L'insondable abîme
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- Catégorie : Politique
L'insondable abîme
Le monde s'enferme dans une dérive programmée où les actions s'enchaînent afin d'instituer cet artifice que l'on appelle le "gouvernement" mondial, brigué par toutes les appartenances infatuées de la perversion économique, régissant les partis politiques de droite comme de gauche qui s'agitent comme des girouettes afin de faire accroire en une quelconque détermination personnelle. Le cas de ce socialiste imbu de sa personne, lorsqu'on comprend enfin qu'il n'y a ni droite ni gauche, est typique de cette déviance instinctuelle qui rejoint la barbarie, qui veut laminer tous les acquis sociaux de tous nos pays enferrés dans la stupidité hilarante d'une "europe" dévoyée, s'appuyant sur un "euro" surfait advenant la faillite de nos économies.
Aux ordres, ce féal, remet en cause les 35 heures avec un aplomb qu'il veut extérioriser comme si cette idée lui était propre alors qu'elle vient du centre de commande de notre pauvre "europe" laminée, du groupe Bilderberg assignant ce prétendant au pouvoir qui depuis, telle la grenouille veut devenir un bœuf, tartuffe orgueilleux qui laisse rêveur quant au recrutement devenu de la manifestation de ce qui aurait pu être un ordre mondial qui ne sanctifie aujourd'hui plus que le désordre mondial, prévaricateur, génocidaire, barbare, qui se voudrait destinée des Peuples, alors que monstruosité, elle les enferme dans une espèce de bouillie humaine par métissage forcené, viol des Identités, dénaturation des Nations, destruction des libertés, surgissant une désintégration arbitraire.
Le pré cité aujourd'hui après sa saillie, permet d'enchaîner la réaction alliée, celle du soi-disant parti de droite, ici on voit la symbolique action réaction, et dans cette symbolique un débat inexistant préfigurant, comme ce fut le cas pour les retraites, la destruction de l'acquis social représenté par les trente-cinq heures, manipulation minable, perpétuée à l'infini qui ne prend que dans les esprits bercés d'illusion où pire domestiqués par des partis qui, toutes choses égales par ailleurs scient la branche sur laquelle ils sont assis, car sans l'aveuglement des Peuples, ils ne sont rien, tout comme ne sont rien leurs mandataires voilés, cachés au fond de leurs sociétés de pensées asymétriques qui encouragent le sommeil des Peuples en favorisant leur destruction culturelle, spirituelle et intellectuelle, afin de façonner le monde à leur image, morbide à souhait.
Face à cette dérive de plus en plus singulière et téméraire, les Peuples lentement se réveillent de leur léthargie, de l'accroire de leur impuissance, alors qu'ils sont la puissance réelle de ce monde, et découvrent avec horreur le couronnement que cherchent à établir les barbares sur leurs terres infectées par un sida mental relevant de la pandémie contre laquelle le seul vaccin reste l'éveil, pandémie accentuée par la permissivité accentuée accordée aux religions de la soumission afin de détruire dans l'esprit des Peuples, leur volonté! Il n'y a pas lieu ici de s'en étonner mais de bien comprendre à quel stade la manipulation grossière est exécutée, comme par cet individu obnubilé par un semblant de pouvoir qui l'écarte de toute raison.
La manipulation est un art de prestidigitateur, mais lorsque les ficelles de cet art sont reconnues, ce n'est plus un art mais une dérive et celles et ceux qui le pratiquent en regard n'ont plus alors aucune crédibilité. Le regard des Peuples se tourne alors vers leurs actrices et acteurs, et les interroge sur leurs mobiles, ces mobiles sans conviction, sans honneur qui préconfigurent le désert généralisé dans lequel ils disparaîtront obligatoirement, car simples outils de la mise en place d'une dictature dans laquelle ils n'ont aucune place, si veule est leur motif, prébende, domestication, déshonneur qu'ils ne peuvent se prévaloir d'aucune intégration dans le désordre qui se voudrait dominant, et qui nonobstant sa typologie voudrait faire accroire qu'il est ordre, ordre inverse oui, ordre naturel non.
Il convient que les Peuples en éveil se rebellent contre cette outrance par les voies de la Démocratie, en éliminant systématiquement des bulletins de vote tous les primates de la droite comme de gauche aux yeux rivés sur ce plan de la déchéance humaine qu'on appelle encore le "nouvel ordre mondial" alors qu'il doit se nommer le "nouveau désordre mondial", curée de toutes les prétentions de pseudos philosophies issues d'un illuminisme destructeur qui est en train de s'autodétruire lui-même grâce à l'éveil précité des Peuples, cet Éveil qui se poursuivra inéluctablement, car dans l'ordre vivant, contre poison à la mortelle errance qui s'imagine dominante.
Il n'y a pas besoin d'être grand clerc pour le voir, lorsqu’on observe le rejet total des histrions de la "politique" par l'ensemble des Peuples, on peut déjà mesurer la défaite de la barbarie, qui agitatrice, cherche encore à gagner le cœur des opinions en développant un concert forcené naturant un pseudo-terrorisme manipulé et manipulateur qui cherche à domestiquer le vivant. Quelle merveilleuse invention que le terrorisme pour faire s'unir dans une peur irraisonnée celles et ceux qui ne penseraient pas comme toutes celles et tous ceux qui n'ont de raison de vivre que la destruction des civilisations et de leurs supports mémoriels que représentent les Nations.
Plus l'instrument est énorme, mieux il passe dans les opinions, l'intelligence diminuant comme le carré de la population sollicitée, ce qui permet dans le cadre de la sauvagerie déployée d'institutionnaliser des réactions pavloviennes relevant du syndrome de Stockholm, où l'on voit des Peuples entiers se soumettre et en redemander auprès de leurs bourreaux qu'ils imaginent leurs libérateurs. Lorsqu'on regarde l'assassinat de nos concitoyens par des bandes armées, qui existent depuis des temps antédiluviens, revêtus de l'enveloppe du "terrorisme", il y a là mesure du fantasme le plus ridicule, cet assassinat étant privilège de la barbarie et non d'une action concertée pour établir une légitimité politique, ou simplement religieuse ou philosophique. Et il conviendrait ici de se poser la question : qui manipule qui ?
Dans l'Égypte Antique la symbolique du gouvernement était le fouet et le vivant, le vivant pour progresser, le fouet pour arrêter toutes dérives, dans notre monde régi par le « nouveau désordre mondial » et ses féaux ne subsiste plus que le fouet institutionnalisé, ordonnance de récompense. Ce fouet que l’on peut caricaturer par la récession économique doublée du sortilège terroriste, advient récompense pour toutes celles et ceux, masochistes en substance comme en essence, qui pour s'abstraire de la peur, viennent comme des larves se prosterner devant le « pouvoir » afin d’être protégé.
En matière de bêtisier on ne peut faire mieux, et ce mieux lentement s'instaure sous les yeux du commun, par une réaction spontanée face à ces barbaries qui s'entraident, celles recélées par le pire du nazisme comme du communisme qui ont investi toutes les sociétés de pensées, alliées aux intégrismes les plus farouches qu'ils soient d'ordre politique ou religieux afin de manier ce fouet et cette récompense prédéfinie, encensée par de pseudos philosophes, dithyrambes personnages qui voudraient donner de leçons de morales, les Balkans connaissant le courage de l’un d’eux devant la première balle tirée par des snipers, appelant au secours sa maman pour le sauver des vilains Serbes, la justice poursuivant le suivant pour trafic d'armes, enfin sommet de l'hypocrisie, le dernier qui osant l'investiture, tueur de nations par excellence, traînant derrière lui le pillage d'un brevet déposé par un ingénieur Français, permettant l'extinction des feux de pipeline, qui a rapporté quelques centaines de millions de dollars, à qui?
L'heure n'est pas à rire, lorsqu'on se sert du meurtre de nos enfants pour asseoir un décorum qui n'a pas la moindre consistance sinon celle de l'accroire, de cette manipulation désormais pavlovienne à souhait que les Peuple doivent subir. On ne peut que s'enchanter qu'existât encore un processus électif, jusqu'à quand ? Dans le lambeau de la démocratie en lequel nous vivons, qui permettra à tout un chacun de renvoyer à leurs chères études tous les prétendants à cette marche de somnambules à laquelle on ne nous convie, ni ne nous invite, mais bien au contraire que l'on nous impose.
Chaque élection de fait doit devenir écartement de ce prurit téléguidé, mais cela sera-t-il le cas en 2012 ? Tant d'innocents broyés par le mensonge, la terreur et l'euphorie de la médiocrité ?...
© Vincent Thierry