La destruction manipulée
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- Catégorie : Politique
La destruction manipulée
Après les vacances obligatoires suite à une attaque virale en profondeur, signée anonymous, ce qui est un comble, venue d'où ?
Mais ici que chacun y réfléchisse, nous sommes de retour dans ce vaste monde en proie aux prédations les plus stupides comme les plus délirantes, les plus violentes comme les plus exacerbées, un monde en roue libre où la loi de la jungle se masque sous les oripeaux des croyances les plus désuètes, les plus amorphes, les plus tribales, les plus anthropomorphes, les plus cannibales, orientations de drames théurgiques dont la sapience mortelle n'aura échappé à personne.
Car les lignes sont désormais franchies de ce Rubicon infernal, les lignes de la folie d'oligarchies avides, de cartels douteux, vampirisant le monde visible de leurs atrophies monumentales. Il n'y a ici plus aucune règle du jeu que celle de la violence, de la mise au pas, cette mise au pas anémiant toute racine pour la dissoudre dans l'infect compissage du métissage le plus abrupt où se fermente par l'ignorance enseignée la volonté de voir un monde d'esclave s'agenouiller devant les prébendiers de tout bord, de toute caste, de toute effigie, de toute religion, de toute permission, ce droit de vie et de mort sur l'individu si bien représenté par ce fait divers où le regard tue, l'assassinat de deux jeunes adultes à coups de pioche, de couteau, par l'ersatz de la pourriture institutionnalisée, des non-être asservis au langage de l'inutilité, du désœuvrement, de l'accroire en une puissance communautaire, toutes faces qui sont l'image même des parasites qui se veulent diriger notre petite planète, servis par leurs féaux politiques en chaque Nation, qui s'empressent de relâcher les assassins au nom de leurs lois dégénérées. Ici se tient le lieu comme le lien de ces abstractions qui sont désormais gouvernance, une pitoyable errance faisant acclamer les parjures, les monstruosités perpétrées au nom d'une religion en Syrie, et paradoxe le plus total, voyant conspuer ces mêmes tueurs au Mali.
Il y a quelque chose de pourri dans ce royaume, tenu actuellement par la faune gargantuesque du Grand Orient, qui se déclame dans cette acceptation tribale de la règle du trois pour cent imposée par une oligarchie non élue par les Peuples, un ramassis de ismes qui s'imaginent des empereurs romains, alors qu'ils n'en sont que de pâles copies. Voyez ces fourbes et ces traîtres à la Patrie parler au Peuple en lui mentant sur notre perte de souveraineté !
C'est un pur scandale, dont le précédent fut le mini-traité, une tache indélébile sur la Démocratie ! Mais qu'attendre de plus des hyènes au pouvoir ? Rien, sinon le parjure, la trahison, la vacuité de l'inénarrable, tant son langage atrophié relève de l'esprit de boutiquier, où panurge trouve de quoi se restaurer, livrée blanche de places enrubannées suivant le tablier porté, livrée blanche de conseillers sans fin, de la stupidité régénérée afin de servir la boulimie de l'innommable, valetaille corrompue par le vice non du pouvoir - qu'est-ce que ce pouvoir de valets de l'illuminisme ? - mais du doux argent tintinnabulant dans les escarcelles du déshonneur, voyant utilisé les fonds publics, qui pour entretenir une maîtresse ou un giton, qui pour faire construire une maison, une piscine, et surtout pour payer les bonnes loges qui s'engraissent de ces fonds perdus.
Ce pouvoir est corrompu jusqu'à la moelle comme celui de cette "europe" où s'accouplent, or quelques individualités, les représentants de loges perverties, les boucaniers de la prostitution de l'esprit quand ce n'est pas celle des corps - ici l'échiquier se lit dans le terrier du Kosovo, voyant arriver des charters entiers de drogue venue d'Afghanistan, et d'autres encore dédiés à l'esclavage sexuel autorisé tant des femmes que des enfants, et de ce que ne veut pas parler cette assemblée, la traite des organes humains, voyant des êtres humains bien vivants se vendre afin d'apporter un peu d'argent à leur famille, meurtre autorisé développant un chiffre d’affaires considérable, où chacun "touche" pour se taire, pour faire semblant d'ignorer. Voilà le fameux chemin accepté par les borgnes et les aveugles, les danseurs de "oula", toutes ces foules aguerries par l'inintelligence, la bassesse du perroquet instruite par la propagande huilée de l'"éducation nationale" où on ne reconnaît ni Louis XIV, ni Bonaparte, de la "culture" où la bassesse est une tragédie et la vulgarité une symphonie.
Et comment pourrait-il en être autrement, l'aveuglement étant la matrice de cette horde de miséreux qui ignore tout de l'usure, la croyant normale, et de l'économie générale où l'on sait ne pas comparer une vache et une brebis, ignorant jusqu'à leurs racines, noyées par des "culpabilisations" utiles, des prévarications immondes tant dans le domaine des sciences, des lettres que des arts. Et comment pourrait-il en être autrement alors que les imbéciles prônent la libéralisation des capitaux comme d'autres l'entrée en guerre de la France en Syrie, la bêtise ici n'a plus de limites, et il faudrait se taire, et il faudrait surtout ne rien dire. On croit rêver, 1984 d’Orwell est ici très largement dépassé. L’introduction du virtuel dans la pensée est à son comble, et bien entendu elle se veut raison !
Un peu d’humilité, nous ne sommes qu’un point dans la sphère des idées, et ces métastases du virtuel qui voudraient confondre le réel ne devraient pas l’oublier. Les vacances obligatoires, par hacker interposé aux petits pieds se réclamant d’anonymous, ( pauvre personnage se vendant pour quelques dollars ou quelques roubles ou encore quelques euros n’ayant d’autres buts que la destruction sans connaître un seul instant ce qu’est la création, vendu à une secte quelconque, des services spéciaux ou gouvernementaux qui n’aiment pas que l’on mette en exergue le réel) les vacances forcées sont donc terminées, et la pensée reprendra son libre droit d’expression, n’en déplaise, et me faut-il remercier ici mon provider qui vit dans un Pays où la Liberté n’est pas encore un vain mot, pour reprendre plume contre la virtualité qui se propage.
À bon entendeur, salut, car la faculté pour le réel de pardonner au virtuel est ici la mesure du déploiement, et en aucun cas le conchiage, ce qui pourrait se faire, de celui ou de celle qui a cherché à détruire ce site, ce qui d’ailleurs et pour information est sans intérêt, tout étant imprimé par éditions successives. C’est ici toute la différence entre la construction dans le réel et la destruction par le virtuel. Enfin, à nos plumes, bien plus importantes que cent mille canons, n’en déplaise, et pour preuve cette tentative de destruction manipulée.
© Vincent Thierry