Janus

Janus

 

À l'heure où la culture générale ne fera plus partie des épreuves d'admission aux concours, ce qui démontre le processus d'acculturation de notre Peuple après son viol par métissage systémique, métissage biologique par afflux inconditionnel d'exogènes, métissage culturel par acculturation forcenée, métissage spirituel par acceptation de la religion de la soumission, se présentent en lices, les deux candidats de la finance apatride et parasite. Et quel dithyrambe médiatique sur ces deux pantins décorés par la City, jusqu'à l'un d'entre eux prévoyant un petit séjour dans l'île de notre désespérance afin de se faire adouber par l'ordre noir qui protège les couronnes consanguines, futur Maltais aux ordres! Pauvre France, formellement insultée dans son esprit critique, voyant son Peuple consumé par l'arbitraire, cette dictature diffuse qui trouve abri derrière les carcans ovipares qui tressent la décadence, pourrissent jusqu'au contenu et contenant du vivant, pour se complaire dans la versatile logorrhée de l'abjection, la courbette à l'usure.

Voici le pitoyable état qui s'offre au regard de notre Nation en danger de mort, et il y en a pour penser à une France forte. Ce danger de mort est représenté par la fourberie, la traîtrise, le mensonge et l'hypocrisie, enveloppés par une action d'attaque par tous les rouages de la désertification qui règne, ne pensez à celle uniquement au pouvoir puisque son image se trouve à l’identique dans ce que l’on ose appeler la contestation, celle qui enlise, dénature, corrompt, avilit. Le creuset de cette bassesse est devant les yeux de chacun, mais combien peuvent-ils le voir, si tant l'ignorance étant le panache de notre Peuple couronné par l'imbécillité chronique médiatique, la culpabilisation obligatoire initiée par tous les mensonges diffusés à l'encontre de l'Histoire, tel qu’on le voit actuellement dans un semblant de critique de ce qui fut fait aux homosexuels de France, qui laissent place à une histoire ridicule rédigée par des nains à l'usage de nains, auto protégée par des lois iniques qui passeront aux poubelles de l'Histoire lorsque le Peuple éveillé restaurera sa puissance à l'encontre de cette plèbe pourléchant le fondement de la finance nuisible.

Pauvre France donc où l'on voit le parjure s'initier, qu'un quinquennat suffit à arborer : la destruction de notre Armée, la destruction de nos Lois Sociales, la destruction de notre Nation au profit d'un quatrième Reich immonde traitant les Êtres Humains comme on traitait celles et ceux incarcérés dans des goulags ou les camps de concentration au nom de la rentabilité économique. L'exemple de la Grèce en est flagrante expression. Une Grèce, berceau de la Démocratie réduite à un paillasson où continue à s'engraisser toute la vermine non humaine qui ne glorifie que l'usure.

Ah, notre belle France, sillonnée par cette glu sordide de l'hypocrisie, de la bêtise, de cette flagrante initiation à l'auto culpabilisation, drainées par l'aréopage de la fainéantise, de cette aberration monumentale qui conchie son Peuple pour mieux le violer psychologiquement et socialement, une France anémiée où glose toute la lie de l'Humanité qui se veut maîtresse à penser, protégée par ces lois bestiales qui dénigrent le droit naturel de penser, réfléchir, critiquer, mettre en exergue, tout ce qui est dû par tout un chacun de la nature profonde et licencieuse de sa dénaturation globale.

Que l'on se rassure, personne n'est dupe de la prolifération des métastases qui copulent la désintégration de notre Nation, personne n'est dupe de cette fange "intellectuelle" qui s'admire et se masturbe devant toute la médiatique errance agenouillée devant leur propos, qui en d'autres temps, l’aurait fait passer devant un peloton d'exécution pour haute trahison. Les chancres sont là, et ils se réjouissent, et pire encore sont vindicatifs dans leur nullité obédientielle, allant jusqu'à se porter luxure de guerre envers toutes celles et tous ceux qui ne rentrent pas dans la ligne de conduite d'un mondialisme pervers, qu'ils s'imaginent écrin de leur délire, et qui en fait sera leur linceul, voix de l’hypocrite pensée unique qui après avoir violé la Libye, veut violer la Syrie qui se défend contre les exogènes armés qui veulent dénaturer son État, afin que sa Nation devienne tête de pont pour une agression contre l’Iran.

Au-devant de ce marasme des égouts qui se prétendent humanitaires, ne croyons un seul instant que les Peuples qui se respectent sont dupes et continueront à se laisser faire de cette autoflagellation, de ce délire permanent et hostile de tous les chancres qui glorifient l'homme désincarné, en oubliant comme il se doit, la Femme, qui pour tous ces lubriques personnages n'est qu'un objet de plaisir bestial. Non, ne croyons un seul instant que l'hypnotisme ridicule auquel est sujet notre Peuple n'éclatera pas en mille morceaux, laissant voir ce qui se passe de l'autre côté de ce miroir qui se veut opaque. La réalité de ce monde explosera en plein visage des ligueurs acharnés qui veulent la perte de notre Nation, comme celle d’autrui, au profit de l'immondice, ce mondialisme de la déraison, de la Voie inversée, fauteur de tous les troubles de notre monde, où se réfugient ses valets dans des loges bigarrées qui sentent la mort et la perversion.

Anachroniques dérisions face à la Vie qui s'avance et rejette en bloc leurs illuminations, ces brocantes de l'avortement de masse, de l'euthanasie servile, de la mise au pas des corps et des esprits et des âmes, ces brocantes de l'égarement qui confinent à la déréliction et au rejet de l'Humain, pour faire place à cette chose, sans lois ni raison, cette chose greffée d'écouteurs où se diffusent les mots d'ordre de la médiocrité qui se vautre dans la fange, les paradis artificiels, la dénature totale où ne reluit plus que l'ombre de l'ombre s'inventant un pouvoir en détruisant, détruisant les chairs des enfants dans l'ombre la plus noire de cette espèce nuisible, l'humanité dans le demi-jour où elle s'incarne, animant ses pantins grotesques qui font la "politique".

Demeures d'une valetaille tenue par les fléaux domestiques de l'usure, de la bestialité, de cette nécromancie parasite qui s'imagine le pouvoir alors qu'elle n'est qu'égout du pouvoir. Le Peuple brisera démocratiquement cet outrage à son champ de vision, libérant sa conscience de cette usurpation triviale, en renvoyant, souhaitons-le, Janus à ces chères études, Janus au visage néo libéral et à l'autre visage socialiste, tous deux fruits d'une même tête, la tête de ce serpent double qui initie son droit de cuissage sur tous les Peuples en détruisant leur Nation afin de s'accaparer leur force vitale, ce sang et cette sueur lui permettant, voilé, de prospérer en toute quiétude par ce petit monde où son oligarchie médiocre pavane.

Ainsi va notre Nation dans la stérilité convenue de cette traîtrise ordonnée qui n'a pas plus d'honneur que de courage, sinon le déshonneur d'accélérer la putridité, sinon la lâcheté d'ordonner la destruction de toutes valeurs Humaines. Personne n’est dupe, et celui qui ne voit pas, encore moins, car il est touché au cœur par le paupérisme qui s’installe, et que certains trouvent normal, par l’accélération de la destruction massive organisée dans une guerre silencieuse, des acquis sociaux, pour lesquels ont été assassinés des ouvriers et des paysans, par la féodalité à l’usure, de notre modèle médical qui se voit ce jour envahi par toutes les forces exogènes sans droits ni lois, creusant irréversiblement le trou de cette sécurité sociale que paient les travailleurs, de nos coutumes et de nos lois qui doivent se plier à la réjouissance de ce qui n’est ni la France, ni l’Occident, dans une soumission ridicule qui frise l’insolence et n’amène que le dégoût, soumission à cette chose que l’on ose appeler l’europe, qui n’est qu’une tour de Babel enfantée par l’illuminisme, dont nous rappelons que les objectifs est de voir faire table rase de toutes les volontés afin d’induire ce merveilleux gouvernement des Sages qui se révèle dans sa pitoyable béatitude le gouvernement de la médiocrité, car d’Élites il n’existe plus ce jour, seuls existent les rapaces, les serpents, les cafards qui pourrissent les Institutions par leurs prébendes, leur luxure, leur modèle de soumission appointée à l’usure.

Vivier infect où grouillent la lèpre et ses officiants, et où tout de même quelques lumières réussissent à briller avant que de s’éteindre sous la lie qui sublime les Institutions, demeures de ces avortons de l’irréel qui plaident leur mondialisme qui les paie, venus des poubelles de l’anti démocratie par excellence, de ces partis trotskistes, de ces avatars de 1968 où le règne de la violence se fécondait par distraction, jusqu’au crime, Brigades rouge, Bande à Baader dont un de leur « élu » fut émule, et l’on voit ces ligueurs en poste pérorant, s’acharnant contre la Liberté, pour poser les pierres de sables, car ce sont des pierres de sable au regard du réel, de leurs ignominies, ligueurs de la pédophilie, de l’euthanasie, de l’avortement, tueurs nés qui se réjouissent de la mort et qu’aucun Tribunal ne juge pour leur pensée délictuelle.

Patience, les réseaux sociaux s’ouvrent au réel, patience, il n’est pas nécessaire ce jour de se réunir pour se reconnaître et œuvrer à la restauration de la Démocratie, ici je ne parle pas du parjure totalement inféodé au mondialisme que l’on se plaît à nommer les indignés, mais bien de celles et de ceux qui œuvrent dans la réalité, qui défendent l’Esprit de leur Nation, le Corps de leur Peuple, l’Âme de leur raison, portant le sens éthique et moral en chaque mesure de leurs racines, qui demain prendront force et pouvoir pour agir dans une contre-révolution totale qui verra l’Humain dans sa noblesse et sa vitale affirmation, et non dans cette caricature que l’on voudrait lui imposer.

Caricature si bien composée que la médiatique errance nous impose au regard des lucarnes télévisuelles et des radios abêties par la corruption et l’idolâtrie au mondialisme bêlant. Caricature que tout Être Humain normalement constitué, respectueux de ses racines et de ses traditions, de son avenir comme de son épanouissement, doit renvoyer aux poubelles de l’Histoire, car cette caricature ne représente rien, moins que rien, sinon le degré zéro de la construction, tant sont dévouées ses certitudes dans la destruction de tout et de tous. De toutes Nations, pierres d’œuvre de ce Gouvernement qui sera mondial, comme de tous Peuples, pierres d’œuvres de cette Humanité à laquelle nous appartenons, et qui en ses branches sera respectueuse de tout un chacun, au-delà des communautarismes belliqueux et des ordonnances de la Barbarie qui veulent s’imposer.

La Démocratie est vote, et ce vote doit être pertinent, renvoyer définitivement la destruction de toutes les valeurs à ses études d’illuminés, et faire venir à elle la construction par l’intermédiaire des véritables Élites, ces jours emprisonnés dans le silence et le marasme des archontes de la destruction systémique.

Mais notre Peuple aura-t-il le courage et l’honneur de faire table rase de cette destruction qui veut s’imposer ? De ce Janus qui, girouette, s’agite dans tous les sens pour faire accroire, pour illusionner, dans un jeu de mauvais acteur qui tourne au ridicule, paillette dorée qui cache le miroir opaque derrière lequel s’agitent les manipulateurs en tout genre, tous en chœur de l’usure et ses féaux, non-humains pour partie qui excellent dans l’horreur, l’horreur qui se voit dans la soumission des Peuples et des États à leur gangrène vivipare.

© Vincent Thierry