L'heure vient de sonner
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- Catégorie : Politique
L'heure vient de sonner.
L'intempérance est à son comble, la passion est exacerbée, et prolégomènes à toutes les duplicités, les errances médiatiques sont en génuflexion. On s'attendrait à un peu plus de dignité, tel n'est pas le cas dans notre Nation soumise à la phagocytation d'un mondialisme anachronique, pernicieux, qui acculture pour mieux défendre les nauséeuses conjonctions de ses épicentres. Relevons que la Nature reprend ses droits et que les bubons explosent en pagaille pour fluidifier l'influidifiable, dans une exponentielle qui n'est pas prête de s'achever. Après le tourbillon du pseudo-maître des événements du 11 septembre de sinistre mémoire et son immersion rapide, après l'appariement du faune que l'on sait occasionnant un suicide politique bienvenu, après la course aux saisons d'un FMI n'ayant plus aucune valeur, sinon celle de défendre des privilèges hérités d'une couronne qui vacillera inéluctablement, portant aux nues pour remplacer la lubricité le vol organisé des Françaises et des Français au profit d'un carnet d'adresses, nous attendons la chute de cette maison Usher du célèbre poète Edgar Poe, qui sans mystère révéla que le pourrissement obligatoirement s'accélère, et inévitablement disparaît.
Disparition du nouveau désordre mondial et de ses émules ? Oui et les Peuples applaudiront à cette chute fracassante de la barbarie, regardant se vider les rangs de l'errance et de leurs turpitudes basées sur des croyances sans lendemain. Car chevaucher le dragon n'est pas affaire d'officines de rentiers, ni débordements de frasques monétaires et encore moins de labiales dissonances ! La tripartition comme la quadripartition reprendront leurs droits sur cette déshérence accouplée à la seule matérialité, à cette vénalité issue de philosophies poreuses et incultes, d'indécences programmées, de jeux sans avenir sinon ceux de l'autodestruction de celles et de ceux qui les promeuvent. Le conte n'est pas terminé et viendra ce temps de la reconnaissance des appartenances, d'un breuvage insipide enchantant la voie inverse en lequel il se baigne, le breuvage de la mortelle errance accouplée à ses fétiches l'euthanasie et l'avortement, le viol des Peuples, la destruction des Nations, l'asservissement Humain au profit de sa vénération. Vénération misérable et sans avenir sinon celle d'une extinction, si tant il faut rendre à l'ombre ses ténèbres, et à la lumière son soleil invincible, et cela sera, sans heurts et sans compassion, car comment l'Être Humain pourrait-il avoir de la compassion pour celles et ceux qui ont choisi la voie inverse de la Vie ?
Ici le lieu, ici le temps, et ce lieu comme ce temps reste compté pour l'égarement, la malhonnêteté, la forfaiture, tous ces ingrédients de l'atrophie qui brillent encore de quelques parfums aux puanteurs consenties. Le consentement des Peuples ne peut tendre à l'infini, la mise en coupe réglée par les prédateurs non plus, et tel ce volcan qui irradie en Islande, tels les Peuples de l'Afrique du nord enchaînés encore, la tempête s'annonce dans nos Pays d'Europe, une tempête qui sera terrible, ne nous leurrons pas. L'Espagne mortifiée voit son Peuple déjà se dresser contre la nocivité des marchés de voleurs qui se gargarisent, applaudissent à la nomination de la forfaiture, sucent son sang comme des vampires, telle qu'ils le font en Grèce, au Portugal, en Angleterre, en Irlande, en Islande !
L'Europe multimillénaire, chrétienne, et souveraine, marche lentement mais sûrement vers sa résurgence, vers ce combat politique qui assurera sa survie face au nouveau désordre mondial dont elle se défera comme on jette une paire de savate usée, une paire de chaussures qui n'est pas à la pointure de son Histoire, car non écrite dans l'Histoire de ce monde, telle la peste aux pustules grossières voulant se faire règne sur le néant, car les Peuples d'Europe ne sont pas ceux de la traite des esclaves et lorsque exposés au dépouillement ils seront, la colère parlera d'elle-même, une colère qui viendra la terreur pour l'usurpation, sans pitié pour les tueurs des Nations, catharsis qui délivrera de ses chaînes l'Être Humain des chaînes de l’endettement instrumentalisé, répugnant, engraissant le parasitisme, des chaînes de la bestialité réduisant la culture à l'acclamation de la perversion et ses idoles, tous ces non-humains, atrophiés qui s'enchantent du vice, de la pédophilie, de la prostitution des corps, des âmes et des esprits, enchantant les chaînes du déshonneur voyant livrer des Peuples entiers au viol de l'aberration de la déshérence née, prismes de tours d'ivoire qui disparaîtront dans le feu de la colère Humaine, car enfin que peuvent dix millions de renégats à la Vie face à bientôt sept milliards d'Êtres Humain brandissant le drapeau de la Vie, rien, strictement rien, soit ils rentrent dans le sein de la Vie, soit ils disparaissent.
Le vent de Carthage vient de se lever, non contre la Rome Impériale, mais contre une Rome au nanisme délirant, image déformée de la Rome Impériale, lentement sa houle prends de la vigueur, contrairement aux espérances du parasitisme qui croyait qu'en récupérant les mouvements Arabes, ils tairaient le bruissement non d'une révolution, mais d'une mutation qui s'avance, une mutation qui s'accomplira qu'ils le veuillent ou non. Car la jeunesse de ce monde a bien d'autres espérances que celles de se retrouver réduite à l'esclavage par tout ce que compte la barbarie anachronique d'émules à travers ce petit monde. Ainsi serait-il temps aux phasmes de repenser leurs admonestations, leurs purulences, tous ces brouets que leur morgue ne saurait cacher, afin de survivre au déchaînement systémique qui s'avance, inéluctablement.
À trop vouloir tirer sur la corde, elle se casse. Actuellement effilochée, elle ne saurait perdurer mais bien se rompre. Il est déjà trop tard pour la monarchie anachronique, les valets serviles et leurs bouffons, ces satrapes inconsolables de la morbidité, théurgies de mages dans l'errance et la cupidité. Un combat s'apprête, le combat de la Vie sur la mort et l'esclavage, un combat qui se livrera dans les urnes, mais malheureusement non seulement dans les urnes, au regard de la méprise dont fait état cette sous-couche d'illuminés qui se voudrait dominante. L'heure a sonné de l'autodestruction de ce leurre qui s'imagine encore destin de l'humanité, pardon de l'humanité esclave de leurs ruts, de leur bestialité, de leur viol des Peuples et des Nations.
© Vincent Thierry