Quelles nouvelles ?
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- Catégorie : Politique
Quelles nouvelles ?
Quelles nouvelles de ce petit monde ? Si peu de chose dans l’ordre naturel des choses, les élytres araignes poursuivent la curée des Nations, avec la bénédiction de l’incapacité qui se veut règne. Quelques mots dans cette gauche dont les meneurs sont pour la plupart vendus au Bilderberg, les autres axant leur programme sur la démondialisation ce qui est très bien, mais ne nous trompons pas d’éligible, il n’y a ici qu’une seule personne s’attaquant aux vrais problèmes de cette société en voie de pourrissement total. Appuyons sur l’accélérateur pour lui donner sa réalité, cette fétidité dont les remugles viennent jusque sur les chaînes de nos télévisions présenter un mea culpa de circonstance après que d’avoir été sauvé par les sociétés discrètes qui l’agitent en tous sens pour irradier cette perversion de l’Esprit que l’on ose encore appeler le nouvel ordre mondial, carcan nazi communiste par excellence voyant les Peuples saignés comme des veaux qu’on mène à l’abattoir pour nourrir toute l’errance et son parasitisme écœurant qui continu comme jamais à produire sa bestialité par toutes faces de ce petit monde, une bestialité de coutume dont les Peuples un jour ou l’autre renverseront le sillon mortuaire porteur de toutes ces non-valeurs que représente l’indifférencié, l’euthanasie, l’avortement, toutes ces putridités nées de loges inverties qui s’applaudissent et se congratulent sur le fumier qu’elles mettent en œuvre et sur lequel s’agitent toutes les menstrues de la terre.
Personnages hauts en couleurs s’imaginant détenir le pouvoir qui ne les reconnaîtra jamais, car le pouvoir n’appartient pas à l’immonde, la répugnance, la bêtise accouplée à la mendicité, à toutes ces castes qui voudraient supplanter la réalité pour instaurer leur virtualité, leur droit de cuissage, leur « intelligence » magnifiée qui a détruit ce monde dans lequel leur perversité se fait des mamours, insanité pédophile associée à l’insanité de l’irrespect pour toutes les femmes de ce monde par des hussards de la mort qui s’imaginent encore quelque chose, alors qu’ils ne représentent rien, strictement rien, dans la nature de ce monde qui précipitera leur disparition avec ferveur lorsque l’ignorance sera obérée, et que tout un chacun s’apercevra avec stupeur qu’il ne sert que l’usure, la fainéantise, la chronicité de la débilité associée à l’inculture la plus totale, que l’on ose aujourd’hui appeler capacité !
La honte n’existe pas dans ce milieu où l’on viole les enfants, où l’on viole les femmes, où l’on assume sa perversité dans des fautes « morales » sans se rendre compte un seul instant que cela ne passe pas dans les Peuples qui constituent les vraies valeurs de cette petite Terre dont ils se voudraient régisseurs. Pauvre monde aux mains de la déliquescence qui s’enhardit, qui légifère afin de s’auto protéger contre la vérité, cette vérité qui ne se cache pas sous des lois arbitraires, cette vérité que rien ni personne ne pourra taire, cette vérité faisant apparaître l’ignominie dans le cœur de ce monde, enchantée par les gloseurs appropriés, tous les valets de ces sociétés de pensées qui ne cherchent qu’une place au soleil, ruminants d’un autre âge, l’âge de la barbarie qui se montre dans sa pure monstruosité, que d’autres temps auraient envoyée aux galères, que d’autres temps auraient fait tomber comme des mouches, ces mouches dont ils et elles portent le nom, mouches se complaisant dans la stérilité de la conscience, dans ce vide sidéral où des illuminés pervers essayent de mettre en œuvre leur larvaire béatitude devant la mort, pauvres inconscients qui se félicitent, et que nous devrions féliciter aussi.
Pauvre petit monde encore aux mains de ce délire consommé que l’on nomme le FMI qui veut dicter le droit aux Peuples, régissant les Nations comme des entreprises, alors que les Nations sont les Peuples et aucun cas des bœufs que l’on note par l’intermédiaire de ces agences payées par le même FMI pour organiser l’économie mondiale sous la houlette de l’usure et de ses parasites. De qui se moque-t-on ? Au regard de ce monde ahurissant qui se love dans la bassesse que l’on se doit d’admirer, un monde de larves couchées qui récoltent les miettes de leur servage, un monde qu’il conviendra de changer en l’épurant de ses scories en chaque terre de son lieu, en chaque Nation de son fait, en chaque Peuple, pour anéantir leurs bubons comme leurs parasites. Cela se fera, ce n’est qu’une question de temps.
La coupe de la morbidité est pleine. Le nouvel ordre mondial n’a occasionné que famine, paupérisme, mise en esclavage des Peuples au profit de l’insanité de la fainéantise chronique de ses tenants et aboutissants, aidé en cela par tous les faméliques prostrés dans une économie sans lendemain, sinon celle de la destruction de toutes valeurs. Ce nouvel ordre mondial doit disparaître comme il est venu, pour laisser place à l’Ordre Mondial naturel qui n’a rien à voir avec cette pestilence barbaresque, strictement rien à voir avec cette médiocrité qui de par des lois iniques s’imagine détentrice de tout pouvoir.
Il convient d’ores et déjà de rejeter tous votes envers ses commis et ses valets en reptation devant le mondialisme de la déshérence, dont tous les partis contiennent quelques fumerolles qui agitent le fanion de ce pourrissement auquel nous assistons, et surtout ne leur accorder aucune confiance.
La confiance cela se mérite, cette confiance disparaissant devant la paralysie de nos pays par ces officines de notation, voyant chaque acquis social détruit, chaque service social livré à la destruction, voyant chaque Peuple anéanti dans une sous-culture de débile, voyant l’exemple de la pourriture accouplée à l’innocence s’auto libérer du Droit le plus ordinaire, le Droit de voir ses enfants ne pas être sujet de cette pourriture, le Droit de voir les Femmes comme les Hommes d’ailleurs ne pas être soumis au droit de cuissage des barbares qui se livrent à toutes les exactions et qui en sus le revendiquent dans une martyrologie qui ne trompe que les benêts et les niais.
Il suffit de cette outrance, 2012 doit balayer ces immondices de tous les champs d’investigations de l’Humain, de la Justice, de l’Exécutif, de l’Économique. Qu’avons-nous de leçons à recevoir de voleurs et de pilleurs, quand ce n’est pas de l’argent, des idées de nos ingénieurs, et là je pense à un certain ingénieur spolié malgré son dépôt de brevet concernant l’extinction des feux de pipeline par un certain personnage qui aujourd’hui parade, ingénieur ayant entamé une procédure contre l’État dont il fut ministre, et qui logiquement devrait être jugé pour cette spoliation.
2012 arrive à grands pas, et est-il temps de faire le tri des appartenances de ces barbares qui se vautrent dans des auges à cochon et les rendre à leurs chères études sur la virtualité et ses consonances n’ayant pour but que la mise en esclavage de l’Humanité à leur profit. Non, il ne se passe rien dans ce petit monde sinon que de le voir s’enfoncer encore plus dans ce virtuel qui est la fadaise des incapables à la création, de tous ces gitons qui se pourlèchent et s’entraident afin que chacun leur ressemble.
Autant dire qu’il n’y a aucune ressemblance entre un Être Humain et ces non-être qui n’ont que le désir de détruire ! Qu’ils continuent tant qu’ils le peuvent encore. Les Peuples se réveillent et ce réveil les verra destitués de tous les pouvoirs, dont ils ne sont pas dignes, qu’ils s’arrogent ce jour. Question de temps, je le répète. En attendant n’accordez aucune importance à ce porte valise de cette société de pensée invertie qui veut diriger l’Europe, totalement inféodée à la tutelle de la City, et de cet ex-empire britannique qui aujourd’hui est à l’agonie et que d’aucuns voudraient encore destin de cette « europe » larvaire et moribonde.
La vérité est là dans sa crudité absolue. Rien ni personne ne pourra voiler cette réalité qui désormais ne se cache plus mais agite ses pions avec la vivacité d’un singe qui dans sa cage cherche à complaire encore. Il est déjà trop tard pour ces farfadets de l’incompétence, ces perroquets de l’inutilité, ces gravures de la bestialité qui s’accommodent, tous ces frénétiques de la barbarie que plus personne ne peut ne pas voir, sauf à penser qu’il soit aveugle. À trop vouloir la corde casse, et je peux vous rassurer, cette corde a cassé depuis très longtemps dans notre France, livrée en pâture au proxénétisme et au viol organisés de son identité, qui demain se relèvera pour rendre à la capacité et au mérite leurs droits absolus et souverains.
© Vincent Thierry