Les égouts
- Détails
- Catégorie : Politique
Les égouts
La symphonie des égouts se met en place, ronflant de ses cymbales les remugles qui sortent de ses antres, pour compléter le parjure et ses hymnes, ce parjure qui ne s’avoue pas défait, et déjà s’imagine, et en cela il aurait bien tort de se priver dans cette «république» qui n’est plus qu’une raie publique, de nouveau à l’Assemblée Nationale.
Les sons gargouillant de la mystique socialiste sont en éruption, voyant son premier, déjà décoré des tribunaux, s’élever pour demander référendum à la France sur la probité en matière politique ! On ne peut que rire de cette bêtise qui s’ourdit oubliant de demander référendum pour le mariage gay, et qui ne demandera rien sur les lois de la mise à mort de nos concitoyens dans le cadre de l’euthanasie, pendant qu’on arrête la putréfaction qui à coups de marteaux a tué un adolescent avant de le dépecer, qui bien entendu sera libéré pour bonne conduite dans les années qui suivront.
La tempête passe sur la Nation, son premier bien au chaud au Maroc, gesticulant sur l’innommable, se parjurant lui-même en feignant d’ignorer l’avilissement reconnu depuis 2008 par le gouvernement précédent, et d’y aller de ses ministres complaisants les uns les autres se déclarant dans l’expectative devant les agissements de leur ami, ce qui est vraiment le comble de l’hypocrisie, ces petits frères en loges, larbins du Bilderberg connaissant obligatoirement le contenu du dossier du sieur pour lequel, quelle rigolade, le haut conseil du Grand Orient se réunit afin de statuer.
Et les Françaises et les Français doivent gober ces insanités, cette perversion du pouvoir frelaté qui pue le fin de règne de la médiocrité, nous le souhaitons, mais ce n’est pas encore pour demain, tant les écuries sont pleines de ces pratiques qui semblent atterrirent sur le rivage Français pour la première fois, alors qu’à l’analyse rien ne résiste, et ce depuis des années, de leurs envolées déliquescentes.
Le paysage de cette gouvernance ressemble à Verdun au plus fort de la bataille, et se cache les uns les autres de cette prétention derrière les écoutilles du Grand Orient qui mène la barque aux fins de détruire la Nation. N’escomptez ici le sens de l’honneur, il y a longtemps qu’il est participe du déshonneur, n’escomptez ici la grandeur, il n’y a ici que la petitesse jugulée dans les chaînes d’une pensée qui ne sera jamais celle de la France, importée dans le métissage, le vol des idées, la tenaille infernale de l’usure associée au paupérisme, le slogan pitoyable de cette honte humaine que représente le socialisme moteur de cent cinquante millions de victimes qui réclament désormais en urgence leur reconnaissance, et surtout la reconnaissance de leurs bourreaux.
Pauvre France noyée dans le bubon de la crasse intellectuelle, de la soumission, de la déshérence, de cette putridité issue des basses loges qui n’a d’autres objectifs que de détruire son Peuple, en faire le genre qui sera si facilement malléable, si facilement conduit à toutes les turpitudes, à toutes les volitions de la dépravation sexuelle de ses maîtres, incapables de se gérer, inhumains par excellence qui s’imaginent le pouvoir alors qu’ils n’en sont que les sous semelles.
Voici cette France, où guerroie l’insolence à l’Assemblée Nationale, au Sénat, de tout ce qui ne défend pas la France mais l’illustration morbide de ces sous loges qui depuis trois cents ans empuantissent ce monde, jusqu’à l’Église Catholique dont le dernier Pape a fui les gémonies satanistes et pédérastes, quand elles ne sont pas pédophiles, une Église qui pour tout Chrétien qui se respecte doit disparaître, car elle est devenue le vivier de cette catastrophe humanitaire que chacun nomme la gnose, terme dévié qui ne représente qu’un panthéisme de dégénéré, où se vautrent toute l’ordure et l’ignominie humaine en voulant se donner un sens.
La Chrétienté doit se défendre de cet outrage, et retrouver sa place dans ce monde en vue d’élever l’Humain, et non le rabaisser où le soumettre comme c’est le cas pour d’autres religions qui s’imaginent déjà les hyènes qui se repaîtront des restes de l’Église. Qu’ils se la gardent, aucun Chrétien n’en veut plus, le Christ n’a jamais eu besoin d’elle pour être respecté, pour être signifié, et que pour chacun se montre dans son chemin de vérité qui est celui non de l’espérance mais de l’action souveraine de l’Être qui se dresse debout afin de rendre grâce à son dévouement, s’inscrire dans son témoignage et en cela combattre toute la pourriture qui se veut siège de son autorité qui ne peut être remise en question par toutes les pustules et les chancres qui le voudraient honni.
Qu’on se le dise et qu’on l’inscrive au front de nos Nations, le règne de la Chrétienté n’est pas enterré, bien au contraire, la syphilis qui veut en prendre les rênes s’y brûlera les mains, et cela est déjà fait en la circonstance lorsqu’on voit ses pontifes s’égosiller pour prendre le pas d’une maçonnerie déviée et déviante qui veut régir ce monde.
Les miasmes de la pourriture sont partout, tout autour de nous, dans cette corruption des corps, dans cette corruption des esprits, dans cette corruption des âmes, dans ces lacis de l’ignominie qui se sacrent et se perpétuent, cette finance oisive et apatride qui pue l’usure et ses esclaves, une puanteur qui se réjouit si bien dans les fastes de notre gouvernance désaxée, calfeutrée dans ses espoirs, corrompue à jamais par ses «mystères» qui trônent en arrière-cour dans les Ministères, tous ces représentants de banques innommables qui ont tenté de détruire l’Europe, et qui sont là comme la lèpre pour instruire les ministres de ce qu’ils doivent faire et ne pas faire, afin de ne pas nuire à leurs intérêts de reptiles.
Faire le ménage de ce gouvernement, commencerait par faire le ménage des appartenances, de ces représentants des banques qui n’ont rien à y faire, de ces larbins des think tanks qui n’ont rien à y faire, de ces valets de la franc-maçonnerie déviante qui n’ont rien à y faire, et de trente-six ministres, il n’y en aurait plus un seul, et parcourant la haute administration et ses béquilles, il n’y aurait plus personne, et de la justice comme de la police, tout disparaîtrait comme par enchantement, prouvant en cela s’il en était que bien pire que six cent mille euros cachés dans un paradis fiscal existe au sein de notre Nation une sclérose dont le Peuple devra se débarrasser pour voir son droit d’être représenté parfaitement initié.
Faire le ménage ce n’est pas pousser des cris d’orfraies et rejeter un ministre franc-maçon, mais bien épurer totalement la gouvernance de cette insanité qui ne représente en aucun cas la France mais les intérêts mondialistes par excellence, les intérêts des banques apatrides, les intérêts de l’esclavagisme le plus patenté, le plus ordonné, le plus dépouillé, le plus inhumain que la terre ait porté, un sida contre lequel seul les Peuples peuvent lutter, en conscience, et c’est bien pour cela que cette conscience est acculturée, réduite aux acquis les plus modestes, à la panse et au sexe, quand il ne faut pas pour chacun se battre pour sa subsistance, alors qu’existent des coffres qui comptent jusqu’à cinquante milliards d’euros, petite caisse pour les usuriers qui profitent des crises systémiques qu’ils mettent en place afin que les Être Humains deviennent des larves.
Voilà le visage de la gouvernance qui dans son hypocrisie va distribuer ses médailles, la tête dans le sable, semblant croire que les Françaises et les Français vont oublier la rapine d’un des siens, et ne pas oublier que la dite gouvernance doit rendre des comptes au Peuple sur ses actions prévaricatrices, sur ce dédale mortifère qui de l’affaire Urba à aujourd’hui, répugne tout un chacun.
À grand renfort de coup de mentons un certain ministère annonce l’arrestation de trois Corses, dont les noms bien entendu sont récités par tous les médias, alors qu’un meurtrier se fait appeler jeune homme, compte tenu de son origine, par les mêmes médias. La peste et le choléra sont dans cette usure des mots. Et on pourrait se poser la question, compte tenu de l’inflation des cambriolages actuellement, si le laisser faire n’est pas de mise, car on sait que les pouvoirs ont toujours entretenu de grandes amitiés avec les différents milieux, quitte à sortir certains de leurs sbires de prison pour commettre des actes barbares où pire encore des assassinats afin que l’État n’en soit pas responsable : on se rappellera de Jo Attia qui a si bien servi en Afrique.
Il conviendrait là aussi d’enquêter au plus profond de ces réseaux, pour voir les interrelations existantes entre le grand banditisme, les réseaux de drogue, si bien laissés pour compte afin que dans les zones de non droit la paix sociale règne, la prostitution des femmes, des hommes, des enfants, les réseaux de ventes d’organes humains, etc etc, et les faisceaux de l’État, l’enrichissement personnel, et non seulement l’enrichissement personnel mais la dynamique qui la nature, et qui n’est pas d’aujourd’hui, qu’on ne se trompe.
Car enfin est-il normal que dans la République existent des zones de non-droit ? Il ne faut pas confondre intégration, assimilation, et laisser faire, qui pour le dernier semble la règle partout dans notre Nation, et cela profite à qui ? Nous le voyons l’analyse in fine de cette gouvernance devra être mise en œuvre, et non l’auscultation d’un de ses arbres pourri, car les racines sont a priori, sauf rares exceptions totalement pourries par la subversion, et notamment cette éducation nationale qui fait rire le monde entier, ne sortant de ses rangs que des illettrés et des acculturés, où se goinfre tout ce qui se compte de parasite qui par magie résiste en sortant leur carte du parti.
D’ores et déjà, faudrait-il enquêter sur les amis des amis des ministres, les membres de leur famille et les nominations qui ont eu lieu par droit de cuissage intellectuel sur le territoire, sans oublier les doms tom et territoires d’outre-mer, où l’on s’apercevra très vite qu’ici la démesure de la corruption, du passe-droit, dépasse toute limite. Nous attendons que l’opposition fasse nommer une commission d’enquête sur ce sujet brûlant qui démontre la perversité de cette corruption qui a atteint un degré tel que personne ne peut ne pas être au courant de sa réalité.
La pourriture est dans son fin de règne, n’en doutons un seul instant, et ce ne seront les matchs de foot, de rugby, de tennis qui y changeront quelque chose, les larmoiements des marchands, les hérésies congrues de la pestilence médiatique, qui y feront quelque chose, qui ne peuvent croire un seul instant que l’arbre cache la forêt, la forêt unique où l’on voit une armada de pseudo-journalistes envahir l’Élysée pour se faire grassement payer, où l’on voit toute cette loufoquerie de la pensée unique se faire nommer, alors que l’État doit faire vache maigre, où l’on voit un de ses représentants déféquant sa logorrhée sur une chaîne de TV invitant tout un chacun à se pencher sur la présomption d’innocence en faisant un parallèle avec le régime soviétique qui envoyait au goulag les uns les autres sans qu’ils puissent se défendre, petite mémoire bien courte qui veut méconnaître les origines du régime soviétique, les origines des juges soviétiques, et bien entendu les origines des dirigeants des dits goulag, mêlant ainsi la réalité historique avec ce phasme qui est le pur produit des soviets, des apparatchiks de ce pouvoir semblable qui s’imaginent au-dessus des lois en fonction de leurs appartenances.
Le mensonge est ici à son comble et confirme la perversion totale de ces hydres médiatiques qui ne sont que les reflets et les bassets de cette subversion qui trône. De qui se moque-t-on dans cette basse-cour d’arriviste, d’opportunistes, de parjures, de notabilités en génuflexion devant les ordres maçonniques déviés, les think tanks, les banques usuraires ? À tout le moins on peut penser que 90% des députés, des sénateurs, des ministres, des hauts fonctionnaires, des membres de la fonction publique, devraient dès aujourd’hui choisir entre le service de la France et le service de l’usure.
Cela viendra n’en doutons pas. En attendant manipulée par la Chine, la Corée du Nord se livre à ses fantasmes les plus exotiques, croyant un seul instant pouvoir vaincre les États-Unis avec ses bombinettes, alors qu’elle n’aura pas une seconde pour les envoyer avant qu’elles ne soient détruites en vol et sa Nation vitrifiée pour quarante ans, enchaînant une guerre entre la Chine et les États-Unis qui pourrait être catastrophique, manipulée ?
On peut se le demander, la Chine ne pouvant accaparer toutes les matières premières du monde et trouvant prétexte en cela à un eugénisme de circonstance, les États-Unis asphyxiés économiquement n’ayant d’autres choix que cette guerre qui leur permettra une bouffée d’oxygène leur permettant de se relever.
Une guerre thermo nucléaire mettrait fin à l’Humanité, une guerre au plutonium appauvri ou neutronique ou encore électromagnétique, permettra, malgré les dégâts considérables qui seront infligés de part et d’autre, de voir l’Humanité se relever en ses Nations, là est le degré zéro qui verra les Peuples se soulever contre la folie de l’usure et de ses prébendes, n’en doutons pas, car déclarée en participe de cette usure et en aucun cas en participe d’une voie humanitaire, qui verrait le partage des richesses comme des matières premières en devenir.
Cette guerre approche à vive allure. N’en doutons un seul instant, les intérêts en jeu étant particulièrement déterminants pour la survie de l’Humanité, qui ne peut tomber sous le joug d’un dirigisme Chinois communiste, en aucun cas. Chacun devra choisir son camp si elle se déclare, sachant qu’elle sera coordonnée tant dans l’empire chinois que dans l’empire États-unien par l’usure, cette usure qu’il conviendra, lors de la fin de cette guerre, d’éradiquer totalement de notre petite planète, mais cela est un autre sujet qui doit mûrir dans les esprits, qui, confrontés aux dévastations qui se préparent, espérons-le comprendront ce qu’il en est de ne pas prendre en charge son destin et de le laisser entre les mains d’apprentis sorciers qui n’ont rien d’humains mais tout de l’atrophie qui les ronge.
Et qu’avons-nous vu en provenance de notre petite Nation, s’égosiller sur ce sujet, toutes les larves de la maçonnerie déviante qui voient peut-être là, l’aboutissement de leur croisière, menant comme le dit la lettre de Pike à Mazzini, à la «république» universelle. Qu’ils ne se fassent aucune illusion, trois cents ans de martyrs de l’Humanité suffisent pour faire comprendre à tout un chacun que personne, je dis bien personne, pour paraphraser, ne tombera dans leur piège démentiel, ce piège d’un «nouvel ordre mondial» bâti sur les ruines de l’Humanité.
© Vincent Thierry