Les masques tombent

Les masques tombent

 

La politique Française est hilarante. Loin de respecter la Démocratie, tel qu’on le voit dans les élections cantonales de ce jour, on assiste comme de coutume au rush de la "bien pensée" bobo et bling bling, qui jamais grand jamais ne se portera à l’encontre du communisme, du trotskisme, ayant occasionné plus de cent millions de morts et continuant ce jour leur génocide, mais bien entendu s’attaquant à la pensée de la droite traditionnelle qui ne se prévaut d’aucun mort dans un quelconque goulag. Cette pensée nuit considérablement au devenir de notre Peuple comme de notre Nation, car cette "bien pensée" où pensée virtuelle ne voit l’Être Humain que comme un artefact déconnecté du réel s’adonnant avec joie à la perversion de tous les "ismes" réunis.

Nous y sommes dans ce regard malsain porté par leurs ectoplasmes systémiques sur la percée de la droite traditionnelle et du mouvement traditionnel de gauche emportée par des Êtres Humains et non ce bestiaire issu des sociétés dites de pensées où de leurs fourriers, ces antichambres de la mort où se voit contrainte la voie en son inverse, où se délite le pouvoir dans un arbitraire qui ne sied pas à la Démocratie. Car en matière de Démocratie, ces "bien-pensants" de la vanité, de la verroterie, de la pacotille, auraient bien besoin d’apprendre ce qu’elle est avant de fabriquer un habillage à ce qui ne se plie pas à leur pensée, pensée issue de cette coquille vide où se façonne le mondialisme ayant à ses ordres tous les laquais, les prébendiers.

Ces scories sans nombre qui s’éblouissent de leur incarnation tenue en laisse, qui de droite comme de gauche, agitées par la même main du système bancaire se congratulent d’accroire à leur importance, alors qu’elles ne sont que des pions sur l’échiquier, répétant ce qu’on leur dit de répéter, intarissables perroquets de cette théorisation de l’esclavagisme qu’elles ruissellent de dithyrambes. Ces artefacts aboient, relayés par les médias-cratie aux ordres qui voudraient culpabiliser le droit d’Être vivant, le droit à son Identité, le droit à son Peuple, le droit à sa Nation des Êtres Humains, bien plus humains que toutes ces potiches, dont la pire se retrouve dans ce mouvement écologiste, pantin désarticulé débitant d’une voix saccadée et impersonnelle, comme un écolier n’ayant rien compris au sujet apprends par cœur pour obtenir une friandise.

Que ne s’inquiètent celles et ceux qui sont honneur de notre Nation, dans le cadre de la Démocratie, ils sont déjà vainqueur, vainqueur sur le mensonge et la propagande issus des sociétés de pensées défendant la voie inverse, vainqueur sur le mépris de leurs castes, valets et laquais du mondialisme, qui tous se ressemblent dans ce signe particulier du dédain ou du sourire, marques de la morgue de celles et de ceux qui ne s’appartiennent plus et ne sont plus que des serviteurs aux ordres agissant pour détruire les Nations, serviteurs informes et glauques n’ayant plus aucune identité, défendant ce qui n’existe pas avec la rage de celles et ceux dont l’atrophie les empêche de voir plus loin que ce pourquoi elles et ils ont été formaté.

Que les tenants de la tradition ne s’inquiètent, toute cette peccadille est en voie de disparition, il n’en restera rien dans les vingt ans à venir, balayée par le vent de la Liberté qui souffle actuellement sur les Pays d’Afrique du Nord, qui s’engouffrera inévitablement dans nos pays d’Europe soumis au même joug d’une oligarchie de l’incapacité, que droite, gauche, écologie, extrême gauche, extrême droite, doigts de sa main flasque, défendent avec tant d’acharnement. La réalité tenue sous le joug revient plus forte que jamais, décimant ces gothas, ces encensements du moi, ces précieuses ridicules, tout ce cru avilissant l’Histoire Humaine, l’Histoire des Nations, l’Histoire des Peuples, l’Histoire des Identités, marquées par les fers du parasitisme, de cette déchéance voyant culminer le viaduc d’un autoritarisme qui masque une faiblesse inouïe, celle de la déshérence, du déracinement, de cet apparat sans gloire qui monte des châteaux de sables qui se renversent à la première tempête.

Cette tempête qui se lève, puissante, singulière, universelle, celle née des racines qui ne disparaîtront jamais et qui se redressent afin de s’ébrouer des scories qui voudraient les enliser dans l’opium matriciel de l’indéfinité, du malléable, de la réduction de l’Humain, à un corpuscule infirme dont on se servirait comme d’un kleenex pour asseoir une sous-puissance, celle d’une non-humanité réduite au service de la barbarie. Nous en sommes là, et ce ne sont les sourires de dédains, les trivialités offensives, les masques du paraître, qui y changeront quelque chose : on ne dirige pas un Peuple en lui parlant comme à un enfant de cinq ans, on ne détruit pas un Peuple par viol continu, sans qu’un jour il ne se réveille, et manifeste son autorité naturelle, celle de sa survie devant ce fléau entonné par les mondialistes de l’illuminisme le plus barbare, celui de la destruction de tout ce qui fait la Vie dans sa multiplicité.

Un jour il faut rendre des comptes, des comptes pour l’usurpation, le féodalisme, l’iniquité, la forfaiture, et à l’heure où sont pressurés comme des oranges les Peuples d’Europe par la barbarie bancaire, ce jour n’est pas loin. Souhaitons qu’il passe par les voies de la Démocratie, cette Démocratie conchiée par une oligarchie sans lendemain, une oligarchie qui ne se réjouit que dans l’esclavagisme, le paupérisme, l’illettrisme, l’acculturation totale, donnant comme maîtres à penser tout ce que la Nature Humaine repousse, encensant toutes les perversions les plus macrophages, la bestialité la plus répugnante, la prostitution des corps, des esprits, des âmes, la prostitution des enfants, des femmes et des hommes, encourageant la pharmacopée de l’oubli par l’institutionnalisation de la drogue, celle des dealers, mais aussi celle des laboratoires, asservissant tous les Êtres par leurs breuvages.

Pauvres errements qui un jour ou l’autre disparaîtront pour faire place au réel. Une réalité sans pitié montrant à quel stade en sont rendues nos sociétés dont les Peuples voient certaines de leurs parties humaines, l’Esprit mutilé, l’Âme évacuée, le Corps violé, devenir peau de chagrin, dépositaire d’une inculture notoire officiant avec un sourire benêt leur mise à l’abattoir, acquiesçant même en hurlant à leur désir inculqué de force d’euthanasie, d’avortement, pauvre hère en voie de disparition qui se complaît dans sa propre destruction. Il est trop tard pour cette pantomime de l’absurde, les anticorps naturels se dressent par les sociétés afin de les nettoyer de leurs scories, les rendre à ce qu’elles n’auraient jamais dû quitter, le no mad land de l’interrogation de celles et de ceux qui ne pouvant construire s’autodétruise en détruisant tout ce qui ne représente pas leur atrophie.

Ce drame est antique et antédiluvien, il surgit toujours afin d’obérer les mouvements sismiques tendant à l’aporie de la Vie, et rien ni personne ne peut se porter à l’encontre, surtout pas tous ces "ismes", convergences de la même nature immature qui si on les laissait faire renverraient l’Être Humain à l’âge des cavernes. La nature est équilibre et lorsqu’on cherche à la déséquilibrer, elle revient toujours à cet équilibre qui permet à la Vie de s’épanouir. Ainsi en va-t-il du mensonge allié à l’ignorance, qu’il ne peut se manifester au-delà des contraintes du réel, ce réel qui frappe de plein fouet, tel ce jour voyant les Pays soumis à une inflation factice du coût des produits agricoles, nouvelle bourse de la mort qui se nourrit de la mort, chantage de parasites qui ne peuvent plus opérer dans le délire préfabriqué d’opérations financières gérées par la virtualité.

Nous en sommes là, et ce n’est qu’un début, un vent de Carthage se lève sur l’horizon, le vent du réel qui ne peut continuer à être ainsi floué par toutes les aberrations nées des aigrefins qui ne peuvent vivre que sur la misère inconditionnelle, le pillage systématique, à leur petit profit. Il en est de l’économique comme du politique. Ainsi, si nous considérons notre Nation, serait-il temps de réveiller son agriculture, son industrie et la qualité de ses services, jusque-là obérés par les lois iniques d’une structure inopérante que l’on appelle l'"europe", renforcées par des organisations internationales OMC, FMI, soumises aux lois d’une dépendance grotesque à la barbarie mondialiste. Cela se fera lorsque seront brisés les fers dans lesquelles les Nations se sont repliés, fers de ces banques apatrides qui ne justifient aucun couronnement sinon celui de l’atrophie. Et comment donc se sortir de cette vassalisation sinon qu’en élisant une capacité Nationale ?

Voici ce qui doit être mis en œuvre et ce qui se met en œuvre au grand désespoir de tous les laquais de la barbarie. Le fruit est pourri, il tombe de lui-même, la branche sur laquelle était assise cette main qui voulait tout régenter est sciée, sciée par celles et ceux qui y étaient accrochés comme des phasmes sur le réel. Les masques tombent, et c’est très bien ainsi.

© Vincent Thierry