Le parjure

Le parjure

 

Cette société est pourrie jusqu’à la moelle, et ce ne seront les coups de mentons des responsables non coupables qui y changeront quelque chose, les uns les autres en moisson de cet abîme de la corruption qui mène la destinée de cette «république» de  petits frères se protégeant les uns les autres. Il n’est question de revenir sur le cas de ce ministre tombé au champ du déshonneur dans le parjure le plus total, ministre à terre qui devrait mériter l’indignité nationale, mais qui bien sûr n’encourra cette symbolique, sa symbolique se trouvant dans l’équerre et le compas qui le protégeront de l’ignominie.

La chevalerie interdit de briser un homme à terre, par simple compassion. Derrière ce rideau de fumée, ce fusible de la pourriture qui sévit dans tous les rouages de cette «république» de l’ignoble, se cachent les tentacules de la déshérence et ses motions, ses ouvrages qui font la lâcheté de tous les corps qui se précipitent dans ses rets qui sont de l’ordure au sens propre du terme et non au sens figuré. L’ordure qui est le sein de la bassesse dont se servent tous ces tentacules en action afin de pervertir les pouvoirs et les incliner à leurs plans usuraires établis.

Ne vous est-il pas venu à l’esprit que nous ne sortons pas des limbes de cet «euro» ridicule, que nous ne sortons pas de ce monolithe bancaire qui fait travailler nos faibles économies dans ce jeu de roulette où se masturbent des mathématiciens pour créer des formules sans fondement destinées à engraisser l’usure et ses dévots, ne vous est-il donc pas venu à l’esprit que tout simplement les uns les autres de ces pouvoirs en la face de Janus, sont pervertis, qui par l’argent, qui par les prébendes, qui par le sexe, qui par le crime ?

Regardez cette députation où trône l’État dans l’État, cette franc-maçonnerie déviante qui exulte et se sert de toutes les spéculations dithyrambes que l’histoire contemporaine sait nous conter, car rien ne peut être caché à ce niveau. Les affaires se suivent et se ressemblent, les unes les autres ourdies par des loges décapitées, des francs-maçons qui n’ont rien compris à l’œuvre de la franc-maçonnerie et qui se gargarisent de leur appartenance, qui s’imaginent trônes alors qu’ils ne sont que rebuts de ces trônes, pauvres errants à la solde de ce qu’ils méconnaissent, où qu’ils oublient, de peur de perdre la face dans ce petit monde interlope pire que tout dans ces jours qui nous façonnent l’image intègre du parjure, comme elle a voulu nous façonner l’image mémorable du rut normalisé dans cette civilisation où la démence règne, et où seul compte l’avoir en portefeuille.

Les femmes et hommes politiques pour la plupart ne s’appartiennent pas, pris au berceau pour être émasculés où excisées, afin d’être les esclaves de think tank qui s’ordonnent en ordre de bataille, trouvant alliance avec tout ce que compte la maçonnerie, pour imposer leur dictature mémorable, la dictature des médiocres, la dictature de la pensée unique, la dictature totale sur le droit de penser d’autrui, cet autrui qui n’est pas franc-maçon, cet autrui qui n’appartient pas à leurs sociétés de penser, primitives par essence, qui ruissellent l’infection vivipare, notamment dans notre Nation avec ce que l’on nomme Le Siècle, qui n’est tenu que par la prostitution de l’esprit aux espèces sonnantes et trébuchantes et en aucun cas par la capacité et certainement pas par la sagesse, ces deux termes n’existant dans ce royaume de la nullité exemplaire qui s’y manifeste.

Qui est qui ? Qui est quoi ? Qui appartient à quoi ? Regardons ces émules de l’association franco américaine (de quelle Amérique parlons-nous ?), regardons ces héritiers d’une franc-maçonnerie déviée majoritaires dans notre gouvernement, regardons les émules du Bilderberg qui trônent, et derrière ces paravents les missi dominici des banques qui persiflent leur venin. Avons-nous là une représentation du Peuple par le Peuple pour le Peuple, en aucun cas, bien au contraire, un édifice bancal, État dans l’État qui le parasite, car ne servant en aucun cas la Nation, mais bien allant la corde au cou donner les clés de la Nation à sa maîtresse, qui entre parenthèses se couronne dans le Parlement de Strasbourg, l’usure dans toute sa splendeur destructive, dans toute sa dérision, dans toute son infection, dans toute sa purulence, suant le crime, la mort, les ténèbres.

Où ne végètent que l’atrophie et ses donneurs d’ordre, et ses tueurs de Nations, de Peuples, ses tueurs patentés qui servent si bien et qui doivent servir car tenus les uns les autres par leur fragilité, leurs équivoques, leur déliquescence, et bien plus souvent par l’irréalité qui les a vus se prosterner devant la mort, la mort d’enfants, de femmes, d’hommes, torturés et assassinés dans des horreurs sans noms, et pour les uns les autres encore impliqués dans le trafic de ces enfants, de ces femmes, de ces hommes, en vue de la prostitution, de la vente d’organes humains, impliqués dans ces trafics de drogue, tous trafics entraînant l’assassinat de toutes celles et ceux qui s’y intéressent.

Il n’y a que les aveugles pour ne pas voir ce qui se passe dans nos banlieues, le trafic de drogue non seulement engraisser les parrains de la drogue mais bien le laisser faire qui permet la «paix» sociale, ce laisser faire qui voit tant de policiers se suicider lorsqu’ils découvrent la pourriture qui règne au niveau des institutions, des notabilités, de tout ce petit monde qui se fête dans toutes les loges que compte notre Nation, tenant les tribunaux, tenant la justice, tenant les politiques par les testicules ou les ovaires, pardonnez-moi l’expression, mais c’est bien la seule qui existe pour correspondre à cette déliquescence qui pourrit tout, qui accepte tout, qui s’autoprotège, se fertilise, et dans ses démences se croit une Élite alors que cela en est l’inverse dans sa totalité, même si l’on peut croire à la sincérité de certaines et de certains qui n’osent creuser dans les écuries d’Augias, tellement elles sont pleines.

Qui est qui et qui touche, qui des marchés, qui des subsides pour des routes menant nulle part, qui sur les armes, qui sur les trafics y compris ceux de l’argent ? Le pourrissement d’une société commence par sa corruptibilité, et là, nous ne voyons mais devinons à quel point les strates de cette crasse sont désormais labiales, tétées des soupirs et des lamentations des larbins domestiques qui se sustentent. Le dirons-nous jamais, il faut nettoyer de fond en comble cette pourriture qui siège dans l’ombre dans toutes nos Institutions, déclarer une guerre intellectuelle à de ce qui s’accroît l’élite qui n’est que fourberie, désinence de la prismatique déshérence qui dans ses accompagnements fait rire le monde entier, délitement de toute culture, délitement de tout honneur, délitement de toute valeur, délitement total advenant cette image dans l’image qui vient avec un sourire devant les caméras de cette télévision sordide, dire en substance qu’il a été pris par la spirale du mensonge.

Mais ce mensonge est un mensonge de l’État lui-même, un mensonge dont sont redevables ceux qui ont nommé le personnage. Pauvres impertinents sans la moindre noblesse qui sont bien entendus responsables mais non coupables et qui s’accrochent au pouvoir, à ce pouvoir lamentable, qui veut régir la France. Lorsqu’on a de l’honneur, lorsqu’on respecte les valeurs de la France, on démissionne, on dissout le gouvernement, et dans l’intégrité absolue, on abdique de tous pouvoirs quels qu’ils soient, afin de rendre sa légitimité au Peuple qui ne peut être dirigé par le mensonge, la félonie, qui resteront définitivement ancrés dans ce pseudo-gouvernement s’il ne rend pas les armes.

Voyez-vous la pseudo-opposition demander cette démission ? Que non, Janus aux deux visages se tient coi, l’un comme l’autre de même appartenance se justifiant dans ce qui est le symbole de la purulence, de la liquéfaction de toute droiture, de tout exemple, ruine de l’espérance, on l’espère, de tous les aveugles qui ont voté pour leur prosternation au veau d’or.

N’attendons plus rien de cette fange qui immole nos institutions, l’Assemblée Nationale, le Sénat, Les tribunaux, n’attendons plus rien de cette secte qui domine par un coup d’État dans l’État les «destinées» de notre Nation, préparons activement les élections qui viennent, pour nettoyer le paysage politique de toute cette déréliction, en tous lieux, communes, départements, régions, évacuons tout ce qui n’appartient pas à la France mais à l’usure, barrons la route de la gouvernance, aux francs-maçons, aux initiés des think tanks, aux valets du Bilderberg, aux intrigants du Siècle, aux rotariens,  au Bnai Bright, aux payeurs de la Table Ronde, et tutti quanti qui ne sont en aucun cas les représentants légaux de notre Nation, mais bien les représentants de tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, l’usure.

La France n’a pas à être dominée par les réseaux quels qu’ils soient, ces communautarismes d’affaires principalement et non de philosophie comme on le prétend, la France n’a pas à être gouvernée par ce qui ne représente en aucun cas le Peuple, par des marques vendues comme des savonnettes par des sociétés qui vivent de l’ignorance des Peuples, ignorance des appartenances, ignorance des buts de ces appartenances, ignorance globale voyant se précipiter de pauvres êtres pour serrer les mains de certaines de ces marques, mains pleines de sang pour d’aucuns, le sang contaminé, le sang du médiator, et de combien de produits gérés dans la prébende destinés à tuer, de la viande avariée au H1N1, n’en jetons plus la cour est pleine, jusqu’à ces adéquations de viande de cheval vendue pour du veau et autres.

La corruption est partout, et a explosé depuis la naissance de cette fausse europe où tout est sujet à pourcentage, tout y compris par versements interposés à des «députés» qui n’en ont que le nom, permettant le passage de lois idiotes et inutiles qui travestissent pour intérêts conjugués la réalité. Le sordide est donc de ce monde, et ce sordide qui verra certainement ce gouvernement et ce Président rester au «pouvoir» ne confirmera que la règle, la règle qu’aujourd’hui, il faut définitivement éradiquer des votes, afin de circonvenir cette prébende qui s’autorise des retraites dorées qu’il faudra passer au peigne fin pour faire des économies d’échelle qui seront remarquables n’en doutons pas, tant sous le fumier réside la poule aux œufs d’or.

À ce propos il n’y a qu’à regarder cette outre percée qui se nomme «europe» qui s’autorise des versements de 1 500,00 euros de retraire pour une présence de ses larbins d’à peine six mois, une honte que rien ne peut justifier, qui s’adjuge des jetons de présence de 75 euros ou plus, pour chaque «député» qui vient pointer et vite se retire du parlement, une honte totale que ce système agréé, tenant ainsi ces vils personnages dans ses rets les plus ténébreux.

Et l’Europe n’est rien par rapport à notre Nation totalement investie par les enveloppes, ah, au fait vous avez entendu parler de cet aéroport ridicule pour lequel le combat amorcé par les «écologistes» l’est sous faux drapeau, cet aéroport devant desservir dans notre propre Nation les intérêts d’une Nation étrangère qui va s’en servir comme base d’’irrigation économique de notre pays de toute sa quincaillerie, sa technologie qui brûle si on n’y prend garde, toute cette gargantuesque limonade pour laquelle très certainement ont touché bien des prébendes celles et ceux qui ont indirectement participé à sa mise en œuvre.

Une belle enquête reste à faire ici par des journalistes intègres, où l’on verrait sans doute bien des «élites» se retirer des pouvoirs pour se reconvertir dans la contrition, ce qui ne leur ferait aucun mal, et ce qui ne nuirait pas au Peuple de France.

Tout est moisi, suinte la fange goutte à goutte dans notre Nation corrompue, entrelacs de la faune mafieuse et de ses supports, jusqu’en cette aberration voyant récompensé un carnet d’adresse par des millions que doivent supporter les contribuables, pendant que trônent dans les institutions internationales, leurs opérateurs et tutti quanti. Chaque commune, chaque Département, chaque Région, doivent faire l’objet d’une enquête approfondie sur la déviance de celles et de ceux qui s’inscrivent en pouvoir, je ne parle pas d’élection, les élections de marques de savonnettes étant sans intérêt et relevant du pur viol psychologique des foules si bien appris dans l’institut Tavistok, et appliqué dans notre Nation, comme dans les autres d’ailleurs. Que de surprises aurions-nous, n’en doutons un seul instant, tout un chacun pouvant citer des formes dont l’irrégularité est conditionnée par le pourboire.

Nous pourrions continuer cet édito sur ce thème pendant des années, tel n’est pas son but, qui est simplement celui de montrer que l’arbre ne doit en aucun cas cacher la forêt, et qu’il serait temps, à tout le moins dans notre Nation, de voter pour la capacité et l’intégrité, et non les appartenances qui, quoi qu’il en soit, seront toujours parjures soit en intention soit en rétribution monétaire, au regard du devenir de la France.

Qu’en tout état de cause, si ce «gouvernement» responsable mais non «coupable» persiste, les uns les autres sauront que le mensonge, la forfaiture, la traîtrise, le parjure, sont les rênes de son pouvoir et desservent en cela toutes les espérances des Françaises et des Français, trompés qu’elles et ils sont par la décérébration de l’atrophie qui les manipule et les mène à la tombe physique par viol ethnique, à la tombe intellectuelle par aporie de leur culture par la sous-culture, à la tombe spirituelle par implantation de la religion de la soumission, tout cela afin de faire oublier sa médiocrité, cette duplicité qui marque ce jour le style particulier de sa déshérence signifiante, celle vouée à l’utopie barbare de sa prononciation ridicule, le parjure dans toute sa virtuelle incandescence, symbole de l’anomie dans le réel.

© Vincent Thierry