Involution
- Détails
- Catégorie : Politique
Involution
Nous y sommes dans la compromission la plus hilarante, si ce n’était à pleurer, dans la mystification la plus planifiée, dans le débordement du vase de Soissons, nous y voici dans la reptation conjuguée, dans la participation au fléau de ce monde, l’usure mortelle, ce poison dont toutes les Nations sont imprégnées, pour la raison d’un plan machiavélique, ourdie par l’illumination la plus stérile pour ce monde, par l’atrophie la plus répugnante que l’Humanité ait conçue.
Un seul regard suffit pour voir l’arbitrage se commettre dans la plus grande dérision à l’inclination morbide, un seul regard sur la spéculation sur les matières organiques, le blé, l’orge, le maïs, l’avoine, pour se rendre compte que le temps de la famine arrive, régulé comme il convient par l’orthodoxie du néant qui s’alimente de la mort et par la mort et pour la mort.
L’Ukraine comme la Chine ont connu ce brouhaha de l’esprit, cette divination pratiquement théurgique à la condamnation des Êtres Humains par l’atrophie et ses rayonnements, tous ces ismes qui se précipitent à la curée, pour fomenter le plus grand crime contre l’Humanité qui ne s’est jamais donné la peine d’exister, le génocide programmé de milliards d’Êtres Humains qui ne pourront plus se nourrir et qu’on abattra comme des chiens s’ils se révoltent ouvertement, comme on le voit si bien dans les manifestations qui se font de plus en plus nombreuses par les Pays assoiffés, les Pays en berne de vrais politiciens, de ceux qui savent régir et non se soumettre, de ceux qui savent hisser et non détruire, de ceux qui ne renient en aucun cas leurs racines, de ceux qui savent ce que vaut la Vie, qui n’est pas seulement l’espérance, mais le devenir de ce monde.
Car la Vie est là et regarde les métamorphoses gluantes des «lumières» qui s’agitent portant le tombeau de ses harmonies sur leurs épaules lasses de cordonites, de reptations et d’outrages. Car la Vie, celle qu’ils fardent désormais du genre sans n’avoir rien compris à la Voie, et comment pourraient-ils la comprendre ? Brutes inutiles servant le néant comment pourraient-ils comprendre le manifesté, l’autorité du manifesté et son unité majeure ? En aucun cas, nains sont-ils dans leurs nuits sevrées de cadavres, les voyez-vous hurlant et la morgue en bouche apostropher les Êtres Humains en leur demandant plus et plus encore, alors qu’ils ne sont en aucun cas responsables de la bêtise institutionnalisée, celle se couchant devant l’usure pour le plaisir de l’usure et l’incarnat de l’usure.
L’Islande a fait le ménage de cette incurie, de cette prosternation à la belliqueuse ardeur de toute cette fainéantise qui s’imagine reine d’un royaume, dans lequel les ombres sont platitude, le désarroi la constante, l’anarchie les dérives, l’idiocratie le ferment, caractères de tout ce qui s’écroule, de tout ce qui ne tient plus que par le souffle brisé d’un lamentable plan qui s’échoue désormais sur la réalité.
On ne fonde pas le monde sur du sable mais bien sûr des piliers dont l’autorité n’est pas à remettre en cause, on ne fonde pas le monde sur la spoliation, la domestication, l’acculturation, la réécriture de l’Histoire, l’achèvement du réel par des mariages inutiles, par cette théorie du lamentable qui après la destruction de la famille s’escrime à la destruction de l’Être Humain en son rayonnement, son appartenance, sa déité, n’en déplaise, on ne fonde pas le monde par la destruction massive, l’emploi de mercenaires tuant et pillant, violant et égorgeant, on ne fonde pas le monde sur la virtualité.
Ce jour démontre l’inanité de ces ressorts de la bestialité qui se veut maîtresse et qui ne sera rien, renvoyée aux fosses de l’oubli, sinon que par un souvenir, tout ce que l’Humain ne doit pas faire pour s’élever, en aucun cas renier ses racines humaines, culturelles, intellectuelles, spirituelles, en aucun cas détruire ses Régions et encore moins sa Nation, en aucun cas détruire sa réalité Humaine qui est faite de la Femme et de l’Homme et non du genre, en aucun cas détruire l’Idéal souverain de la Liberté dans un monde uni respectant et respectueux de l’ensemble de ses Nations, représentées par la Capacité et non la vulgarité et encore moins la bêtise.
Car la bêtise est là dans sa notoriété et sert sa délirante perversité tous les sans noms, tous ceux et toutes celles qui ont renié leur liberté pour se soumettre à la dépravation, à l’ordination de ces loges putrides où se commet le parjure envers la Vie, envers l’autorité naturelle, envers la capacité intellectuelle et physique, envers la nature Humaine, envers ses créations, les États, le Politique dominant l’économique, ah le politique, qui n’existe plus ce jour à part dans certains Pays que les nains veulent humilier, détruire, et que l’on ne parle pas de gauche ou de droite, animés par la même main qui caresse l’espoir de voir toujours rugir son empire par-delà les mers et qui aujourd’hui est la ruine de toutes Nations, comme la ruine de sa croyance propre.
Ne pouvant plus réduire en esclavage quelques peuples, elle a décidé de réduire l’humanité dans sa totalité en esclavage, en se servant de spadassins tenus par leurs vices, élus comme des marques de savonnettes, pour entreprendre la destruction des Nations, préalable à ce servage, maîtres en abattage, abattage des acquis sociaux, abattage des droits sociaux, abattage du travail lui-même qui coûterait très cher aux Nations.
Regardons de plus près l’entreprise, comprenant capitaux, investissement et travail, la règle de trois ici s’impose, mais bien entendu les spéculateurs ne veulent en tenir compte comme de coutume ce serait le travail qui coûterait alors que ce qui coûte, c’est bien entendu la rémunération des capitaux, sordide demeure de l’inintelligence, sordide à foison que n’importe quelle jacquerie eut mise à genoux, mais bien entendu l’Histoire n’existe pas dans ce miroir de l’inutilité, de la faisanderie, du marchandage, de la duperie, du mensonge.
Il faudrait rappeler à nos chères têtes blondes que la Révolution dont se réclament ces errances du néant, n’a jamais été fomentée par le Peuple, et encore moins par les lumières, mais par cet écheveau de la canaille, que l’on nomme les Illuminés de Bavière, création de Weishaupt aux ordres de l’usure, qui ont fait leurs nids de pestilence dans les loges maçonniques, dont la première le Grand Orient de France.
Ses agents provocateurs par mensonges interposés ont poussé le Peuple à la Révolte alors que le Roi Louis XVI s’apprêtait à agréer aux réclamations du tiers état. Que non, il fallait un symbole à cette prosternation de la mort, prônant la destruction de toute église comme de tout trône, prônant la civilisation ubuesque universelle, à laquelle tant et tant se sont ralliés, tant de nobliaux, tant d’aristocrates déchus faisant déjà payer aux Peuples leurs insouciances, ruinés par l’usure elle-même n’attendant que son heure pour se révéler. Illuminés si bien payés par les banquiers de Rotterdam et tutti quanti, frisant l’insolence et le mépris, ordonnant et achevant leurs théories en massacrant sous la guillotine tout ce que compta d’intelligence notre Nation, et pire que cela condamnant tout ce qui n’était pas eux dans des génocides dont le plus important eut lieu en Vendée, car la famine organisée n’est pas la seule arme dont disposait cette armada d’imposteurs, le meurtre légalisé en était une autre.
Une révolution faite pour le bien du Peuple ? Que non, mais bien pour le bien de l’usure, de la prosternation à l’usure, dont Napoléon Bonaparte fit l’expérience amère.
Le journal de Vienne dès 1 793 dénonçait la source d’inspiration qui se terrait derrière le système de cette «révolution» : «Ce ne sont pas les Français qui conçurent le vaste projet de changer la face du monde : cet honneur appartient aux Allemands. Les Français quant à eux peuvent revendiquer l’honneur d’en avoir commencé la réalisation et de l’avoir poursuivie jusqu’aux plus ultimes conséquences, qui, comme l’Histoire est là pour le prouver, furent en accord avec le génie de ce peuple de la guillotine, l’intrigue, l’assassinat, les incendies et le cannibalisme. D’où provient l’éternel refrain jacobin de Liberté et d’Égalité universelles, de la suppression des Rois et des Princes qui ne sont tous que des tyrans, et de l’oppression par le clergé, de la nécessité de mesures pour détruire la religion Chrétienne et pour établir une religion philosophique, refrain dont tout le monde se souvient après les déclarations concernant le Christianisme de Mauvillon, un célèbre illuminé, et celles de Knigge et de Campe en ce qui concerne la Religion d’État ? D’où viendrait le fait que tout cela s’harmonise parfaitement avec les «écrits originaux» des Illuminés, s’il n’y avait pas alliance entre les deux sectes (la Franc-Maçonnerie et les Illuminés de Bavière) ? D’où viendrait que le jacobinisme a des partisans partout, même dans les Pays les plus lointains, et comment expliquer que ceux-ci, pour autant que les recherches s’étendent, ont toujours été en contact avec l’Illuminisme» Dixit Aloys Hoffman, éditeur de ce journal.
Notons aussi un extrait de la lettre de Quintin Crawfurd à Lord Auckland en date du 23 mai 1793 : «La crise actuelle est certainement la plus extraordinaire par sa nature, et parmi toutes celles que l’on peut trouver dans les pages de l’Histoire, elle pourra s’avérer la plus importante de par ses conséquences. Elle risque de décider du sort de la Religion et du Gouvernement de la plupart des Nations d’Europe, ou bien plutôt, elle risque de décider si la Religion et si le Gouvernement doit continuer à exister, ou bien si l’Europe doit replonger dans un état de barbarie.
Jusqu’ici la base de la politique Humaine fut la Religion : l’Être Suprême était partout adoré et les grandes maximes de la moralité respectées : mais alors que l’ordre civil de la société avait atteint un degré de perfection inconnu des âges antérieurs, nous voyons presque partout des tentatives mises en œuvre pour le détruire, l’athéisme s’élevant contre la Religion, l’anarchie contre le Gouvernement, les vagabonds contre les gens industrieux, ceux qui n’ont rien à perdre contre ceux qui jouissent de ce qu’ils ont reçu de leurs ancêtres ou de ce qu’ils ont acquis par leur travail, et ce conflit en est finalement venu à se régler à la pointe de l’épée.
D’un côté nous voyons les principales puissances de l’Europe prendre les armes en défense de la Religion et de l’autorité légale, et de l’autre une multitude de barbares désorganisés s’essayant à les détruire.»
Dixit. L’Histoire avec un H majuscule existe toujours et il convient de s’y référer. Il n’y a dans cette dernière lettre rien de nouveau dans le paysage, et ce d’autant plus que ce sont les mêmes qui aujourd’hui sont au pouvoir tant en France qu’en Europe. Et il n’y a plus malheureusement ces Nations d’Europe pour défendre l’autorité légale. Je ne saurais conseiller à mes lecteurs de relire l’ouvrage de Nesta Webster : «La Révolution Mondiale» qui les éclairera bien plus sur les tenants et aboutissants de cette révolution innommable qui a transféré l’autorité naturelle à l’autorité virtuelle qui ce jour trouve son apothéose dans la remise des clés du trésor à cet organisme au-dessus des lois et dont chaque employé est au-dessus des lois, antidémocratique au possible, la BCE.
Ce plan montre aujourd’hui ses limites, sa virtualité globale, ses arabesques délirantes, voyant certaines de nos Nations Européennes condamnées à la famine pour le privilège de l’usure, ce qui ne tardera pas en France. Lorsqu’on aura compris que le vote utile n’est pas le vote pour toute la soldatesque qui se presse actuellement, ressortant de cette illumination de la reptation devant l’usure, le chemin vers la Liberté sera recouvré, au-delà de la vente des hommes ou femmes politiques comme des marques de lessive poinçonnées sociétés discrètes, qui ne servent en aucun cas les intérêts du Peuple, mais bien les intérêts de l’usure exclusivement.
Le Peuple contrairement aux apparences, n’a jamais eu le pouvoir en France, comme dans d’autres Nations, or l’Islande actuellement. La réécriture de l’Histoire par les mentors des sociétés discrètes et des pouvoirs régaliens n’est qu’accroire et stupide mensonge au regard de la réalité manifestée. Il suffit pour le découvrir de s’employer à consulter toutes les archives afin d’abstraire la grandiloquence sur cette période on ne peut plus honteuse de notre Histoire que l’on nomme «la révolution française», qui devrait s’appeler la révolution des illuminés bavarois. Et l’on s’amuse beaucoup de voir la propagande liée à cette révolution se rattacher les encyclopédistes qu’elle a combattus farouchement et dont on peut voir aujourd’hui la démence incarnée par l’illettrisme, l’acculturation et la propagande de l’acculturation, l’Être Humain étant considéré par ces Messieurs Dames comme une bête de somme et rien d’autre, un animal voué à l’euthanasie voulue ou non, à la famine comprise, à la désintégration biologique et génétique.
Que devons-nous à cette pestilence ? La destruction de l’intelligence Française pendant la «révolution», la destruction de l’intelligence Européenne pendant la première guerre mondiale, l’asservissement de l’intelligence Européenne pendant la deuxième guerre mondiale, ces deux guerres ourdies bien entendu par son entremise. Et nous en voyons ce jour le résultat qui se livre avec outrance et morgue, et sans honte, car la honte on ne connaît pas dans son milieu.
Quel devenir pour ce marasme inventé par la jalousie de celui qui, éduqué par les Jésuites, les haïssait mais voulait bien entendu conforter son ordre à leur image, en étant grassement rétribué par les Banquiers d’Amsterdam et de Rotterdam, puis après la «révolution» française, par une finance apatride, bénéficiant du pillage des châteaux, du pillage des œuvres d’art, du pillage généralisé des biens accumulés par l’Histoire, en envoyant à la guillotine les uns les autres, par espérance d’un gain quelconque, mais surtout l’espérance d’être enfin libéré des ordonnances malmenant l’usure et ses démences.
Quel devenir, sinon celui de voir cette atrophie si bien révélée ce jour être confrontée non à la violence, qui est le privilège de la lâcheté, mais au droit de vote, le droit de ne plus jamais voter pour son armada politique qui est son paravent.
Là se dresse le devenir et il sera ce que chacun en fera, afin de destituer les potiches et les remplacer par l’implacable capacité qui renverra l’usure à ses petites études, par séparation des banques d’affaires des banques de dépôts, par inaliénation du droit de battre monnaie en déchirant ces traités invisibles signés en 1973, par sortie de ce serpent monétaire que l’on nomme l’euro, sommet de la puissance usuraire qui convertit l’élévation de l’Être Humain en cette pantomime grotesque qui, grâce à la magie de la propagande que nous subissons depuis 1945 en arrive à se demander s’il est en dessous de l’échelle du singe, à égalité intellectuelle avec le singe ou au-dessus, si nommé le non-humain acculturé et illettré produit par des éducations dites «nationales» qui ressemble en tout point à l’animal tant enchanté par l’atrophie.
Pas de chance pour cette engeance, l’Être Humain, quoiqu’il arrive dispose d’un capital génétique suffisamment puissant pour échapper à sa léthargie, lui permettant de naître actuellement un contre-pouvoir naturel mondial face à sa dénature voulant imposer ses lois inhumaines.
Là où le bât blesse pour cette engeance, c’est que ce contre-pouvoir n’a pas besoin de se réunir pour construire, défaire et entreprendre, il n’est lié à aucune autorité, aucune hiérarchie, si bien que faire tomber une tête de ce contre-pouvoir ne sert à rien, cent mille repoussent derrière, démontrant ainsi la puissance de la communication et de la création Humaine qui n’ont nul besoin de supports, nul besoin d’agitation, nul besoin de meneur, pour se révéler et faire infléchir l’autarcie et ses combinaisons douteuses.
Un tout petit début par ce monde où s’organisent à la vitesse de la lumière les édifices qui ne trembleront en aucun cas devant le monstre né des élucubrations du sieur Weishaupt mandaté par ses rétribuants, qui déjà se fracasse devant la réalité qui n’est pas construite sur du sable.
Une réalité combattant pour la Vie en la Vie et par la Vie contre la mort et ses prêtres anachroniques.
© Vincent Thierry