Morgan et Cie

Morgan et Cie

 

La guerre des loges, toutes unies sous la bannière de la république universelle, de ce monde unipolaire où ne règne que le monde apatride et barbare de maîtres et d'esclaves, bat son plein. Les déclarations du parti de gauche à l'ump en passant par le ps sont trop belles à voir, taillées sur le même module de la dissonance qui cherche à flétrir la droiture des racines de chacun, hurlant à la diversité à une espèce menacée, conchiée et injuriée, voyant le Peuple de France, otage de cette nanification qui veut s'instaurer pouvoir, de cette bestialité accouplée au satanisme le plus écœurant qui soit qui se réjouit de la mort de tout ce qui existe: le Peuple, la Patrie, la Nation!

Ces archétypes n'auront jamais été traînés dans la boue autant que par les misérables précités. La honte n'existe pas chez leurs mentors, lieutenants et fidèles, invertébrés du Bilderberg devenu l'esclave de la city et de wall street, tous attelés à la tâche de la destruction totale du réel pour instaurer leur virtualité, une France exsangue devant la Banque Morgan et associé, où la morgue des swap domine, une France violée par l'afflux exogène légiféré par les mêmes, une France crucifiée par la voie de la soumission, une France asphyxiée par la pensée unique de la barbarie qui se met en guerre contre toutes les Nations, si bien représentée par ses néants intellectuels qui paradent la chemise au vent dans les déserts après que d'avoir appelé leur mère en pleurnichant à Sarajevo lorsque les balles des snipers frappaient à tout va, dixit médecin du monde, pauvre France soumise à la reptation insipide, à la viscosité de l'intelligence, à la polymérisation du métissage, appariements de tous les ismes qui s'auto protègent, ces névroses qui s'encensent et psalmodient !

La France d'après certains serait vendue à la banque Morgan le 16 de ce mois ! On n'attendait plus que cela, le sabordage en pleine mer de notre navire, on comprend mieux tous ces discours et ces films sur le Titanic, qui préparent l'opinion à l'acceptation de cette haute trahison, de ce sommet de l'hypocrisie qui brille sous les œillères des ismes où se congratulent les petits frères soumis, tous ces valets qui se tortillent le derrière pour mieux servir leur veau d'or, tous ces fœtus de l'arrogance qui s'imaginent un destin qui n'existe plus depuis bien longtemps!

La France serait donc vendue comme l'ont été la Grèce, le Portugal, l'Italie et l'Espagne à la lie de l'opportunisme, du parasitisme financier, à cette horde de la mort qui brasse des billions de dollars comme tout un chacun un billet de dix euros et le peuple, son Peuple devrait devenir l'esclave de cette hydre ? Il serait temps de s’interroger, et d'interroger les vendeurs, il serait temps de leur faire savoir qu'ils commettent là un crime de haute trahison envers leur Peuple, envers la Nation, envers la France, mais ont-ils encore conscience de ces notions qui impliquent des valeurs dont ils ignorent tout ! Violant leur Peuple avec un minitraité pour lequel les Français ont dit non ! Vendant ce jour des dettes inexistantes en leurs intérêts à des banques qui ne vivent que par la barbarie !

Nous attendons ici que le pouvoir se ressaisisse s'il ne veut pas voir naître à moyen terme une contre-révolution européenne à côté de laquelle la révolution française ne sera qu'une image pieuse ! Car à vouloir saborder les nations, les vendre à la morgue populaire des swaps et cie, la colère des Peuples va devenir illimitée et qu'ils sachent qu'un Peuple qui se bat pour la Liberté gagne toujours quelle que soit l'armada de tueurs nés, de prétoriens, d'assassins politiques, fussent-ils déguisés sous uniforme où bien assistés par des lois iniques, et ces Peuples qu'ils violent impunément grâce à leur acculturation programmée se réveilleront inéluctablement pour juger dans un Nuremberg à naître, celui de la politique et de la finance dévoyée, leurs faits et gestes recensés par l'information, l'information que plus aucune personne sensée ne va chercher dans leurs journaux aux ordres, leurs télévisions risibles, leurs médias infamants!

Médias pourris comme le fumier où trônent des pantins que l'on ose appeler des journalistes ! Qu'il suffise d'analyser leurs émissions "politique" où ils accueillent les prétendants à la Présidence. Observez leur dédain, leur ricanement, leur ironie répugnante à l'égard des petits partis, et leurs questions ridicules envers les meneurs de ces dits petits partis, observez maintenant leur reptation devant janus, leur morgue de minables disparaît pour faire place à un léchage de cul en profondeur, larves qu'ils sont de leur prébende, sans honneur, sans rectitude morale, des truies et des porcs aux ordres du système qui salissent de leurs éructations les petits partis, hier la représentante de l'écologie "politique", la représentante du front national, le représentant du npa.

Cette pantomime de la pourriture que l'on appelle "journaliste", "expert", menteurs infâmes - il n'y a qu'à observer leurs états d'âme sur la Syrie où un peuple se défend contre les djihadistes exogènes - doit être reléguée à l'encan, leurs "émissions" torpillées, leurs lacunes, leur mésintelligence, passés au crible, afin de les remettre à leur juste place, celle du nanisme intellectuel couronné. En attendant cette espèce prospère, dans des jeux de grimaces et de rires infects, de jeux de corps qui font rire n'importe quel gamin éveillé.

Regardez hausser le ton et gesticuler lorsqu'ils annoncent un mensonge, hyènes hystériques lorsqu'ils décrient la Syrie, hier la Libye, avant-hier l'Irak, haussant les sourcils, prenant une mine austère, regardez-les lorsqu'ils dénigrent quelqu'un, le sourire ironique en coin, dressés sur leur fondement, pauvres imbéciles, perroquets de la décadence et de la désintégration, comme dans le film "Roger Rabbit", touns de la liquéfaction que tout pouvoir constitué renverra à leurs chères études de morphopsychologie. Ah le beau navire France, où la pourriture est règne, se lèvera-t-il pour affronter intelligemment les embruns de la pestilence rouge brune qui s'y accroche pour le détruire ? Les élections insipides seront peut-être réponse, mais il est encore trop tôt pour se prononcer.

© Vincent Thierry