Le leurre

Le leurre

 

La nouvelle mode est au choc. Mais ces divers chocs ne sont que de la poudre aux yeux afin d’égarer les Françaises et les Français, qui dans le dédale des déclarations d’impôts, qui dans les avoirs des uns et des autres. Un pur subterfuge qui laisse l’essentiel de côté afin de ne faire percevoir que l’accessoire. En l’occurrence on soigne les conséquences mais en aucun cas la cause. Et cette cause est là devant les yeux éclairés, cachés aux yeux des ignorants qui se gargarisent dans l’opium particulier du foot bal, et de sports totalement pourris par l’argenture.

La cause est liée aux appartenances, à cette reptation envers des idéaux totalement invertis, à cette transgression de la volition de l’évolution, la voyant se coaguler dans l’involution la plus sauvage, la plus répugnante qui soit, celle de l’indifférencié, dont elle atteint les rives de fange pour s’y rouler et s’y prélasser comme un miasme qui disparaîtra obligatoirement sous l’émergence du vivant qui de plus en plus en conscience ne pourra qu’écarter cette demeure des couards qui dirigent ce monde, image de celles et de ceux qui n’ont pas encore compris que le monde labial doit être dépassé afin de rayonner.

En cela le choc se fait attendre dans cette mare infecte qui maille la totalité de notre petit monde, le choc qui révélera les appartenances, car c’est de cela qu’il s’agit aujourd’hui pour nettoyer ces écuries d’Augias dans laquelle se baigne toute la déréliction du politique, tout ce qui n’est qu’avatar et en aucun cas probité, tout ce qui n’est que phasme et en aucun cas autorité. Les appartenances sont tues, celles à la franc-maçonnerie déviante ( 90% du Gouvernement, de la Députation, du Sénat, et des corps institués de l’État, Police, Justice, Éducation Nationale, CNRS, etc.…) une armée d’ombre qui ne s’appartient pas et ne dicte en aucun cas la politique de la France, mais la politique de l’usure dont elle est le bras armé.

Une politique issue des courroies de transmission de l’usure, les Think Tanks, le Bilderberg, la Fabian Society, dont nous avons les dignes représentants dans notre gouvernance, et bien entendu, les pions sur l’échiquier qui représentent les banques, les supports de l’usure, qui veillent en tant que conseils à l’établissement de leurs lois et de leurs coutumes dans notre gouvernance comme dans toutes les gouvernances de cette planète, via le fonds monétaire international, rackettant, pillant, destituant par guerres larvaires ou diligentées, manipulées, des États qui ne pourront jamais se développer sous son joug, car devant se plier à l’usure et ses féaux.

Le choc donc est celui de déclarer les appartenances des uns et des autres dans cette gouvernance qui de la tête aux pieds ne s’appartient pas, le choc donc est celui de déclarer les appartenances des uns et des autres dans ces oppositions qui font rire tout le monde en connaissance, voyant le front de gauche totalement entre les mains du Grand Orient, l’UMP perverti par le même, et ces petits mouvements d’une écologie morbide agenouillée devant sa détermination. La vérité est là, qu’il convient de diligenter ce choc, sans ménagement, sans autre dessein que celui de demander aux impétrants de cette aberration, que de se déclarer comme gouvernement de la France, pour le Peuple de France, et laisser tomber par déclaration solennelle toute appartenance à ce dévoiement qui voit ce jour se déclarer un choc qui n’est qu’un trompe-l’œil.

Qui appartient à qui éclairera bien plus que la production de déclarations d’impôts, et permettra aux Françaises et aux Français de voir qui est le gouvernement et sa piétaille, un convent maçonnique déviant pour lequel nul n’a voté, dans sa croyance que les uns les autres de cette gouvernance étaient libres de défendre les intérêts de la France, alors que pieds et poings liés ils défendent l’usure dont ils sont les esclaves par un serment prêté qui ne correspond à rien sinon à leur dilution dans la matière la plus dévoyée.

Et cet espace ose parler de moralisation financière alors qu’il est l’esclave de cette outrance, de ce chancre qui broie toute condition de gouvernance, de ce système totalement pervertie par cette atrophie de l’addiction aux gains gagnés sur le sang, la sueur, la mort des Êtres Humains, comme on le voit si bien dans ces pays en voie de développement dont les Peuples commencent à se révolter contre leurs facondes.

Ce système est avarié, dirigé par des hystériques qui ne s’intéressent en aucun cas à l’Être Humain comme à l’Humanité, considérée comme du bétail, qui doit le servir. Il n’y a que les imbéciles pour penser encore à une moralisation du système financier sans déboulonner cette erreur fondamentale qui consiste à prendre des intérêts sur un prêt, soit l’usure, un surplus monétaire inexistant qui ne trouve aucune fonction de valeur dans l’estimation d’un bien quel qu’il soit, mais virtuel, dans l’échelle de sa propagation, fonde la virtualité la plus totale, voyant la somme des intérêts supérieurs aux valeurs réelles, engraissant toute la fainéantise de ce monde, l’incapacité créative, et pire ce délire que l’on voit aujourd’hui, celui de se croître gouvernance de ce monde par intermédiaire juxtaposé à la botte.

Lorsqu’un gouvernement veut lutter contre la finance apatride, il convient qu’il prenne des mesures draconiennes afin d’extirper le fléau en ses propres arcanes, et non s’apitoyer sur des demi-mesures ne servant que des faux-fuyants. Et la première chose à faire c’est bien d’extraire le bras armé de cette finance apatride au sein de l’État qu’il dirige, ce bras armé qui trouve sa collusion dans l’appariement à la franc-maçonnerie déviante, aux think tanks aux ambitions démesurées, aux groupes silencieux dénoncés tels le Siècle, le Bilderberg, tous ces opérandes d’un mondialisme aux ordres de l’usure.

Le vrai problème de l’art politique qui est l’art de diriger la cité est dans sa phagocytation par tout ce qui n’est pas lui et ne sera jamais lui, le vrai combat est donc là, clé majeure du dépassement de cette virtualité qui est le fer de lance de l’enlisement de tout pouvoir. Il ne peut exister un pouvoir dans le pouvoir, et ce d’autant plus que ce premier pouvoir est lié à l’usure œuvrant à la mise dans les chaînes de Peuples entiers. Il faut éradiquer ce premier pouvoir pour que le pouvoir puisse se gréer, et l’on me dira mais comment résister ensuite à l’usure qui diligente, manipule, autorise des guerres, des dépressions économiques, dont entre parenthèses elles profitent comme jamais ?

Il serait temps de remettre les pendules à l’heure. Que représente cette usure, quelques milliers d’individus, accompagnés de leurs bras armés qui représentent en France à peine cent mille personnes, esclaves patentés de son arrogance, et que peut donc cette dérision face à la force de frappe de la France ? Rien, et c’est bien pour cela que l’on voit une telle haine diligentée pour toutes les Nations cherchant leur émancipation par disposition de l’arme nucléaire. Oui, la France peut s’émanciper de cette gangrène qui la ronge. Mais faut-il utiliser tous les moyens de préventions et de prophylaxie nécessaires pour dépasser l’outrance qui voudrait la défier mais qui ne le pourra en aucun cas, car ses bastions seront vitrifiés si nécessité oblige. Où l’on voit ici que la déshérence des armées est bien programmée pour protéger cette errance. 

Complémentairement faut-il qu’à la tête de l’État et de la gouvernance ne soient plus retenus tous les cannibales de cette maçonnerie déviante, comme d’ailleurs dans l’Assemblée Nationale, comme le Sénat, par des votes circonstanciés dévoilant la sincérité des candidates et des candidats qui devront faire montre de leurs appartenances qu’ils devront évacuer par un serment solennel avant que de prétendre à la moindre élection. Le reste n’est qu’esbroufes, poudre aux yeux, tellement véhiculées par toute la lie journalistique qui pleure sur le départ du franc-maçon de service viré comme un malpropre, et qui, comble de l’ironie, ce qui prouve la pourriture qui meut l’idéologie véhiculée par ce pseudo-pouvoir, veut revenir à l’Assemblée Nationale, alors qu’il aurait dû être condamné à l’indignité Nationale.

Et voyez tous les francs-maçons, comme on l’a vu pour la perversion, se précipiter au chevet du malade, car ne croyez un seul instant que le personnage soit honni, bien au contraire, entre petits frères on se comprend, et on cherche maintenant à minimiser le parjure jusqu’à ce qu’il soit oublié par les masses dont le raisonnement diminue comme le carré de leur échantillon, ce qui veut dire tout simplement que ce raisonnement est nul et non avenu, d’où la théorie du genre qui travaille ces malades et atrophiés de l’esprit, le genre qui à l’image de ce raisonnement nul ne percevra en aucun cas leurs manœuvres dilatoires.

Voyez de radios en radios, de tv en tv tout un chacun acceptant que cette gouvernance soit coupable mais non responsable, dans un cirage de pompe qui pue la reptation, dans cet esprit torve comme on l’entend sur une certaine radio mettant en accusation un compte ouvert en Suisse en 1981, pour bénéficier de taux d’usure régulier, par un représentant de la droite nationale, bien avant toute réglementation, compte en sus parfaitement déclaré au fisc ce qui n’est pas le cas de la plupart de celles et de ceux qui en détiennent.

Ignominie classique cherchant dans un transfert à faire passer l’affaire sur le dos des autres. Et ces petites vermines qui se disent journalistes de surenchérir, dévoilant en cela leur propre appartenance, leur propre abjection dans laquelle ils se roulent comme les cochons dans leur merde. Ils sont les égouts de notre Nation, et faut-il les écouter et les regarder uniquement pour reconnaître l’inverse de leur logorrhée afin de connaître un début de vérité, car menteurs patentés, toutes ingérences dans leurs pensées permettant de voir leur manipulation grotesque. Pauvres êtres ridicules aux suffisances bestiales, dans le port comme dans la voix, perroquets de leurs appartenances dévoyées enchantant les voleurs, nids de vipères qui n’ont d’autres ambitions que de détenir des petits biens matériels, inconscients de la réalité Humaine qui n’est pas seulement celle de s’agenouiller pour se faire sodomiser mais bien d’être debout et de s’élever et en aucun cas rabaisser.

Il ne faut pas se leurrer, cette opération concernant le personnage montré au public sous son décor politique et en aucun cas sous sa reptation maçonnique, a été monté de toutes pièces avec les amis des amis afin de cacher la seule réalité qui doit occuper l’esprit de nos contemporains, celle des appartenances, dont chacun peut voir que l’action n’a rien de la France, et n’est rien de la France, comme d’ailleurs n’est rien de l’Europe.

Cette putréfaction des valeurs cache le réel sous le phasme du virtuel, croyant ainsi apparaître plus blanc que blanc, alors que la noirceur de ses intentions se dévoile dans des lois iniques destituant la réalité Humaine, dans des lois destructrices de toutes civilisations qui se respecte, obéissant ainsi aux règles de l’usure qui ne conçoit ce monde que composite de sa volonté régnant sur des esclaves, des jouets que l’on euthanasiera, que l’on violera, sans que rien ne puisse être dit, un monde gardé par ses chiens de guerre nés de la dissolution des armées de par ce monde.

Que ce petit monde atrophié en son humanité ne se trompe, les Peuples sont en éveil, et cet éveil suit une courbe géométrique que rien ni personne ne pourra arrêter, pas même une guerre mondiale si bien demandée par l’usure qui comme d’habitude joue sur tous les tableaux, indifférente à la destruction, au génocide de Peuples entiers, du moment qu’elle engrange ses bénéfices de sang, de larme, de sueur, de mort, comme elle a commandité la révolution anglaise sous les auspices de cette ignominie nommée Cromwell, la guerre contre les colons des États-Unis, la révolution Française, les guerres Napoléoniennes, la guerre de 1812 contre les États-Unis, la guerre de sécession aux États-Unis, la guerre de 1870 avec son impétrant Bismarck, la guerre de 1914, le traité de Versailles qui s’en suivi vouant à la famine l’Allemagne, la révolution de 1917 avec ses pantins, Lénine et Trotski, puis Staline, la guerre de 1939 avec son pantin Hitler, et ces dernières guerres léguant à sa carte favorite, le communisme, une bonne partie de l’Asie, etc., etc.

Nul n’est aveugle, sur le dessein de cette aberration qui suit son cours, et dans la fin de cette guerre, malgré le chaos propice à ses convoitises, elle ne gagnera en aucun cas contre l’Humain conscient, qui la réduira au néant dont elle vient. Ce néant qui peut être vaincu dès ce jour par la mise en évidence des appartenances des uns des autres de cette gouvernance, jusqu’en ses racines, les Institutions totalement polluées par son ingérence.

Cet éveil qu’a cherché à taire l’usure, vient, et c’est bien pour cela que le masque se masque sous des apparences, dans sa fatuité de s’accroire, dans ce délire constant qui est son moteur, l’institutionnalisation d’une «république» universelle qui n’existe que dans son imagination, lorsque cette «république» universelle ne se révélera que la dictature universelle.

Une dictature dont personne dans ce monde ne veut, une dictature dont tous les moyens légaux seront utilisés pour la terrasser, car elle sera terrassée, si peu représentative de la capacité, mais vecteur de toutes les valeurs inverses, le vol, le viol, le pillage, le meurtre, l’assassinat, le génocide, la destruction de tout ce qui existe pour obtenir ce petit profit de l’intérêt, cette invention de la folie et de l’hystérie associées qui sont dans l’incapacité totale de créer quoi que ce soit, voyant ce jour ses valets commettre des  actions délirantes qui n’ont d’autres buts que sa protection, la protection  de son mépris le plus profond des valeurs Humaines, qui resteront éternelles, ne lui en déplaise, la Vie ne s’embarrassant de la pourriture et l’excluant de son avance imperturbable.

Le vrai choc sera là, dans son impétuosité, dans sa détermination, dans sa volition souveraine. La Vie pour seul écrin, la Vie terrassant cette morgue mortelle issue de la barbarie la plus putride, née de l’atrophie la plus inconséquente que ce monde ait connue, liée à un complexe de supériorité cachant la triste réalité d’un complexe d’infériorité, qui est le masque suprême de cette hérésie qui tente de circonvenir l’Humanité et la rendre esclave de ses phobies, de ses délires, de ses paranoïas, de ses délires de persécutions, tout un complexe si bien décrit par une de ses facettes et qui ne regarde que cette face de l’humanité, une face qui devra rentrer dans les valeurs Humaines ou bien se voir contrainte et surtout en aucun cas, martyrisée. Cela vient.

© Vincent Thierry