Issue

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En face du diktat imposé par l’euro, son sauvetage pernicieux par l’incapacité, ces quinze milliards de dettes supplémentaires que devront verser nos arrière-petits-enfants pour nourrir le parasitisme, de quelles élections parlons-nous ?

Et surtout qui donc sont ces prétendants qui viennent jusqu'à nous pour nous offrir leur service ? Voilà la question que tout un chacun se doit de se poser, si rationnellement, il ne veut pas tomber dans le piège de la tromperie, de l'illusion, du marchandage, mais surtout du cocufiage.

Nous avons en lices les partis traditionnels qui ne s'opposent que sur des principes et en aucun cas sur l'idéologie dominante, nous avons les troupeaux qui suivent ces deux grandes familles qui n'en font qu'une, où l'on remarquera que le parti de l'étranger à notre Nation est omniprésent, enfin les partis nationalistes qui petit à petit prennent de l'importance.

Regardons déjà blanc bonnet et bonnet blanc qui ne sont là que pour mystifier la réalité. On vous parle de socialisme, on vous parle de libéralisme, et dans notre petit Pays, tout un chacun se fait gruger par ces ismes qui défendent comme de bien entendu ce plus beau isme qui soit ; le mondialisme, à travers l'utopie d'une "europe" identitaire qui ressemble de plus en plus à une tour de Babel, totalement inféodée à une banque centrale apatride faisant la pluie et le beau temps, elle-même aux ordres de sociétés de pensées dévoyées en la voie inversée instituant dans ce corps qu'elles veulent institutionnel, la gangrène d'une dictature rouge verte brune dont tout un chacun a à subir le joug dans le cadre de lois iniques que de pseudos députés qui ne représentent pas trente pour cent de la population Européenne, votent avec empressement afin de satisfaire leurs maîtres et maîtresses, ces royautés consanguines qui sucent la moelle des Peuples avant de les jeter en pâture à la lie qui s'empresse de les vampiriser.

Soyons clairs, bonnet blanc et blanc bonnet ne sont que les doigts de cette même main carnassière qui reptilise les Nations depuis des siècles, dont certaines ont essayé de s'affranchir comme les États-Unis à leur naissance, et dont certaines sont sous le joug comme l'est notre Nation depuis la chute de l'Empire Napoléonien, trahi par leurs cénacles de pillards et de voleurs patentés.

Notons que depuis les États-Unis ont succombé de nouveau à leur joug, ce qui explique cette gabegie dans laquelle on se traîne où l'on voit des agences de cotation délivrer des permis de vivre à des Peuples enchaînés par l'usure et sa domesticité.

Voilà ce que nous proposent de suivre blanc bonnet et bonnet blanc, l'un et l'autre n'ayant pour toute autre préoccupation commune que de caresser dans le sens du poil la richesse comme la pauvreté absolue, mais en aucun cas de s'intéresser aux forces productives du Peuple, les classes moyennes, les Ouvriers, les Paysans, les Marins Pécheurs.

Forces vives qui enrichissent les plus riches comme le parasitisme aigu d'exogènes en tout genre trouvant là litière d'une fortune couronnée par des lois irresponsables votées par tout ce qu'enchantent l'errance et ses profits, qui en loge, qui en sociétés discrètes, qui en sociétés pseudos secrètes qui toutes œuvrent pour le même but, la destruction des Nations, la destruction des Identités, la destruction de l'Histoire Humaine, afin de n'avoir à gouverner que des inconscients que l'on nourrit physiquement avec une nourriture avariée permettant aux laboratoires de s'enrichir, que l'on nourrit intellectuellement par une sous-culture à l'usage de la braguette, que l'on nourrit spirituellement par la stupidité contingente de la débilité qui s'appuie sur un animisme que ne peut que renier n'importe quel individu normalement constitué.

Dame bêtise s'allie ici avec dame ignorance, dans un brassage s'apparentant à un viol collectif que tout un chacun se doit de subir par les ismes qui se présentent. Lorsqu'on observe les grimaces de ces personnages prenant leurs ordres, qui des loges, qui du siècle, qui du bilderberg, on ne peut être qu'atterré par le niveau de conscience de celles et ceux qui les dirigent, devant cette contrefaçon du réel qui se présente aux yeux du public, pions interchangeables de cette monoculture de bacilles qui osent encore apparaître.

Laissons donc là ces chariots de la bêtise pour mieux s'intéresser à ceux qui s'accouplent à leur permanence de l'incapacité, tous les truismes qui pérorent et bavardent, donneurs de leçons de morale dont l'immoralité est au comble par les mensonges qu'ils répètent inlassablement, tout d'abord du souk devenu du communisme ce parti des gauches hissé par les loges qui veulent complaire au dessein de la destruction de la Nation, appuyé ensuite par cette frise d'une "écologie" politique trouvant monnaie sonnante et trébuchante des mains de celles et de ceux qui financent leur déni de réalisme, pour accélérer le processus de destruction de la Nation, enfin pivot et pavot de cette mystique désincarné les centripètes d'une pseudo-droite laminée par sa jouissance destructrice de toutes les valeurs comme de tous les piliers de la Nation, centre, épicentre, gauche de droite et droite de gauche s'exposant sans modération pour s'accroire, idéologues de pacotille, ourdis de la jalousie, du paraître, ces tenailles qui les maintiennent debout et qui font la risée, je dis bien la risée du public.

Alors que reste-t-il donc dans ce zoo, ce bestiaire de toutes les hontes, de toutes les forfaitures, de tous les appariements ? La droite traditionnelle qui n'est pas l'objet du sida larvaire dévoué à Mammon et se prépare objectivement à entrer en lice, mais là que voit-on ?

Un ensemble de multipartis s'entrechoquant, s'entre-déchirant, agité en cela par des sédiments placés intentionnellement dans leurs corps par tout ce qui relève de polices politiques, renseignements généraux, qui sèment la zizanie afin d'attiser la discorde, de manière à ce que ne s'unissent pas ces forces vives qui pourraient bouleverser dans le bon sens cet échiquier politique où ne se meut plus aucune volonté, sinon celle de l'abstraction. Partant du principe que les mouvements sont fondés par l'énergie humaine, partant du principe que cette énergie peut être parasitée jusqu'en ces partis qui jouent la même partition du mondialisme égaré, il convient ici de se demander, avec raison, pourquoi ces dits partis ne nettoient-ils pas leur horizon ?

Et plus encore dans ces mouvements traditionalistes qui sont le cœur de notre France et son avenir, qui doivent impérativement s'unir pour renverser la prétention de la destruction qui se voile sous le masque en haillon de la Démocratie. Ici se tient le lieu de l'action qui doit dépasser le clivage des divergences, somme toute philosophiques, et non pas politiques, pour que le pouvoir soit restitué à l'honneur de la France et non se perde dans son errance.

Gageons que cela relève du défi pour bien des routiers de ces droites traditionnelles qui se complaisent, à dessein ? dans un opportunisme ambivalent d'adversaire de tout pouvoir au pouvoir. Cependant, le pouvoir ne s'attend pas dans de grégaires attitudes, il se prend avec l'unité des valeurs qui le compose, mais pour cela, on l'aura bien compris faut-il que cette unité se réalise, et pour qu'elle se réalise, dégager les freins qui immobilisent l'action unitaire, donc s'abstraire en chaque parti traditionnel des scories qui leur servent de support.

Le modèle n'est pas nouveau, il est antique et répété à l'infini, et ce modèle de subversion interne apparaît avec une flagrance qui laisse pantois sur la bêtise initiée à souhait. Zun Tsu en dévoile les arcanes dans son livre édifiant ; "L'Art de la Guerre". Il y va en politique comme pour la guerre, car la guerre n'est-elle pas l'aboutissement de l'action politique ? La guerre idéologique s'entend, la guerre classique relevant beaucoup plus de l'inféodation à la dictature voilée qui gouverne le politique, soit celle gréée par le financier et l'économique.

Si les forces de la destruction de nos valeurs, de nos identités, de notre Nation, doivent être vaincues lors des prochaines élections, elles ne le seront que par cette unité des partis traditionalistes et en aucun cas par leur division. Ainsi que tout un chacun agisse en conséquence, et ne vienne demain pleurer si le pouvoir reste entre les mains de la destruction. Cocufiés par les "bons" sentiments qui ne débouchent sur aucune action concrète sinon sur le mensonge et la forfaiture, les Françaises et les Français savent à quoi s'en tenir sur les balivernes des illusionnistes de "gauche" comme de "droite" et il serait temps qu'il réagisse sereinement face à ce dictât en renvoyant à leurs chères études toutes et tous les brevetés de la pensée unique assermentés aux groupes de pensées qui les manipulent à souhait pour les voir appliquer avec dévotion la dictature verte rouge brune qui permet aux intérêts de la consanguinité de prospérer au mépris de l'élévation des Peuples.

Mais les Françaises et les Français, cannibalisés par une sous-culture de benêts auront-ils le courage de s'émanciper de cette glauque avanie ? Et notre Peuple, mérite-t-il que l'on se batte pour lui s'il préfère l'esclavage à l'aristocratie d'être plutôt que de paraître ? Espérons que les réponses à ces questions deviennent celles du sens commun, mais ne nous leurrons trop sur l'aptitude de tout un chacun de briser la camisole de force de la pensée unique, par ignorance, par paresse, par reptation, si bien admise.

© Vincent Thierry