Renouveau

Renouveau

 

Il est toujours extraordinaire de voir avec quelle haine se dressent tous les tenants et aboutissants de ce mondialisme égaré contre la résurgence d'un mouvement National dans notre France livrée à la pandémie du sida intellectuel la plus éloquente. Participe de cet hallali, tous les pseudos journalistes, les pseudos philosophes, les pseudos associations de la "pensée unique", les coureurs de jupons des sectes les plus diverses et variées, les commissaires politiques de cette nouvelle Tcheka qui rôde dans les pouvoirs, que Saint Just aurait sans pitié clouée au pilori. Pauvre France emprisonnée par les dédales de l'infatuation, de cette exacerbation de ces petits "moi" qui ruinent sa pensée, sa grandeur et son honneur !

Ce serait tragique si nous vivions comme le vivent actuellement les Pays du Maghreb sous les auspices du couvre-feu, Pays en voie de libération ? L'histoire jugera lorsqu'on sait que le Sahel est une réserve de minerais que convoitent, sans surprise, toutes les puissances existantes, qui savent jouer de l'infortune comme de la fortune, en manipulant à souhait les uns les autres dans un jeu dont on voit les travers en Côte d'Ivoire et qui s'étendra obligatoirement à l'ensemble des Pays de cette Afrique du Nord regardée avec les yeux d'un enfant devant les cadeaux exposés au pied d'un sapin de noël.

L'engouement pour la libération des Peuples et donc de leur Nation à l'extérieur de l'hexagone par toutes les filières de l'internationale mondialiste trotskiste, communiste, national socialiste, ne peut que laisser interrogateur n'importe quel public, lorsque se lève enfin le rameau vert qui sortira la France des ornières dans laquelle elle a été enfoncée par toutes les dérives auxquelles nous assistons depuis des décennies, sous la houlette de l'atrophie la plus mutilante qui se soit jamais propulsée, celle de l'inconsistance, intellectuelle, et plus particulièrement morale, tant au niveau culturel qu'économique, que malheureusement aujourd'hui politique.

Les fondements de cette atrophie aujourd'hui cherchent à conserver leurs acquis basés sur le mensonge, l'ardeur à la destruction, cette destruction de notre Histoire, ce viol insensé de notre Peuple par une acculturation débridée et sans valeur, couronné par des lois iniques et barbares qui protègent les prétendants contre toute restitution de la réalité, au profit d'une virtualité sans existence sinon celle que du néant, à l'image de ce que l'on ose appeler de l'Art, tel cet étron qui trône sur la place de la Défense. Il est trop tard pour les satrapes, il est trop tard pour la démesure de cette oligarchie du néant qui cherche encore refuge dans le prétexte d'une culpabilisation inexistante, sinon dans leur intellect torturé par les maux qu'ils ont semés par toutes faces de notre sol.

Les anticorps progressent pour combattre intellectuellement l'ignominie, le parjure, la bêtise, la laideur, l'horreur consommée et consommable d'un monde de zombis livrés en pâture à l'institutionnalisation de la désintégration. À trop tirer sur la corde la corde se casse, à trop scier la branche sur laquelle on est assis, elle se brise, à trop vanter son inutilité sinon celle de la fantasmagorie, on se heurte à la réalité, cette réalité précieuse qui voit le Peuple se dresser contre la vanité de la duperie, qui voit le Peuple en son bon sens collectif lentement émerger de l'illusion dans laquelle on voulait le bercer avec des contes pour enfants, en fait de contes, des cauchemars, les cauchemars de l'errance greffés sur des Peuples sains que l'on cherche à accaparer, à destituer, à rendre esclaves, tel notre Peuple englué dans la torpeur de ce qui ne lui est d'aucune utilité.

Un ensemble de conglomérats issus de l'illuminisme le plus pur qui n'est pas là pour élever sa conscience mais bien au contraire pour la réduire dans une sous-conscience de larve. À telle fin qu'on enlève des programmes de l'Histoire, deux de ses acteurs majeurs, Louis XIV et Napoléon Bonaparte, ont rebâti l'histoire qui devrait commencer en 1945 ! Quelle outrance ! Aurait-on peur de voir les acteurs de l'histoire antérieure dans leurs actes, tous ces acteurs qui depuis 1917 consomment la mort, la famine, la pourriture intellectuelle, tous ces acteurs qui se cachent ou s'offrent au public en censeurs ou victimes, tous ces essors de la destruction, la destruction par deux guerres de la fleur de la jeunesse Européenne, la destruction des valeurs Européennes, toutes forces manipulées et manipulatrices qui ne se confortent que dans le carnage, le génocide des Peuples, leur avilissement, leur viol, dans une luxure débridée qui reflète la conscience de leurs porteurs, cyniques personnages que l'Histoire n'oublie pas, elle, car l'Histoire ne se cache pas, et les bibliothèques de par le monde retracent leurs forfaits, leurs prébendes, leurs lamentables déterminations à la destruction, leurs trahisons, pour le simple profit.

Mais ne verra-t-on pas bientôt détruire toutes les bibliothèques, brûler tous les livres pour complaire au mensonge organisé, cette duplicité déployée ? Il est temps que les régimes changent, et les Pays Européens ne s'y trompent qui voient d'un seul élan les porteurs des Nations se lever pour embraser ce continent en proie à la folie d'une domination cadavérique, celle du mondialisme apeuré de se voir lentement mais sûrement éliminé, sans se rendre compte qu'à force de conchier l'Humain, l'Humain se dresse et serre les rangs pour destituer l'hérésie qui veut l'endeuiller de sa pérennité.

Le monde sera effectivement, mais par-delà les méprises, les trahisons, les forfaitures, tous ces degrés qui s'auscultent et se congratulent en pensant dans une naïveté totalement hilarante que les Peuples ne voient rien, que les Peuples vont se laisser bercer par leurs théurgies morbides, leurs mensonges omnipotents, leurs croyances dévoyées. Ainsi de notre France s'élève un nouveau front contre cette antithèse du réel, qui bien entendu est présenté comme l'horreur suprême, alors que l'horreur est là, dans ses avancées destructives, économiques, culturelles, intellectuelles, spirituelles, là, devant les yeux du Peuple qui se voit tondre comme un mouton pour nourrir le parasitisme le plus éthéré, là, devant le Peuple qui se voit interdit de penser, là devant le Peuple qui se voit injurié et conchié du matin au soir par les prouesses dithyrambes de l'errance mondialiste, là, devant le Peuple qui doit disparaître au profit de l'esclavage le plus répugnant qui soit, là, devant le Peuple qui voit ses acquis sociaux, pour lesquels bien des Femmes et des Hommes du Peuple sont morts sous les balles, se réduire en peau de chagrin, là, sous les yeux du Peuple qui voit qu'il ne travaille non pour ses Enfants, non pour son avenir, non pour son devenir, mais pour nourrir tout le parasitisme du monde.

Et devant cette horreur que doit donc faire le Peuple, composé de toutes les couleurs, composé de toutes les Ethnies qui ont fait et bâti la France, essors d'une Histoire magnifique qui aujourd'hui bien entendu doit disparaître au profit d'une virtualité sans nom, que doit donc faire le Peuple? Continuer dans l'abêtissement, le défaut de critique, la méconnaissance du curriculum des prétendants, l'ignorance de leurs appartenances, doit-il continuer à se laisser faire ? Eh bien non, n'en déplaise aux philosophes de salons, aux écrivains de pacotilles, aux journalistes alimentaires, aux politiques prévaricateurs, le Peuple en ses racines a compris, et il n'a pas eu besoin de rechercher dans un monde de bibliothèques, encore moins sur internet les tenants et les aboutissants qui le mènent à un désastre.

Le bon sens, héréditaire, est là, et il s'impose, comme il s'impose dans tous nos Pays Européens dans le cadre de la véritable Démocratie, qui n'a jamais été oligarchie, pour d'une seule voix - et cela viendra, n'en déplaise à nouveau - élire la capacité contre la médiocrité, la capacité à élever le Peuple et non la médiocrité servant son servage. Ainsi bon vent jusqu'aux élections présidentielles à ce nouveau front qui se lève, et qu'il ne commette cette erreur commune, de se nucléariser, ce que tenteront d'imposer chez lui tous les errants du front "républicain", de quelle République parle-t-on ? Qu'il se garde à droite, à gauche, devant, derrière, sans jamais baisser le regard devant l'outrance, le verbiage, l'injure, l'opprobre.

Qu'il se garde de l'assassinat politique qui devient commune mesure dans ce petit monde livré à la barbarie, et qu'en tout lieu et qu'en toute place, il ne réponde à la démesure du langage de l'aberration qui cherchera par tous les moyens à affaiblir ses positions. Le silence est d'or devant le cynisme, ce cynisme qui prétend que ce nouveau front n'a pas de programme, n'a pas de réalité, n'est que l'horreur du national-socialisme ou du fascisme, deux faisceaux qui sont nés du socialisme qu'il n'est pas et ne sera jamais, car des couches de la Nation le porteur de ce traditionalisme qui émerge enfin sur les terres Européennes qui n'ont pas à être soumises, ni conquises, et ne le seront jamais, n'en déplaise, par le fléau de la barbarie et ses cohortes qu'elles soient apparentes ou inapparentes.

© Vincent Thierry