La guerre civile

La guerre civile

 

La guerre civile approche à grands pas et rien ne pourra l’arrêter dès l’instant où les Peuples seront armés. C’est le triste constat que l’on doit faire au regard de cette dictature infâme qui emprisonne l’Europe, asservi les Nations, délite les Peuples pour qu’ils deviennent objet du servage le plus immonde, celui de la prosternation à ce veau d’or dont se rengorgent l’atrophie et ses milices. Il ne faut pas rêver, la Démocratie est morte à Athènes, et tout un chacun doit le savoir, elle est morte et enterrée dans les fumigènes, le viol systématique de la pensée de son Peuple. Maintenant nous nous trouvons en face de l’hydre aux centuples têtes qui se gorge comme le vampire du sang des Nations pour subsister, cohorte putride aux féaux en tout genre dont nous aurons à voir les illuminations lors de nos prochaines élections.

Il n’y a rien à espérer d’un vote au profit de cette déshérence, de cette incongruité qui a vendu son âme aux marchands du temple et leurs sosies. Il serait temps que tout un chacun se réveille de cette léthargie stupide qui par médias interposés masque la réalité sous l’hypocrisie la plus délirante, advenant une libération d’otages par ci, un blanchiment des actes d’un potentat du mondialisme par là, cachant avec ce qui n’est plus qu’une façade tenue à bout de bras par la pensée unique, qui s’effrite, le viol des Peuples, La nature même de la répugnance économique délaissée entre les mains de tous les tueurs de Nations, de tous les tueurs de Peuples, assistés en cela par des institutions totalement arbitraires, utopiques, telles que cette Europe inféodée à des sectes sans noms et sans nombres où se régalent tous les instincts de la matérialité la plus maladive.

Les Peuples, comme ils l’ont toujours fait et continueront à le faire vont se libérer de cette pestilence rouge brune qui inonde de notre sang les sillons de nos terres, de nos Nations immolées par une vermine grouillante qui se délecte de nos sommeils. Car le sommeil et la temporisation du sommeil s’écroulent sous le gigantisme de l’incapacité qui se veut règne, s’accordant tous les droits par-delà le droit, se gargarisant de sa médiocrité, ce qui serait hilarant si ce n’était malheureusement pas la simple et pure réalité. Les yeux ouverts des Peuples que l’on voudrait voir sacrifier sur l’autel de moloch voient ce réel et la colère bientôt ne sera plus une vague telle ce que l’on voit à Athènes, mais un tsunami qui nettoiera nos terres souillées par la dépravation la plus désintégrante qui puisse exister, celle de l’adoration de l’or, celle de l’adoration de la monnaie, celle de l’adoration de l’usure et de ses menstrues.

Ce temps viendra, peut-être pas en naissance des générations actuelles, mais des futures, celles qui ont cinq, six ans actuellement et qui se retourneront contre le totalitarisme le plus belliqueux qui ait pu subsister sur cette planète, le totalitarisme de l’inanité, le totalitarisme de la bêtise, le totalitarisme de la prébende. La Liberté, ancrée dans nos gènes n’est pas un vain mot, la Liberté de se séparer de ce bourbier qu’est l’abstraction qui se veut dominante, si bien représentée par l’étron qui trône sur la Place de la Défense, dont les monuments sont des hymnes à moloch, et non à la Nature réelle de l’Humain. Cette séparation viendra dans le cadre de la Démocratie la plus pure et détruira l’autel de cette folie qui, grâce au sommeil organisé des Peuples par une camisole chimique et alimentaire ayant pour adjuvant la pernicieuse diarrhée de la pensée unique et la matrice de lois iniques autoprotégeant les manifestes de la prébende, se maintient encore en place, mais plus pour longtemps car en observateur, nous remarquerons que cet autel se fissure de plus en plus vite devant l’infamie qu’il rayonne.

Une infamie totale et sans excuses qui comme à Nuremberg devra être jugée pour ce qu’elle est : la tentative de désintégration des Identités, le génocide des Peuples par leur viol collectif, et par l’instauration d’un paupérisme défiant toute l’Histoire Humaine, à l’image de ce paupérisme instauré par la dictature communiste en Ukraine pendant ses temps de noirceurs où régnaient les mêmes qui ce jour règnent sur cette peau de chagrin que l’on ose encore appeler Démocratie. Blanc bonnet et bonnet blanc accompagné maintenant de leur vert pâturage, représentants de cette dictature, qui devraient prendre en compte ce qui se passe à Athènes, qui n’est qu’une pâle préfiguration de l’Histoire qui s’avance, et toujours inflige aux dictatures ce qu’elles méritent. Souhaitons que notre Peuple s’éveille de plus en plus et que 2012 soit la mise au banc de ceux qui se disent femmes et hommes politiques, la Politique, qui est l’Art de diriger la Cité étant bien loin de leurs faits d'armes qui n'ont pour but que de préserver leurs petits intérêts et les petits intérêts de leur copinage attitré, représentants de ces multiples sortis d'on ne sait où, mandatés qui par telle ou telle société de pensée, tel qu’on le voit avec le dernier prétendant socialiste, qui n’a aucun intérêt pour la France et son Peuple.

Ce n’est qu’au prix de cette action de salubrité publique que l’avenir de la France et de son peuple ne sera entaché par cette révolution qui s’avance. La France montrant l’exemple sur le chemin de la potentialité d’éviter cet affrontement magistral qui peut se résoudre par une prise de conscience généralisée dans la voie de la Démocratie et par la Voie de la Démocratie, par un vote vers celles et ceux qui défendent les intérêts de la France et des Français face à cette absurdité que l’on nomme le mondialisme. Si tel n’est pas le cas, comme Ponce Pilate, bien des gens se laveront les mains de ce qui arrivera obligatoirement, car on ne peut impunément détruire les Peuples, emprisonner les Peuples dans cette camisole de la bêtise, sans qu’un jour n’explose le carcan dans lequel ils sont maintenus, et malheureusement l’Histoire, avec une majuscule et non là pseudo-histoire que l’on voudrait faire apprendre qui ne convient même pas aux incultes, l’Histoire donc démontre ce que représente un mouvement de masse.

Rien ne peut l’arrêter, encore moins les armes et les prétoriens à la solde des dictatures, car sa force est représentée par la quantité, et cette quantité en physique ne peut qu’anéantir ce qui s’oppose à elle. Sur ces considérations peut-être pessimistes, réfléchissez à votre devenir et prenez votre destin en main, en gardant en conscience que les Voies de la Démocratie, malgré le haillon dont elles sont entravées, existent encore, et qu’il convient de les utiliser.

© Vincent Thierry