La grande messe
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La grande messe
Quelles nouvelles de cette petite Terre où le leurre est le bien commun ? Mais lisons ce petit message :
« Tout être humain intelligent ne peut être que consterné par l’entreprise de récupération à son profit et au profit des communautarismes, suite aux attentats survenus dans notre Nation, initiée par une « classe » politique en voie d’extinction. Une entreprise de récupération digne des grands-messes communistes ou nationales-socialistes, là, une grand-messe permettant de restaurer l’image de marque d’une gouvernance en déroute dans les sondages, menant une politique minable à tous les niveaux, et dont la médiocrité générale est exemplaire.
La République a bon dos, la Liberté de s’exprimer de même, la Démocratie aussi, lorsque tout un chacun doit savoir, s’il ne le sait déjà, que le « pouvoir » en France, n’est pas l’expression de son Peuple, mais d’un marécage où affluent toutes les marches de la subversion, celle voulant l’anéantissement de notre Nation, Franc-maçonnerie déviante, Young leaders de la fondation dite franco américaine qui encadrent le pouvoir au niveau le plus haut, petite officine de la Fabian Society voulant instaurer le mondial socialisme, dont le cadre se délimite par une dictature de fait de certains monopoles financiers et bancaires. Le trompe-l’œil est ici flagrant, ne tenant nullement compte des morts causés par ce double attentat dont les causes sont à redéfinir, tant on relève des incohérences dans leur perpétration, notamment l’oubli « miraculeux » d’une carte d’identité dans une voiture : des gens qui abattent froidement des « cibles », épargnent les autres, et se retirent dans un ordre parfait, qui ne sont ni des enfants de chœur et encore moins des novices, et ne sauraient oublier qu’en mission on ne doit emporter aucun papier permettant d’être identifié.
Nous avons eu à faire à un acte de guerre, ce que ne veut pas reconnaître la gouvernance actuelle comme ses précieux alliés dans une opposition factice, qui ne voit là que l’action de « djihadistes » entraînés au Yémen, financé par ? La vraie question ici se pose de savoir qui a financé cette action, une action sur laquelle on calque des personnages parfaitement identifiés par nos services spéciaux, et lorsqu’on observe les antécédents, le Canada, les États-Unis avec Boston, on remarque des similitudes notoires qui ne peuvent que laisser à penser sur les tenants et aboutissants de cette barbarie. La barbarie a toujours été le nerf de la guerre de la subversion, qu’elle soit dite de droite comme de gauche, ces notions n’existant que pour le commun des mortels obnubilé par les mots d’ordre et le sentiment d’apporter une pierre à l’édifice qui ne le concernera jamais.
La barbarie a fait tirer sur le Peuple en Russie pour mettre sur le compte du Tsar sa folie meurtrière, la barbarie n’a pas hésité pendant la « guerre républicaine » financée par le Grand Orient entre autres, à faire déterrer des Nones puis les empaler en place publique, tandis qu’elle offrait aux plus jeunes de ses « djihadistes » le droit d’émasculer les soldats de Franco. Deux exemples typiques que certains voudraient voir dans les labyrinthes de l’oubli, mais qui sont toujours vivants pour faire comprendre une chose, c’est que du socialisme inféodé aux loges déviantes il n’y a rien à attendre, que cette typologie de massacres. Des massacres que cette idéologie encourage en Syrie via les troupes de Djihadistes qu’elle entraîne, manipule, et arme aux grands frais du contribuable de notre Nation.
Nous nous attendions lors de cette grande messe à quelque excuse pour les livraisons d’armes en Syrie qui vont tuer nos soldats sur les fronts du Mali et d’ailleurs, mais que nenni, droit dans ses bottes il n’y a ici aucune excuse, et bien pire le citoyen Français est désormais traité comme un citoyen non pas de seconde zone comme je l’avais indiqué dans un précédent mais bien comme un citoyen de troisième zone qui doit s’agenouiller devant deux communautés qui ne représentent pas dix pour cent de son Peuple, et pour lesquelles dix mille hommes de troupe ont été mis en place afin de les protéger pratiquement exclusivement.
Vous comme moi faisons partie de ces quatre-vingt-dix pour cent de Françaises et de Français qui doivent tout accepter y compris leur mise à mort par des commandos parfaitement instrumentalisés et ce pour garantir la destruction de notre Nation, la mise à mort de notre Identité multimillénaire, jusqu’à ces « lois » qui viennent garantir bientôt notre euthanasie libre ou consentie. On n’entend guère l’Église Catholique dans ce sacerdoce, infiltrée qu’elle est par toute cette rémanence idéologique qui ne trouve ses repères que dans le laminage de toutes les valeurs, y compris humaine en créant cette larve que l’on nomme le genre, mais que l’on se rassure, la Chrétienté, martyrisé, crucifiée, éventrée, lacérée en Syrie et dans toutes les Nations par une religion se prétendant de paix et d’amour, va bien au-delà de l’Église Catholique, même si cette Église lui est infidèle, par les actes comme par les subordinations.
Que diable, on peut donc aujourd’hui après ce drame ayant occasionné la mort de dix-sept Français, n’en déplaise à ceux qui préfèrent voir en eux, non pas des Français, mais des ressortissants de confessions qui se veulent distinctes, on peut donc aujourd’hui brûler les églises, les voler, les spolier, voir nos cimetières vandalisés, sans qu’un petit doigt ne se lève de la part de celles et de ceux qui osent, se présenter comme des héros ce jour, alors qu’ils ont facilité par leur laxisme cette barbarie qui vient de semer la mort dans notre Nation.
Nous n’avons ici, nous les Français de troisième zone, à recevoir aucune leçon de morale de quiconque, encore moins de politiciens qui ne font pas la politique de la France mais obéissent parfaitement à la liturgie mondialiste et à ses bassets qui œuvrent par tous les chemins afin d’initier dans l’inconscient populaire la gradation systémique de la flagellation, menant à cette domestication parfaitement préparée et conditionnée que nous venons de connaître. Lorsqu’on refuse de voir défiler vingt-cinq pour cent des électeurs dans une manifestation dite «républicaine», chacun aura compris que nous ne sommes plus en République, mais bien sous la tutelle d’une oligarchie de fait, vendue, pour accéder au pouvoir, par toute la médiacratie à la botte.
La France profonde, celle que ne respecte en aucun cas cette oligarchie subordonnée à des sociétés déviantes, saura faire la différence entre l’honnêteté intellectuelle et, de par les appartenances, l’opportunisme revu et corrigé par les médiatiques errances, de celles et de ceux qui se présenteront aux prochaines élections. Ce raz de marée boutant or de tous les pouvoirs les étiquettes de Janus, UMPSUDIFDGE, toutes inféodées à la franc-maçonnerie déviante, issues de la fondation franco américaine, qui ce jour est maître de notre État, qui n’est plus un État de droit en conséquence, mais un État muselé par une secte visant à détruire notre Nationalité, notre Identité, notre État lui-même, pour diluer notre Pays dans les accents d’une «europe» mongolienne, dite fédérale, qui aura pour résonance une Allemagne arrogante et méprisante, qui ne changera jamais, vis-à-vis des Nations les plus fragiles comme les moins compétitives, ce qu’elle facilite afin de s’en approprier les moyens de production, les terres, et divers comme on peut le voir en Grèce actuellement.
Ne nous leurrons, ce qui existe dans notre Nation existe de même dans l’enceinte du Parlement de Strasbourg ou pire encore, on s’autoproclame, sans que les Peuples aient le droit de voter. Dictature de fait, cette « europe » lentement verrouille toutes les Nations afin qu’elles rentrent dans son ordre «nouveau», regardons ce qui se passe en Ukraine, où la Démocratie est souillée par le meurtre et l’assassinat cautionné par la dite « europe ». Elle verrouille et obéit à ce qui n’est pas l’Europe et ne le sera jamais, une cohorte de financiers et de banquiers apatrides régnant sur la City et Wall Street, qui font la pluie comme le beau temps dans les valeurs afin de mieux voir se prosterner celles et ceux qui les défient et ne veulent se plier à leurs règles barbares.
N’attendez ici dans ce contexte aucune autre porte de sortie de ce marais glauque et sanglant, qu’un vote de salubrité publique qui permettra d’assainir la Nation du parasitisme qui la crucifie. Cette crucifixion est bien mise en évidence dans le cadre d’une Liberté anémiée, qui bientôt sera de plus en plus raréfiée, empêchant ainsi la pensée de venir critiquer les actes comme les valeurs qui ne sont pas les nôtres et ne le seront jamais – on ne convainc pas un Peuple avec une obligation mais par un consentement éclairé et non manipulé. Ce consentement est loin d’être unanime, soixante-trois millions de Françaises et de Français n’ont pas suivi la grand-messe organisée par la gouvernance, il convient de ne pas l’oublier, ce qui est rassurant pour l’avenir et ce qui en dit très long sur le désir de vivre des Françaises et des Français au-delà des chaînes qu’on leur met aux pieds actuellement. Des chaînes que voudrait renforcer ce double attentat, jusqu’à voir les petits pieds de la fondation dite franco américaine, demander la mise en œuvre d’un Patriot Act, c’est-à-dire l’anéantissement de nos libertés individuelles dans notre Nation.
Cela n’est pas encore fait, mais sans augurer et en espérant que cela ne soit pas, un attentat supplémentaire entraînera cette mise en œuvre n’en doutons pas. Préparons-nous au pire, et gageons que déjà s’organise la mise au cachot de toutes celles et de tous ceux qui ne pensent pas dans la droite ligne du big brother à la française, qui entouré des délateurs habituels, et des milices communautaristes, permettra de réduire cette pensée à portion congrue. Pas de chance pour cette déréliction qui s’avance, la pensée se transmet à la vitesse de la lumière et couve tout le long de la toile, ce qui ennuie bien les rééducateurs de la pensée unique qui y sévissent avec l’appui monétaire d’une « europe » dévoyée et subordonnée.
On ne peut qu’être inquiet, avec le petit recul que nous avons, d’avoir vu défiler au motif de la défense de la Liberté de s’exprimer, alors que dans notre Nation, toute pensée quelle qu’elle soit ayant pour objet la moindre critique envers les communautarismes, en provenance d’un citoyen de troisième zone, si elle n’est écartée, doit faire l’objet d’un procès et d’une condamnation pour délit d’opinion aux noms des ismes inventés de toutes pièces afin d’asservir le Peuple de France ! La subordination des pouvoirs qui se succèdent, qui aura permis ce double attentat, explique ce détournement juridique, la mise en œuvre de Lois qui ne sont pas constitutionnelles et que tout un chacun doit respecter faute de quoi le couperet de la guillotine tombe.
À regarder tout simplement, le citoyen comprendra qu’il n’est plus ici, sur ses terres, qu’un étranger et qu’il doit surtout s’incliner pour laisser passer tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, mange, dort, acculture-toi, avorte, et tais-toi, et si tu n’es pas content, l’euthanasie, pardon la sédation, te sera infligée sans ton consentement. Voici le programme et ce programme se met en œuvre grandeur nature dans notre Nation qui a besoin de courber l’échine devant des maîtres qui ne sont et ne seront jamais la France. Une dépendance globale envers des pays Moyen Orientaux, envers la gouvernance des États-Unis, qui va s’étendre jusqu’au fond de nos chaumières, et où on ne verra pas circuler les sans dents, sinon qu’en autobus, sous surveillance policière bien entendue, menu fretin de soixante-trois millions de personnes, de genre pardon, en prosternation devant les idoles hâtant leur désintégration intellectuelle et spirituelle, dans le fumier puant d’une acculturation et d’un illettrisme confondants.
Il n’y a que les aveugles pour ne pas voir cette réalité assourdissante, cette réalité qui vient et contre laquelle la salubrité publique doit se lever par vote éclairé de ses représentants, ni franc-maçon, ni sectaire, ni d’aucune souche de société de pensées déviantes. Face à l’absurdité à laquelle nous assistons, des préférences communautaristes, il serait temps d’épanouir la Loi de 1905, l’étendre au Protestantisme, au Judaïsme, à l’Islam, aux sectes diverses et variées dont la Franc-maçonnerie qui ne doit en aucun cas être représentée dans le pouvoir. Cette Loi viendra pour restituer leur qualité de Française et de Français à soixante-trois millions de nos concitoyens oubliés par la tempête inquisitrice des mots de l’idolâtrie socialiste. Et lorsque le Peuple aura retrouvé le Pouvoir, qui n’appartient à personne, par un vote régulier et légal, alors ses représentants reprendront concomitamment à cette Loi, toutes les zones de droits afin de faire cesser la radicalisation de certains de nos concitoyens, qui ne se radicalisent pas uniquement en Prison mais dans lesdites zones de non droit, et y faire cesser le trafic de drogue, enfin les désarmer, ce qui permettra d’unifier la France et non la diviser au nom d’une paix sociale, qui n’en doutons pas rapporte bien aux éléments de certains partis et autres officines quelles qu’elles soient.
Cela viendra, car les Françaises et les Français de troisième zone, comme, et j’en suis convaincu, les Françaises et les Français de seconde zone, comme de première zone, n’accepteront jamais la dictature de la pensée unique qui se veut un fait établi alors qu’elle n’est que l’impertinence des médiocres. Car par-delà les confessions, par-delà la couleur de notre peau, il existe un sang qui a mûri notre Nation qui ne peut ainsi péricliter dans tout ce qu’elle exècre, la prétention de sectes vivipares officiant à sa destruction. Ce n’est la tentative de redorer le blason d’une gouvernance en faillite qui y changera quelque chose. La marée médiatique à laquelle nous assistons pour nous présenter cette gouvernance, qui a permis à nos citoyens de partir faire le djihad, d’armer des groupuscules terroristes en Syrie, blanche comme neige, ne fait pas sourire.
On voit là, sur le sang de nos morts le levier de la bête immonde qui veut régner en maître dans notre Nation. Ce battage digne des plus grandes fresques communistes de l’Union Soviétique, comme de ce Maoïsme ignoble qui a sévi en Chine, ne passe pas inaperçu aux yeux d’un public qui, passé le coup de l’émotion, ne peut que trouver là que motif d’une abjection profonde, non pas pour cette manipulation, on a l’habitude malheureusement, mais sur le fait que cette manipulation s’appuie sur le sang de Français tombés sous les coups de la barbarie instrumentalisée. Instrumentalisée est le terme exact face au laxisme des gouvernances successives, face à l’ingérence communautariste, face au coup d’État sectaire, qui voient aujourd’hui la barbarie se baigner dans notre sang.
La responsabilité n’est pas exclusive du «djihadisme» mais elle concerne ces gouvernances du laxisme, une politique extérieure totalement inféodée et chaotique à tout ce qui ne représente pas les intérêts de la France, une politique interne vomissant sa haine du Peuple de France en voulant le réduire au nom d’une idéologie laïque à l’état d’un ver, ce genre bestial qui sera une marchandise convoitée, n’en doutons pas comme esclave économique ou esclave sexuel, dont se débarrassera comme on se débarrasse d’un mouchoir sale les «sages» œuvrant à la liquidation systématique de notre Identité, de notre Culture, de notre Spiritualité.
La véritable laïcité passe par le respect inaliénable de l’Identité Française, de la Culture Française, de la Chrétienté comme de l’Islam comme du Judaïsme, comme du Protestantisme, et tutti quanti, l’une l’autre de ces religions n’ayant pas à prendre le pas sur l’État, subordonner l’État à leur rhétorique quelle qu’elle soit. Rendons à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. Cela viendra lorsque nous aurons évacué la trahison, la félonie, la subordination, la reptation, la prévarication, tous ces fléaux qui s’inscrivent ce jour en lettre de sang sur le front de celles et de ceux qui semblent, en se penchant, voir qu’il existe un Peuple de France, ignorant bien entendu 90% de sa population pour se retrouver dans ce Janus immonde qui est le monstre d’hypocrisie qu’ils servent les uns les autres à un Peuple aveuglé par l’acculturation et l’illettrisme, totalement ?
En aucun cas, car restent ces citoyens de troisième classe que l’on injurie, traite de tous les ismes qui sont les remparts au muselage de la pensée, qui représente soixante-trois millions d’individus. Ne doutons pas un seul instant que la gouvernance n’ait pas compris qu’elle n’était pas le moteur d’une union Nationale, et craignons de voir le déchaînement de la violence instrumentalisée se poursuivre afin que tout un chacun s’efface pour devenir la larve consentante qu’elle attend de chacun d’entre nous. Cela ne sera pas le cas si et si seulement les Françaises et les Français cessent de voter pour les allégeances aux puissances étrangères et aux sectes.
Face à ce déni de réalité, que fait la gouvernance ? Elle déploie dix mille hommes, non pas pour investir les zones de non droit et en éradiquer à la source l’Islamisme radical, le trafic de drogue qui le finance, mais dans un effet de manche et de menton, envoie ces hommes protéger les communautarismes, au détriment de l’ensemble du Peuple de France, qui lui, et c’est bien normal pour la subversion, peut crever. Aucune mesure n’est prise sinon celle d’une passementerie en fond d’œil qui ne peut qu’amuser les «terroristes», une passementerie ridicule eu égard au danger que représente le « terrorisme » manipulé et instrumentalisé : on ne s’attaque pas à ses racines, on ne touche qu’à la surface et notamment dans les prisons de l’État. Des décisions claires pourraient être mises en œuvre, savoir le renforcement du budget de notre Armée et de son équipement, services de police compris, le recrutement de forces vives dans la DCRI, les renseignements généraux, et la DGSE, la création de comités de vigilance à travers la Nation, mais rien de cela n’est mis en œuvre sinon qu’avec parcimonie.
On envoie notre Porte Avion nucléaire au large, pour combattre une armée de mercenaires créée de toutes pièces par les services Occidentaux, alors qu’il serait profitable qu’il patrouille dans nos eaux territoriales, leurre encore que celui-ci. Croyez-vous un seul instant que les « accords » non avalisés par les Peuples de «Shengen» soient remis en cause, source de tous les maux que l’immigration apporte ? Croyez-vous qu’une loi nouvelle instaure la suppression du Droit du Sol afin de ne pas laisser investir notre Nation par une marée Humaine qui vient vivre aux frais des caisses que créditent les travailleuses et les travailleurs, les entreprises, voyant le déficit de ce Droit du Sol se chiffrer à quatre-vingt-quatorze milliards d’euros au nom d’un angélisme né de droits et non de devoirs de l’homme? Croyez-vous qu’une Loi nouvelle et définitive refonde le Code de la Nationalité afin de ne donner la Nationalité qu’à des gens de toute confession comme de toute couleur méritant de notre Nation ?
Rien de cela n’est fait, sinon qu’en surface, voyant les acrimonies des uns et des autres, de pseudos journalistes continuant à hurler, il ne faut pas faire d’amalgame. Nous en savons quelque chose, nous les citoyens de troisième zone dans cette Nation qui n’est plus une République mais une Oligarchie à la solde de l’étranger, qui n’est plus une Démocratie, mais une Démocratie uniquement dédiée aux communautés et en aucun cas au Peuple de France, nous en savons quelque chose, et lorsqu’on voit défiler 10% de nos citoyens pour défendre la Liberté de penser, ce qui est rassurant, nous savons les uns les autres que leur marche restera vaine, car notre Liberté de penser n’existe pas, sinon que dans les lignes étroites des avis émis par les communautés quelles qu’elles soient, qui imposent ici le diktat à la parole. Ce diktat se révèle dans sa splendeur par la répression continue dont font l’objet les humoristes, les écrivains, les cinéastes, qui, s’ils ne pensent dans la ligne droite les menant vers l’abîme, sont ostracisés par toute un ensemble de prétendus journalistes qui sont les chiens de garde de la subversion et du totalitarisme.
Comme je l’ai toujours dit, le pouvoir n’appartient à personne, et il convient de le reprendre dans le cadre de la légalité et de la Démocratie afin de mettre à terre la subversion qui grenouille dans tous les corps de l’État, mâchoire en col blanc qui manipule la mâchoire du misérabilisme, au nom, non pas de l’élévation de l’Être Humain, mais de sa mise en esclavage. En conscience faut-il se réveiller de l’hypocrisie, de l’obséquiosité, des menaces à l’encontre de notre Liberté, la Liberté de penser, la Liberté de créer, la Liberté de prospérer. L’autosuffisance larvaire de l’acculturation comme de l’illettrisme de toute la paranoïa journalistique et médiatique n’a pas à dicter la pensée d’un Être Humain, qui doit rester libre et conscient dans ses choix comme dans ses actes, prenant mesure de la véritable Constitution qui est celle de 1789, que je rappelle ici.
Art. 1er. – Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.
Art. 2. – Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. (On voit ici que ce n’est plus le cas, bien au contraire puisque les partis de l’étranger sont en sur représentation sur notre territoire)
Art. 3. - Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. (Ce jour, la maçonnerie déviante, les sociétés de pensées étrangères, les fondations étrangères, sont les maîtres de notre Nation)
Art. 4. - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. (On voit ici qu’il existe désormais des citoyens de première, seconde et troisième classe, contredisant totalement cet article)
Art. 5. - La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. (La pensée dans le cadre des gouvernances successives est nuisible et sans même qu’il y ait action, ses Lois anticonstitutionnelles donc, la réprime actuellement, avec le souci des deux poids deux mesures en fonction de la classe des citoyens.)
Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. (Nous en sommes loin au regard du phagocytage de la justice par les nervis et commissaires politiques aux ordres de la maçonnerie déviante jusqu’à voir un mur des cons faisant l’apologie du crime au détriment des victimes de ces crimes)
Art. 7. - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance. (On se souviendra lors de la manifestation pour tous les arrestations arbitraires, la mise en cachot d’un de nos concitoyens laissé nu dans la merde et dans la pisse avec des gardiens lui suggérant qu’ils pourraient le suicider, on se rappellera des plus de deux cents enfermés dans une cour de commissariat de police crénelée de fil de fer barbelé, dans le froid, hommes, femmes, vieillards, enfants, sans boisson chaude, sans couvertures, on se souviendra de l’arrestation arbitraire d’adolescents que la police politique a obligée à signer un déni concernant toute manifestation, (qui n’est qu’un torchon de papier et n’a aucune valeur juridique sinon que pour faire condamner leurs auteurs), on se souviendra de l’hystérie médiatique relative à la mort d’un séide de la police politique, alors qu’agressée une personne s’est tout simplement défendue contre la ratonnade que le groupe du premier exécutait, etc, etc…)
Art. 8. - La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Art. 9. - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Art. 10. - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. (Voyez-vous mêmes ? Les opinions doivent suivre le droit chemin du vide, ne parlons même pas de la religion placée dans les fosses d’aisances du nihilisme dominant qui veut imposer sa pensée unique acculturée et illettrée, oui, il y a bien trouble à l’ordre public de la part de ce nihilisme, notamment par une réécriture de l’Histoire, mais rien n’est fait par les gouvernances aux ordres pour enrayer son venin, bien au contraire, elles attisent le feu en permettant de laisser se vendre jusque dans les grandes surfaces, sans préface en guise d’avertissement, les écrits incitant au djihad de chacun de nos citoyens de confession musulmane).
Art. 11. - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. (Et bien ce jour, a été défini comme abus tout ce qui pourrait s’opposer à la naissance des citoyens de première et de deuxième classe, afin que les citoyens de troisième classe deviennent des esclaves des premiers, fussent-ils majoritaires. Un Français naturel ne peut pas communiquer ses pensées et ses opinions, il ne peut écrire, imprimer librement en fonction de la soumission qu’il doit faire aux deux catégories de citoyens qui deviennent ainsi, ses maîtres, ce qu’il doit accepter au regard de Lois cyniques concernant de pseudos abus. Dire la vérité en France relève du parcours du combattant, Zemmour en fait les frais actuellement.)
Art. 12. - La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. (Ici on ne peut s’empêcher de rire, car on voit que la force Publique n’est pas dédiée à l’ensemble du Peuple de France mais bien aux citoyens de première et de seconde zone, la troisième, ma foi, devant tendre le cou et se taire.)
Art. 13. - Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Art. 14. - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Art. 15. - La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration. (Il sera bien temps de le faire près des diverses gouvernances qui s’autoprotègent et devront rendre compte des prévarications et des assèchements vertigineux des crédits des Françaises et des Français, comme des entreprises, aux fins de piétiner la réalité Nationale au profit d’une dictature universelle.)
Art. 16. - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. ( Au regard de ce qui se passe dans le cadre du coup d’État maçonnique et sectaire qui manifeste sa volonté dans tous les pouvoirs, nous voyons que la France n’a point de constitution, et que cette dernière ne pourra être restaurée qu’en éradiquant dans la légalité tous les groupes et sectes de pression qui ont déclaré la guerre à la Démocratie comme à la République.)
Art. 17. - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Cette Constitution est-elle respectée ? En aucun cas pour ses grands principes, nous le voyons, il n’existe plus en France un Peuple uni, mais bien un Peuple sous le joug des communautarismes quels qu’ils soient. Nous pouvons recréer cette union d’un Peuple indivisible quelle que soit sa confession, sa couleur de peau, son orientation sexuelle, mais faut-il d’ores et déjà savoir que cela ne sera que si et si seulement nos votes ne vont plus fournir des armes à notre mise en servage, aux prétendants de tous bords qui osent dire qu’ils se présentent pour le bien du Peuple, lorsqu’ils ne font que la politique que décident pour eux des sectes et des prébendiers déviants qui pullulent dans notre Nation.
La véritable unité, ce n’est pas celle de marcher pour une Liberté de pensée inexistante dans notre Nation, mais bien de marcher pour l’ensemble des Libertés accordées par la Constitution dont celles de la Constitution de 1789 sont largement autosuffisantes pour créer les conditions de cette unité retrouvée, une unité foudroyée lors du dernier défilé, faisant apparaître encore une fois l’instinct communautariste de la gouvernance au profit du communautarisme, et non du Peuple dans son intégralité. Il y en a pour penser que la gouvernance actuelle retrouve de la vitalité dans sa prestation, en fait elle marque là son déclin le plus total, incapable, de par ses dépendances, de faire face à une adversité qu’elle a elle-même directement ou indirectement permise.
Le leurre stratégique de faire venir à elle un ensemble de représentants d’autres Nations les unes conquérantes, les autres soumises, que ce soit au niveau économique ou au niveau intellectuel, ne passe pas inaperçu, et démontre sa fragilité dans le cadre de son acceptation à un totalitarisme qui n’est pas la France et ne le sera jamais. Les Françaises et les Français ne sont pas dupes de cette opération de récupération la plus vile qui ait pu exister, car née sur le sang de Français assassinés lâchement par la barbarie aux mains sanglantes animée par la barbarie en col blanc.
Le pouvoir des sectes n’a que trop duré en France, il faut rendre à l’État son discernement et sa grandeur, il faut rendre au Peuple de France sa légitimité et sa souveraineté. Le reste n’est que discours creux qui évite l’essentiel afin que sans retenue tout un chacun, par transfert de responsabilité, se sente coupable de la situation, une situation orchestrée que nous devrions pleinement accepter. Nous ne l’acceptons pas, nous n’acceptons pas que soit foulée aux pieds la Constitution Républicaine de 1789, à laquelle tout pouvoir qui viendra devra se référer afin d’en finir avec les injures des ismes, ce prosélytisme qui ne reflète d’ondes en ondes leurs inconséquences et leurs dérives totalement délétères.
Restons éveillés face à cette virtualité qui au lieu d’affirmer une modestie de bon aloi, se goberge de ses scories, oubliant de dire qu’elle entraîne et arme la barbarie sur les fronts du Moyen Orient qu’elle fait semblant d’attaquer en bombardant un Pays qui autrefois fut une Nation, et qui aujourd’hui est un désert où les communautarismes s’entre-tuent à qui mieux mieux, pour la plus grande gloire des galons de l’or noir qui se vendent sous le manteau jusque dans nos ports. Belle opération que celle-ci, qui va beaucoup plus loin, la chute du prix du baril devant entraîner la chute de la Russie, ce qui n’est pas le cas et ne le sera jamais, n’en déplaise à la horde des va-t’en guerre qui pullulent dans l’OTAN, qui d’ailleurs commencent à être remis en question par de très nombreux militaires, ce qui ne peut être que rassurant pour notre avenir.
Tout est lié, ne l’oublions jamais, les dépendances comme les interdépendances qui ont si bien conflué pour restaurer leur image de marque lors de ce défilé politique parfaitement manipulé, le prouvent s’il en était besoin. La France n’a pas à être subordonnée à quiconque, hors ce défilé a démontré que sa gouvernance était subordonnée à la politique étrangère de certaines Nations, aux communautarismes de certaines Nations, à une allégeance sans commune mesure envers l’Allemagne, qui n’est qu’une Nation dans la partition Européenne, actuellement à la botte des États-Unis. Et l’on nous parle d’unité dans ce pays où il n’en existe plus aucune, sinon celle des communautarismes minoritaires.
La majorité, quant à elle, doit rester silencieuse, surtout bien comprendre qu’elle ne doit pas faire d’amalgame, accepter sa mise en esclavage en adorant ses geôliers, ces gauleiters aux petits pieds qui s’imaginent le centre du monde parce que quelques sociétés discrètes leur ont mis le pied à l’étrier du pouvoir, vendus comme des marques de savonnettes dans le leurre absolu masquant leurs appartenances et leurs dépendances. Il est temps que ces produits du marketing du mondial socialisme fassent l’objet d’une traçabilité générale de la tête aux pieds, afin d’en dénoncer l’ignominie. On peut le faire sans problème grâce à la vanité de certains groupes manifestant leur agrément à des petits pieds en dépendance envers leur idéologie.
Cela se fera juridiquement, en développant la Loi de 1905. On ne peut servir deux maîtres à la fois, le Peuple et les sectes, il faut savoir choisir, et la classe politique qui aujourd’hui se révèle l’entremetteuse de cette horreur à laquelle nous venons d’assister devrait plutôt baisser la tête au lieu de la dresser avec des rictus dictatoriaux qui ne prennent que pour leur entourage et en aucun cas pour le Peuple, le délaissé que l’on voudrait prostituer à ses dérives. Le Peuple n’est pas une prostituée qui devrait œuvrer pour des maquereaux qui usurpent son pouvoir, se paient sur sa capacité de travail et dilapident ses faibles ressources durement cotisées, au motif de leurs lubies mégalomaniaques, une « république » universelle qui ne sera qu’une dictature universelle notamment. S’il y en a qui pensent que cela doit être ainsi, ils n’ont pas leur place dans un quelconque pouvoir, or, qu’aucun leurre ne vienne ternir cette image, cela est le cas pour la plupart qui de concert sous les auspices du Siècle, enserrent la France dans leurs griffes. Le pouvoir y est ici fermenté, devisé et octroyé puis vendu comme on vend une marque de chaussette, et il n’est que de voir qui s’y profile pour comprendre que la Démocratie n’est plus qu’un leurre et que cette « oligarchie » envoie ses sbires à la manœuvre, L’entonnoir est là dans sa béance et c’est bien cela, entre autres qu’il convient de réguler dans notre Nation afin de destituer l’usurpation qui y règne.
Une usurpation dont le Peuple fait les frais, une usurpation qui le voit devenir de troisième classe dans sa Nation multimillénaire, au motif du laxisme ordonné et manipulé par ces « gouvernances » dites démocratiques et Républicaines, qui sont des Oligarchies dictatoriales et n’ont donc rien à voir avec le bien du Peuple, mais avec leur bien propre, le bien des membres de leurs sectes diverses et variées qui vivent comme des parasites sur le dos du Peuple. Et il y en a aujourd’hui, réécrivant l’Histoire, pour faire accroire que les Françaises et les Français vivaient mal au temps de la Royauté, notre jour est bien pire que celui-ci, un jour où flotte un étendard qui n’est pas l’étendard du Peuple mais des sectes associées qui usant de tous les stratagèmes, veulent maintenir leur pouvoir sur les Peuples endormis par ses illusionnistes, ses comiques, ses médiocres.
Il y a eu un avant, il y a effectivement un après, celui de voir l’Unité Nationale n’être pas vaine, celui de voir le Peuple ne faire qu’un et non se résorber dans les communautarismes, celui de voir le Peuple se faire respecter par des élus sans la moindre dépendance à une quelconque secte quelle qu’elle soit, celui de voir le Peuple représenté par un gouvernement sans la moindre dépendance, œuvrant pour le bien public et non pour des biens factuels qui ne représentent pas la France et ne seront jamais la France.
Au moment de terminer cet éditorial, nous apprenons que le drapeau Français est brûlé dans les Pays Africains, notamment en Algérie, où les assassins fomenteurs du double attentat, deviennent des martyrs. Cela démontre s’il en fallait que la haine porte son visage, toujours le visage des communautarismes quels qu’ils soient envers notre Terre, notre Peuple, notre Identité, notre Souveraineté, qui bien entendu sur nos propres terres n’en pense pas moins, n’en doutons un seul instant, devant le laxisme de gouvernances qui se cachent la tête dans le sable plutôt que de regarder la réalité, qui préfèrent affronter dans les prisons l’Islam radicalisé au lieu de l’affronter dans les zones de non droit.
Que l’on se rassure les yeux du Peuple sont ouverts sur cette démission de la gouvernance, comme de sa soumission à tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais. Les urnes parleront d’elles-mêmes. »
La Terre est de plus en plus sous le joug des particularités, des associations diverses et variées qui dans le leurre le plus complet font semblant de se combattre, mais se révèlent des factions particulièrement organisées aux fins de détruire les Identités et les Nations afin de réduire les Peuples en servage. Souhaitons que la Démocratie se ressource sur cette petite terre où sa virtualité ne fait aucun doute.
© Vincent Thierry