Le triple A

Le triple A

 

Le triple A est perdu, la belle affaire que voilà, qui n'a absolument pas la moindre importance, à laquelle nous pouvons remédier en reprenant notre indépendance financière et en émettant notre monnaie, sans payer le moindre intérêt ! Ne voyons-nous pas là plutôt une collusion d'entités financières cherchant à déstabiliser la France qui demande par l’intermédiaire de notre Président une taxation des opérations financières ? Et pire encore, une vengeance de certains marchés suite à la mise en accusation du droit de cuissage d'anciens prétendants à la présidence de la République ? Alors que la France a le meilleur taux de productivité des entreprises, que nos PME travaillent comme jamais, cette dégradation sonne comme la charge de tout ce qui représente le parasitisme financier, mafia dont certains membres dirigent actuellement la Grèce et l'Italie.

Au royaume des aveugles, les borgnes sont Rois, et de voir devant cette agression de la lie financière tout un chacun de s'égosiller, mettant bien entendu en cause le Président actuel, alors qu'ici nous assistons à une tentative de mise à mort des principes nationaux, car enfin à cent jours des élections, cela ne vous interpelle pas ? La ficelle et grossière, tramée par toute la populace affairiste, d'un côté les banques gangsters, de l'autre les bons alois de l'errance, et enfin dans le cadre de l'"europe", nos "chers" alliés, l'Allemagne autoritaire qui discrédite en acceptant ce fait, l'Europe elle-même. Et comble de ce comble, devant le silence assourdissant de cette cour thébaine, on y voit la main du Bildelberg dont le fer de lance n'est autre dans nos élections à venir que le saint patron de ce socialisme de l'errance qui s'imagine déjà au pouvoir.

Face à cette attaque dirigée, il convient de garder la tête froide mais surtout ne pas rester aveugle et dénoncer avec autorité toutes les alliances ayant permis cette incongruité qui n'a rien d'innocente. La droite dans toutes ses ramifications doit resserrer les rangs et faire tomber de l'arbre les fruits pourris qui s'imaginent déjà autorité de notre Nation, tous ces saltimbanques crypto communistes, socialistes, trotskistes, maoïstes, tout ce pourrissoir de l'humanité qui s'entraide afin de souiller notre Nation de la pure infamie qui soit, sa vente aux marchés de dupes, dont la mascarade est tombée sous l'accusation de droit de cuissage.

La France n'est pas une putain qu'on arraisonne avec une note quelconque et ne se livrera pas à la faune cosmopolite qui cherche à détruire sa pugnacité, qu'on se le dise, que cette faune vienne de l'errance où qu'elle soit à l'intérieur de nos frontières. La France n'est ni la Grèce, ni l'Italie, et son Peuple a su démontrer de multiples fois qu'il était capable de renverser des situations parasites, le parasitisme des privilèges, le parasitisme des notables et des caciques, le parasitisme de l'errance, et il ne tient aujourd'hui plus qu'à un fil que se transforme sa colère dans une explosion qui sera le tsunami permettant de balayer toutes les scories, sur son sol, mais bien au-delà.

La litanie des marchés comme des banques, renfloués par les Peuples, n'a que suffit ! Ce bourbier infect empli de produits toxiques n'a pas à dicter sa loi aux États, et les États, dignes de ce nom, doivent immédiatement relever le gant de ce pourrissoir, de cette usine à entretenir toute la lie de la terre qui vit de la sueur et du sang des Peuples, en reprenant immédiatement ce droit inaliénable qui est celui de battre monnaie ! Nous attendons devant cette agression mafieuse que notre État ne se laisse piétiner par ces scories, et que soit votée la reprise inconditionnelle par notre État de battre monnaie, que cela plaise ou non. Cela aura le mérite de sortir de cette monnaie de singe que l'on nomme l'euro qui n'a amené que la paupérisation de nos Peuples, le viol des dits Peuples par afflux incontrôlés d'exogènes, la délocalisation de nos industries pour le service d'esclaves attitrés, le démantèlement de nos armées, et j'en passe et des meilleurs, au profit de quoi: la désintégration des États, des Nations et des Peuples. Il suffit de tergiverser !

De combien de divisions disposent ces suppôts de l'usure pour se voir couronnés ? Combien de bataillons ? De combien d’armes dissuasives ? Aucun et aucune. Il serait temps que le politique se réveille et sonne la charge contre les esclavagistes ! Mais les dirigeants élus auront-ils le courage de sortir de cette ornière, de ce piège tendu par la finance pervertie auxquelles les "agences de notation" sont dévouées, larves parmi les larves de ce bourbier immonde qui se distribue les fruits du sang, par millions d'euros composés ?

La République Française doit se faire respecter, et nous attendons de nos élus une saine réaction qui ne doit pas être celle de se plier aux marchés pourris, toxiques, mais bien de statuer sur cette attaque de cette gangrène en la terrassant dans ses bases, ses outrances usuraires, toute cette verroterie de la vanité qui s'imagine pouvoir alors qu'elle n'est que néant !

Courage donc, voilà ce qui est attendu, et non reptation et servilité envers cette faune nauséeuse qui vient jusqu'en nos cités dicter sa loi infâme. La France n'a pas à plier ses genoux devant cette mafia, encore moins devant ses courroies de transmission, ces sociétés de pensée dégurgitant la traîtrise, ces pays autoritaires qui la voudraient voir ramper à leurs pieds, toute cette porcherie où l'intelligence n'existe plus, laissant la place à l'instinct bestial de la barbarie si bien représenté par les arcanes de ce parlement "européen" où ne brille que la dictature de la médiocrité.

Ne doutons pas un seul instant que nos dirigeants s'inclinent, et cet acte serait une erreur historique, car elle entraînera inévitablement le sursaut de notre Peuple, faisant voler en éclat cette stupidité droite gauche milieu, pour voir poindre deux horizons combatifs, une extrême gauche contre une extrême droite agissante, l'une l'autre défendant la Nation, et qui irrémédiablement s'allieront, par-delà des clivages sans intérêt, pour restaurer la dignité de la France.

© Vincent Thierry