en concurrence dans ces repaires de paupérisme invraisemblable.

Je le dis sans ambages, ces "partis" politiques sont les supports inamovibles de cette dénaturation du système, qui veut que transfert ou non des moyens énergétiques, ceux-ci restent la propriété, non pas de leurs créateurs en leurs moyens de fluidités, mais des agents financiers et bancaires qui en contrôlent la finalisation. Ainsi depuis des années nous voyons au départ de pseudos ONG payées par des fondations de milliardaires dont les revenus viennent prioritairement des fastes de la pollution, s’ériger en officine de vertu, puis se transformer en "parti" politique en leurrant globalement les populations sur leurs buts réels et surtout sur leurs moyens de financement.

N’a-t-on jamais vu se battre ces pseudos mouvements contre les raffineries de pétrole, les laboratoires pharmaceutiques, non que jamais, bien entendu ils restent cois devant leurs financiers, et se gardent bien de protester lorsqu’on oblige presque une vaccination forcée à base de produits engendrant la létalité. N’a-t-on jamais vu se battre ces pseudos mouvements pour la survie de notre monde agricole, pour la mise en œuvre des OGM qui permettraient de nourrir le monde entier, que nenni, bien au contraire ils sont là pour tuer l’agriculture et surtout faire accroire que la famine peut régner, là où ils l’engendrent. On les voit percher sur les centrales nucléaires pour se battre contre l’atome bien entendu, alors que l’atome en sa fusion peut rendre indépendant énergétiquement l’ensemble des Pays de ce Monde.

Que l’on regarde de près les comptes de certaines "fondations" et notamment en France où sévit un institutionnel du mensonge qui se veut éminence grise du gouvernement, eh bien on ne peut que rire sur les intentions du personnage et de sa fondation, au même titre que l’on peut rire de cette "force" politique "écologique" qui brasse du vent, et surtout, par culpabilisation immobilise des Êtres Humains innocents qui se laissent corrompre par la litanie des "bonnes intentions" des messagers de cette pseudo "écologie".

Les agents de cette insanité sont parfaitement connus, leurs moyens de financement de même, il suffit d’analyser les curriculums des personnages et leurs degrés de dépendances, les comptes desdits partis, associations, fondations, ONG, - ce que je vous engage à faire - pour s’apercevoir de l’hypocrisie sans commune mesure qu’ils déploient. Combattants du capitalisme vert, du mondialisme apatride, sous des sourires angéliques, des tons goguenards, se cachent les agents d’un capitalisme fourvoyé qui fait de la récupération idéologique inverse afin d’en contrôler, et même les provoquer, les dérives possibles.

Ne soyez pas dupes, ici se tient le règne de l’auto servilité qu’il convient de démasquer sans relâche, et combattre tant sur le terrain scientifique que politique afin d’en éradiquer la perversité, et restituer à l’écologie sa véritable dimension qui est celle du développement durable, et non de l’illuminisme, du mensonge légiféré, de l’ignorance acclamée. Ainsi lorsque vous glisserez votre bulletin de vote dans l’isoloir, sachez pour qui vous votez réellement, le souci de votre planète où le souci des intérêts privés auxquels sont vendus ces pseudos partis qui se revendiquent de "l’écologie".

© Vincent Thierry