Le IV Reich s’instaure

Le IV Reich s’instaure

 

Nous y voici dans l’accomplissement de ce fantasque horizon, le Reich pointe sa devise dans l’apothéose faite par le Président de notre République, de l’Allemagne motrice de cette déréliction que représente cette « europe » utopique et barbare qui s’annonce, où s’accroissent les plus stériles comme les plus ambitieux, des tartarins qui ne sont que plus que suffisances dans leur mérite à la reptation qui les incarne.

La France n’est pas l’Allemagne de par sa culture et de par ses racines, ni l’Allemagne n’est la France, et l’une et l’autre doivent se respecter mutuellement, sans avoir besoin de voir l’une où l’autre en reptation devant l’une ou l’autre. Le sang versé a suffi pour se rendre compte qu’il n’y avait pas mesure ni pour l’une ni pour l’autre de se voir belliqueuse et attentatoire à leurs frontières dessinées et comprise par leurs histoires réciproques. L’aliénation c’est d’accroire que l’une devra être esclave de l’autre. Cette aliénation née du prurit mental de l’atrophie ne voulant reconnaître aucune Nation, aucun Peuple, pour mieux intriguer l’incarnation d’un « nouvel ordre mondial » qui n’est qu’un désordre mondial, est affligeante.

Si l’on voulait réduire la France à la désincarnation la plus totale, renier son Histoire, ses coutumes ancestrales, sa force et sa vitalité naturelles, il n’y avait qu’à entendre ce discours relevant de la pure fabulation, méconnaissant la réalité historique de notre Nation, de notre Peuple en ses diversités unies par la foi inexpugnable en sa réalité bio géo historique, phare de ce monde en déclin, ce jour réduit à sa plus simple expression, se contentant de sa désorganisation, de l’esclavage attitré de chaque Être Humain en son sein, qui, sans racines, butut vide de conscience, ne peut que s’accoupler à la parole bienfaitrice de son promoteur dans un  syndrome de Stockholm ahurissant.

Ce qu’il faut reconnaître à la doctrine développée, c’est qu’elle est la mesure même de ce nouveau désordre mondial qui s’avance, sans inquiétude, devant la paresse mentale infligée aux Peuples en leurs Nations, cette culpabilisation magistralement provoquée que l’on retrouve jusqu’en les livres d’Histoire et de géographie de nos enfants, qui n’ont surtout pas à apprendre leurs origines, mais bien s’agenouiller devant le diktat qui s’érige pouvoir alors qu’il ne représente rien aux yeux de l’Histoire, sinon qu’une nouvelle dictature qui ne dit pas son nom mais que l’on dira haut et fort, un quatrième Reich s’instaurant dans nos Pays Européens, n’ayant pour symbole que le symbole de l’économie, économie dévouée à l’usure et ses parasites apatrides, fers de lance de cette gabegie extrême dont nous subissons par contraintes le gargarisme fétide, cette tenaille emprisonnant les Nations dont l’une des forces est la finance parasite, l’autre le viol des Peuples par afflux exogène, afin de liquider la substance même de l’existence des Nations.

Il n’y a que les naïfs où les dévoués à ce camp de concentration qui se met en place pour ne pas le voir et pire encore, toutes celles et tous ceux qui sont tenus par le sexe, l’argent, l’impardonnable, qui permettent de les tenir jugulés dans l’errance et ses offensives purulentes.

N’excluant aucune vision du monde, chaque individu n’étant qu’un rayon dans le cercle, mon propos n’est pas ici de porter critique à notre Président qui lui-même convient qu’il existe d’autres idées, mais bien de signifier le combat des idées, le combat de l’Universalité, répondant aux aspirations des Peuples et des Nations, contre ce mondialisme de la déshérence, cette portée cannibale qui jusqu’en notre Pays trouve ses moteurs pour faire rendre l’âme à notre Nation. Non nous ne serons jamais les féaux de l’Allemagne, qu’on se le dise, jamais nous ne subirons son esclavagisme, initié par le parasitisme consanguin qui tient ses institutions à sa botte.

La France est une et indivisible et se fera respecter comme de toujours, comme le Peuple Allemand se fera respecter et fera respecter sa Nation, une et indivisible. Nous n’avons pas les uns les autres à nous additionner ce qui aura pour effet de nous soustraire à nos réalités existentielles, mais bien dans le corps de nos Nations respectives et de nos Peuples respectifs à nous multiplier, pour reconnaître par complémentarité nos forces et nos faiblesses, et nous entraider dans ces faiblesses, mais en aucun cas dénaturer notre vitalité bio géo historique. Toute la différence entre le mondialisme apatride, le mondialisme de l’errance, ne portant que voie de la barbarie, de l’esclavagisme, et l’Universalité, portant par ses degrés l’harmonie, est là.

Et lorsque dans le logos du discours se tient le lieu que les Nations ne pourraient s’appartenir que pour mieux se concaténer et disparaître, je me porte en faux face à cette dérision du discours, car bien au contraire un Peuple fier de son Histoire et de ses racines n’a aucune peur à recevoir autrui et aller chez autrui, ce qui défait la perception de cette futilité du discours que l’on entend, répété inlassablement comme le préconisent les instituts qui forment nos pauvres mandants politiques.

Assez de leurres, le choix 2012 sera un choix où s’initiera la résurgence Nationale, qu’on le veuille ou non, et il faudra bien aux défenseurs du désordre mondial prendre en compte qu’existe au-delà de leurs fantasmes et de leurs utopies, une vision du monde qui n’est pas celle de se voir recevoir au Parlement Européen, en s’entendant dire, que le Parlement Européen n’est pas un paillasson. Tel que cela a été dit, on considérera volontiers que c’est malheureusement devenu une serpillière, dont le Peuple noble insulté n’a que faire, où s’agglutine comme des cafards toute une populace de larbins attitrés, quémandant leur retraite, quinze jours suffisent dans cet aréopage pour avoir une retraite mensuelle de 1500 euros, et pire encore, badgent pour recevoir leur écho journalier de 73 euros en repartant aussi vite qu’ils sont venus, un marécage somptueux où l’on s’accroît maître de ces Pays d’Europe dont les Peuples n’ont que faire, car dans leurs racines ils sentent l’incongruité de cette ascension stérile où trône l’inadmissible, un Président non élu, digne représentant de la période stalinienne, entouré de ses maoïstes et gramscistes, qui ne sont là que pour détruire les Nations.

Et ce serait pour cela que la France devrait disparaître, pour faire place à cette agonie intellectuelle, à ce fourvoiement bestial et barbare qui ne réagit que comme un ventre, le ventre inféodé à l’usure, à cette délirante perspective qui de la City à nos Pays Européens n’est que défense des couronnes consanguines ?

Voilà donc à quoi nous devons nous lier, à cette infamie où quelques Esprits continuent, en vain, à délibérer, à cette outrecuidance qui à l’assemblance des règnes de Caligula et de Néron, est contemptrice de ses destructives conjonctions. Pavane d’une défunte, où l’on voit que l’on est loin de la Société des Nations rêvée et ordonnée, établie et sanctifiée, ce jour rongée par la lèpre et ses mendiants !

Non, la France n’a pas à apparaître dans cette débauche singulière où se façonne le quatrième Reich n’ayant pour idole que le veau d’or accouplé à la prédation. La France n’a pas à s’incliner devant l’Allemagne, ni devant cette « europe » babélienne. La France doit reprendre sa navigation, ouverte sur le monde, reprendre sa légitimité, et montrer au monde des Nations, qu’une Nation enrichie de son Histoire et fière de ses racines, peut sculpter non pas le nouveau monde, mais le monde de la réalité, une association basée sur l’équilibre de nos Pays Européens libérés de l’étreinte de l’usure et de ses dysharmonies, libérées de la tutelle de la City et des prébendes couronnées, libérées pour toujours de la barbarie de l’acculturation, du viol de ses Peuples, de l’esclavagisme né de cette guerre silencieuse menée depuis bientôt deux siècles par l’ignominie et ses valets.

Face à cette délirante affirmation que celle de voir disparaître la France dans l’Allemagne, il est temps que les Françaises et les Français se réveillent, et votent sans état d’âme pour toute opposition Nationale qui se respecte. Il suffit de cette agonie lente que l’on nous inflige et contre laquelle nous ne devrions rien dire, bien se taire surtout, pour laisser place à tous les dithyrambes apatrides qui submergent nos médias. Médias infects ignorants les oppositions, pour ne laisser place qu’aux prêtres introduits par le Bildelberg, mantisse des couronnes consanguines, litière de la City et ses furoncles, les trois doigts de cette main qui s’adressent à notre Peuple, une droite néo libérale, une gauche socialiste de pacotille, un milieu où ne respirent que la jalousie et la pitoyable rancœur. Voilà les trois doigts que le Peuple de France doit éviter à tout prix s’il ne veut demain disparaître dans ce quatrième Reich qui ne se cache plus pour faire parler sa réalité, un quatrième Reich enclavant les Pays d’Europe dans le plus vaste goulag que l’Humain ait pu penser, où les esclaves consentants applaudiront leur mise à mort par euthanasie, tel que cela vient d’être déclaré par un postulant au mandat suprême, voilà où nous en sommes !

Le choix est vite fait. Et ce choix doit être fait pour redonner à notre Nation sa légitimité, indivisible, monétaire, culturelle, intellectuelle ( nous sommes avec la Chine et la Bulgarie, le seul pays à renier la Liberté d’expression, à faire voter des lois niant le droit à l’expression Humaine, - viol supplémentaire de l’Esprit qui doit se circonscrire dans le politiquement correct -), sociale, et ce choix doit être fait sans la moindre ignorance de ce que représentent les trois forces circonscrites auxquelles s’allie l’ineffable écologie politique, mantisse du capitalisme vert, la représentation stricte de la destruction, aux fins d’implanter ce nouvel ordre mondial de la barbarie où trônera l’usure sur les cendres de nos Nations ! L’avenir de nos enfants n’est pas celui de se voir esclave de cette tyrannie. Aux urnes donc.

© Vincent Thierry