La dette publique en un mot
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- Catégorie : Politique
La dette publique en un mot
La dette publique est liée uniquement à l’emprunt sur des marchés mondiaux qui ressortent de prêts privés. Il serait temps de s’en rendre compte, et d’en tirer les conséquences. Il convient que chaque État reprenne ses droits de battre monnaie le plus rapidement possible pour sortir de cette impasse délirante. Un État ne doit pas être esclave d’un quelconque marché privé. Vous comprendrez mieux désormais les raisons de ce "mondialisme" qui se coordonne dans le cadre de ce "nouvel ordre mondial" qui voit le privé mettre la main sur les États, détruire les Nations, violer les Peuples de leur Identité, les asservir. Le Politique doit se remettre au travail et n’être plus le féal des intérêts privés !
Ces derniers ont commis la plus vaste escroquerie qui soit et poursuivent cette escroquerie transnationale en voulant ce jour faire payer les Peuples, par l’augmentation de l’âge de la retraite, la rigueur, en institutionnalisant un mensonge absolument remarquable, celui de faire accroire aux Peuples qu’ils vivent au-dessus de leurs moyens, etc, pour qu’ils prennent en charge leurs dettes de jeu. Ce langage repris par des pseudos politiques masque cette réalité infiniment repoussante : les intérêts privés se sont investis dans les États, au même titre que dans les entreprises, ont cherché par tous les moyens à obtenir des bénéfices de leurs placements et voient aujourd’hui les États incapables de rembourser lesdits placements comme leurs intérêts, et là, où en bourse on se tait devant cette perte sèche, on réclame aux Peuples qui n’ont nullement bénéficié de ces prêts qui n’ont servi qu’à rembourser les intérêts des dettes accumulées, de rembourser les perdants de ces prêts, personnes de droit privé qui n’ont rien à faire dans les États.
Si nous considérons la France, il manque actuellement deux cent quarante-cinq milliards dans les caisses de l’État partis en fumée grâce au pillage légiféré par les gouvernements organisés en faveur de ce parasitisme, bouclier fiscal et autres. On nous répète que si on ne se met pas à genoux devant le capital, il partira de France, mais qu’il parte ! Qu’avons-nous besoin de cette clique de prébendiers qui nous soumet à l’asservissement avec l’aide de sa gestapo politique qui n’est que mépris ! La solidarité Française retrouvera sa dimension sans nourrir ces parasites. Nous n’avons en aucun cas besoin de cette glu, notre Terre de France est l’une des plus riche au niveau agricole, notre Industrie qu’ils ont délabré une des plus puissante de ce monde, la qualité de nos services n’a pas à pâlir de celle desservie par d’autres Nations.
Nous paierons même leur place d’avion ou de bateau pour qu’ils rejoignent les pays qu’ils veulent afin d’assainir l’atmosphère de leurs délires maniaques de sadiques associés qui ne sont là que pour s’engraisser par le sang et la sueur du travail, et culte inouïe dans ce jeu de leur invention, faire payer leurs pertes aux Peuples ! En d’autres temps la révolution aurait eu raison de cette morgue et c’est au bout d’une pique qu’ils auraient fait leur dernier voyage. Mais aujourd’hui ce serait trop d’honneur de commettre ces actes pour ces monstres d’atrophie. Qu’ils rejoignent donc leurs compères, bandits de grands chemins, violeurs de peuples, escrocs de basse extraction, et s’auto protègent dans leurs îles barbaresques.
La crise est leur image, particulièrement répugnante : main mise de leurs intérêts privés sur les États. On a vu se précipiter à leur secours tous les États aux mains de leurs intérêts, on voit aujourd’hui cette caste nuisible demander dans notre Pays à ses citoyennes et ses citoyens de se saigner à blanc pour nourrir leur parasitisme innommable. Si l’on prend le cas de la Grèce, on ne peut que rire, si cela n’était trop grave, de voir le Peuple Grec soumis à ce qui ne représente rien, une dette qui ne pourra jamais être payée et sur laquelle ont été investis des intérêts privés. Les intérêts privés ont perdu comme ils sont en train de perdre dans la plupart des Pays Européens. Il convient de les remettre à leur juste place dans ce jeu dont ils ont ourdi les règles : ils ont perdu et jamais ne seront remboursés leurs mises qu’ils appellent dettes qui ne valent rien monétairement. Mais pour cela faut-il que les Peuples élisent des Femmes et des Hommes responsables qui n’ont pour but que le bien général et non le bien de cette caste de parasites qui n’a pas à s’immiscer dans le contrôle des États.
Que l’on observe la contrainte "européenne" à laquelle chaque Française comme chaque Français n’est pas lié, leur non à cette déficience ayant été trahi, et le chiffon de papier qui honore cette trahison ne valant rien juridiquement, on s’aperçoit aujourd’hui que la gouvernance économique est remise entre les mains de l’Allemagne qui a tout fait pour que les États empruntent au niveau mondial et non au niveau Européen, afin de défendre ses intérêts privés. Nous voyons à quel degré nous en sommes rendus, celui de cette impasse qui vient, magistrale et définitive. Non, nous n’avons en aucun cas à être dirigés par l’Allemagne au niveau économique Européen, non, nous n’avons pas besoin d’emprunter sur les marchés mondiaux, non, nous n’avons pas besoin de cette banque européenne qui n’est là que pour stériliser les États, non, nous n’avons pas à rembourser une dette spéculative liée à des intérêts privés qui ne vaut rien, strictement rien légalement et monétairement, non nous n’avons pas à obéir à l’outrecuidance du FMI qui est le valet de ce parasitisme.
La France comme les autres Pays Européens doivent reprendre dès maintenant leur indépendance totale vis-à-vis de ces marchés privés, et leur appliquer leurs propres règles, elle, comme les autres Pays doivent s’accorder dans le cadre d’une Europe des Nations qui aura pour facteur principal l’entraide économique, et non l’assouvissement de la spéculation spongieuse qui doit être soumise aux lois draconiennes de l’intérêt général. Vous comprenez aujourd’hui pourquoi les G x, y, z, ne feront rien car cénacles des valets de ces intérêts privés, quant à une Europe Politique. Il est temps que les Peuples se réveillent et par un vote massif exclue cette reptation qui n’a pas lieu d’être dans un État de Droit, Démocratique, où ne doit primer que l’intérêt général et non l’intérêt particulier, et ce ne seront les propos mielleux et attendrissants d’hommes et de femmes qui se disent politiques alors qu’ils ne sont que soumission et reptation devant les marchés privés qui y changeront quelque chose.
Il est temps de laver de fond en comble et à grande eau les écuries que sont devenues les Démocratie, dont le ridicule aujourd’hui épouse l’inanité, le sordide, l’asservissement à ces castes barbares qui se prétendent des "élites". Une guerre intellectuelle à l’encontre de ces croque-morts doit immédiatement être engagée afin de réduire au néant leur prétention, et chaque élection doit être rejet massif de leurs féaux.
© Vincent Thierry