Nous ne sommes pas là pour critiquer les femmes
et les hommes, quelques soient leurs modèles de
pensées, leurs orientations familiales,
sexuelles, leurs désirs profonds d’être ou de
paraître, le sujet n’est pas là, le sujet va
bien au-delà de cette rhétorique de l’individu
qui dans l’absolu est partie intégrante de la
composition de l’Univers et respectable en ce
sens, nous sommes là pour mettre en évidence que
la fonction quelle qu’elle soit peut façonner
des prises de position et des interprétations
qui ne sont pas le fait de l’individu mais de
communautés qui, bâties sur une abstraction
sinon une atrophie, peuvent mener l’individu a
se commettre dans la non-humanité la plus
redoutable. Or qu’est ce qui doit primer dans
notre petit monde, notre Humanité ou notre non
Humanité ?
Voila la question exacte qu’il faut se poser si
l’on désire trouver une issue à ces phénomènes
complexes de pouvoirs entrelacés et
circonstanciés qui façonnent des fonctions dans
lesquelles l’individu n’est plus lui-même mais
le rouage d’un ordre ou d’ordres qui n’ont aucun
vocation à établir l’Humain, mais bien son
contraire le non-humain que j’appelle le
non-être, état de l’inconscience la plus
perverse se satisfaisant de sa propre condition
d’esclave au paraître, à cette dimension qui est
celle le mutant dans une démesure en laquelle il
se perd, se fonde, et déjà sans repères s’enlise
afin de justifier la démence qui le porte,
l’obnubile et le terrasse. Le pouvoir rend fou
lorsqu’il n’est établi un contre pouvoir en son
action, ne l’oublions jamais. L’histoire est là
pour nous le prouver et cette histoire s’inscrit
malheureusement bien plus dans le sang que dans
la paix, le sang des innocents, ce sang que l’on
voudrait voir versé ce jour dans un conflit qui
s’autorise et auquel nous n’avons pas à
participer, car il n’est issue d’aucune
légitimité, sinon celle d’un ordre qui est
démesure de ses ambitions, la mise en œuvre d’un
ordre mondial qui n’a en aucun cas été approuvé,
légiféré par les Nations et encore moins par les
Peuples, donc par les Etres Humains, qui ont
tout de même leur mot à dire, si l’on veut
respecter un tant soit peut la Démocratie dont
tout le monde à plein la bouche sans en
appliquer une seule directive !
La Démocratie a ceci de particulier que son
fantasme fait accroire qu’elle est viduité dans
la mesure où se déploient des actions en son
nom. Les uns, les autres ne pensons pas un seul
instant qu’elle puisse être usurpée, et pourtant
la réalité est là, sans passion, sans haine,
cette réalité qui fait que notre pays ce jour ne
s’appartient plus, mais appartient à des racines
qui ne sont pas issues de la volonté, populaire,
mais d’une volonté abstraite qui n’a jamais été
éclairée près des peuples, une réalité dominante
qui emprunte des voies qui n’ont rien de
démocratique, bien au contraire, voies qui jouent sur
la capacité et l’incapacité humaine, ses
réflexes, ses émotions, ses souches innervées
dont la psycho sociologie nous apprend ce que ne
connaissent en aucun cas les citoyens qui ne se
connaissent pas eux-mêmes, qui réagissent aux
impulsions, aux mots d’ordre, aux slogans, comme
une seule souche, sans la moindre reconnaissance
de ce qui est proféré, et qui déguisé peut
apparaître comme ce qui doit être.
La politique aujourd’hui n’est pas ce que l’on
peut croire, une décision individuelle se
concrétisant par la mise en place d’un bulletin
dans une urne, mais bien autre chose, une étude
de marché, marché que l’on va conditionner pour
que le citoyen accepte telle ou telle théorie, et se
précipite dans l’accroire sans regarder au-delà
de la source de plaisir et d’émotion que peuvent
lui apporter ce choix qu’on lui montre et
démontre, ce choix qui devient son choix. Pour
imager notre propos, il suffit que nous
regardions les dernières élections, dès
l’instant où le Peuple ne voulait pas de cette
gauche qui a ravagé la France pendant deux
décennies, restait-il un autre choix que celui
qui a élu le Président actuel ? Non, il n’y en
avait pas, donc ce choix a été arrêté, décidé,
propulsé, enrobé, déclamé, félicité, jusqu’à
l’adulation, qui se poursuit actuellement
aujourd’hui par des ministres dithyrambiques qui
confondent l’institution et l’homme.
Comment se sortir de ce phénomène ? L’heure est
trop sérieuse pour la regarder comme
épiphénomène, la France n’a pas à servir des
intérêts qui ne sont pas en conformité avec ses
intérêts, elle existe, et continuera à exister,
n’en déplaise. Sa vocation est universaliste et
en aucun cas mondialiste, universaliste dans le
cadre du développement de ses idéaux à travers
le monde, de sa culture et de son aura, si
malmenés ces dernières décennies.
L’universalisme ne représente pas la dissolution
des cultures, des Etats et des Nations, mais
bien au contraire leur respect inconditionnel
basé sur des échanges et des liaisons qui n’ont
rien de contraignantes car acceptés dans le
cadre d’un respect multilatéral sans équivoque.
Ce postulat de base permet de naître une Europe
des Nations qu ne soit plus aux ordres d’un
mondialisme dénaturé qui ne rêve que d’une
société mondiale où ne vivraient plus qu’une
« élite » et des esclaves gouvernés par des
« sages ». C’est le plus vaste challenge qui est
aujourd’hui à relever si nous voulons survivre à
ce bulldozer qui s’avance, implacable,
tyrannique, dictatorial par essence, broyant les
Etres Humains, les Etats, les Nations, comme
autant de cartes d’un jeu dont il ne restera que
poussière si nous ne réagissons pas sainement et
avec détermination, cette détermination née
d’une sagesse multimillénaire qui manque aux
orienteurs qui semblent vouloir faire table rase
de toute existence au profit de leur simple
petit portefeuille.
Face au coup d’état mondialiste, il faut créer
les conditions d’un coup d’état universaliste,
créer ce contre pouvoir qui doit faire face et
supplanter l’inhumanité de cette dictature sans
nom qui s’avance, et pour ce faire, nonobstant
la création d’un Parti représentatif sur notre
sol de France, qui ne soit plus le lieu du
parasitisme et de ses options, lentement,
graduellement insinuer toutes les Institutions
existantes, qu’elles soient nationales,
européennes ou internationales. Car il faut bien
comprendre une chose, ce ne sont pas les
institutions qui sont en cause, mais les hommes
qui les façonnent, ainsi de cette europe aux
petits pieds qui faisant fi du droit des peuples
légifère à outrance sur des sujets qu’elle
ignore, composante de l’abstraction dictée dans
le cadre d’une organisation mondiale du commerce
totalement asservie par des chevaux de Troie qui
ne représentent que des intérêts privés mais en
aucun cas des intérêts généraux.
Oui, la France peut continuer à exister, oui
l’Europe des Nations peut exister, oui le
Gouvernement Mondial peut exister, sous cette
réserve expresse que ce dernier ne soit pas le
fruit d’une dictature mais le fruit d’un
consentement qui ne soit en aucun cas lié à un
asservissement quelconque. Ne nous trompons pas,
notre propos n’est pas ici de réduire à sa plus
simple expression l’idée de gouvernance
mondiale, mais bien au contraire de légitimer
son devenir et son avenir par la mise en œuvre
de son existence dûment légiférée, et non
imposée, une gouvernance qui ne devra rien aux
apprentis dictateurs qui se réfugient dans leurs
loges pour mieux se congratuler dans leurs
déterminations, une gouvernance qui n’ignore
rien des Peuples car élue par les Peuples, une
gouvernance qui n’aura pas besoin de chiens de
guerre pour se protéger des regards des Peuples
et qui ne prendra plus de décision sans l’accord
des Peuples, une gouvernance bâtie sur la
multipolarité où chacun trouvera sa place, son
devenir et formera l’avenir, cet avenir qui peut
être merveilleux, au-delà des scories qui
blanchissent à la chaux des monceaux de cadavres
accumulés depuis des siècles afin
d’imposer une vision atrophiée de la réalité,
vision d’horreur où le non-être, esclave
consentant, devient la raison d’une dictature de
fer et de sang !
Utopie ? Non réalité face à ce flot de haine qui
traverse notre planète, libérée par cet Ordre
Mondial totalement abstrait qui veut façonner
les Etres et les Nations, qui aujourd’hui
assombrie notre Nation, officine de la terreur
et de la peur, officine de ce terrorisme
larvaire, de cette écologie inverse, qui sont
nés de son arrogance et de son intransigeance,
de son véritable visage qui n’est que celui
d’une dictature en puissance, alliance du
national socialisme et du communisme, trépassant
tout devenir de l’Humain, de l’Humanité, qui
réduits dans le sordide deviendront des esclaves
consentants au même titre que les chiens de
Pavlov ! Nous y sommes presque ce jour où les
Médias aux ordres répandent une sous culture
permettant de domestiquer l’individu, dans le
cadre de cette pensée unique qui ne voit plus
l’Etre Humain que comme un étron indifférencié,
un étron biologique et chimique, vide de
pensées, vide d’esprit critique, vide d’âme,
vide de sensibilité, vide de tout, acclamant
lorsqu’il faut acclamer, pleurant lorsqu’il faut
pleurer, conspuant lorsqu’il faut conspuer,
larve sans devenir sinon celui de sa propre
destruction !
Challenge énorme semble t’il à relever ? Non, je
ne le pense pas, car nous avons ce pouvoir de
réaction en France, né de nos racines, n’en
déplaise, capable de soulever les montagnes, car
les françaises et les français sont loin d’être
ces bêtes ignares que l’on voudrait qu’ils
soient, et de tout temps, et oui, l’Histoire
existe, n’en déplaise, le Peuple de France a su
se dresser contre l’infamie, contre
l’asservissement, contre le développement de la
dictature, qu’elle soit de gauche comme de
droite, symboles qui ne riment strictement à
rien en ce jour, ou doivent se confronter deux
visions du monde, mondialisme et universalisme,
et je gage que françaises et français sauront
où vont leurs intérêts, au-delà des
dissensions, de ces anachronismes idéologiques
qui n’ont plus lieu d’être, de ces festives
langueurs dans lesquelles on veut les
conditionner pour mieux les récupérer !
Il n’y a pour ce challenge pas de femme ou
d’homme providentiels, il n’y a que la bonne
volonté et cette volonté doit être inflexible,
au-delà du paraître, de l’avantage, de la
paresse, car le combat à mener est un combat
pour la survie de la biodiversité Humaine, en
ses existants, en ses identités, en ses racines
et en ses cultures, un combat de chaque instant
qui doit dépasser les clivages qui ne sont là
que pour servir les intérêts de ce mondialisme
en marche qui sait très bien diviser pour
régner, qui sait très bien s’insinuer en chaque
parti, en chaque association, en chaque groupe
de pensée pour saper l’autorité morale et
déployer ses menstrues idéologiques qui ne
peuvent que complaire à l’atrophie mentale et
sociale, cette atrophie qui parade en tous lieux
sans qu’un seul mot ne soit prononcé afin d’en
réduire la partition de néant, tant sont
jugulées, décimées, les forces constructives de
la pensée, cette pensée dont personne n’a le
monopole, et qui pourra être réduite,
emprisonnée, assassinée, mise à l’index, mise au
silence, mais qui toujours reparaîtra, car
l’Etre Humain n’est pas né pour être esclave, il
est né pour être Libre et conquérir, au-delà des
volontés qui cherchent à le briser, au-delà de
ce que l’on voudrait qu’il soit, un animal, lors
qu’il n’est en aucun cas un animal, n’en déplaise,
mais bien au-delà de cette forme réduite de son
devenir, un Etre en pouvoir de transcendance, un
Etre bien plus complexe que peuvent l’imaginer
nos sciences atrophiées par le mensonge, le
réductionnisme, l’anthropomorphisme, les
psychologies de bas étage, toutes ces formes
larvaires au service d’une seule cause,
l’esclavage et ses sermons !
La culpabilisation, forme suprême de
l’abstraction doit être atomisée, il serait temps
que l’Humain se rende compte que son avenir va
bien au-delà de ce manteau terrestre qui
disparaîtra lorsque le soleil qui l’inonde
deviendra une géante rouge, pulvérisant à jamais
notre si belle petite planète, l’Etre Humain
doit essaimer la galaxie, et d’autres galaxies,
ses ambitions ne peuvent se limiter si, porteur
de Vie, il veut que la Vie ne s’éperde et
disparaisse en la représentation qu’il incarne,
challenge des générations futures, challenge
immémorial que chacun doit garder en mémoire
afin de comprendre que l’Unité du vivant doit se
créer sur ce tremplin terrestre, une unité
certes, mais pas n’importe quelle unité, pas
cette unité dessinée par cet Ordre Mondial
imposé, où l’humain ne sera porteur que de ses
chaînes, mais une Unité bien plus exaltante, une
Unité accomplie dans la légalité et le Droit,
qui permettra à chaque Etre Humain de participer
à ce formidable devenir !
Voici le challenge, il en vaut la peine, et il
vaut la peine que nous combattions sans failles
contre l’esclavagisme, la dictature quelque soit
la forme qu’elle revêt, y compris celle de la
« Démocratie », voici le challenge et pour
revenir temporellement à notre propre survie qui
est celle de la France, notre Pays construit sur
le sang de nos ancêtres, uni par nos Rois, sol
de notre sang qui bouillonne d’indignation
devant l’usurpation de son destin par une force
qui n’est pas sa cristallisation mais sa
désintégration, il convient rapidement de créer
une force politique novatrice qui soit
l’expression d’un contre pouvoir déterminé,
au-delà des partis, une force unie qui rassemble
toutes les bonnes volontés au-delà des
idéologies désuètes et sans lendemain, afin de
faire contre poids au pouvoir mis en place
actuellement.
Je répète qu’il n’y a pas de femmes ou d’hommes
providentiels pour initier cette expression,
toutefois il y a des symboles, et dans cette
France soumise à la dictature de la pensée
unique, à l’heure où les procès politiques,
dignes de ceux de la Russie bolchevique se
mettent en place, je pense au seul homme
courageux qui a su braver le mondialisme en
marche, et qui le paye d’une manière éhontée ce
jour, dans ce procès politique dirigé par le
pouvoir, qui n’est qu’une parodie de justice, un
homme qui a su porter la voix de la France dans
ce creuset d’asservissement qu’est devenu l’ONU,
un homme courageux, qui s’il n’a pas toujours
été à la hauteur des situations auxquels il a
été confronté, reste symbole de la France en
Action, de cette France Universelle qui a le
pouvoir de dire non ou oui, de la France
indépendante et souveraine qui a le pouvoir de
contredire l’expression de la dictature et de
ses hérésies.
A l’heure où dans le parti de la majorité des
voix s’élèvent, très nombreuses pour faire
valoir un sentiment d’injustice, totalement
justifié, il serait peut être temps pour ces
dernières d’oser faire sédition et fonder ce
parti uni qui bouleversera enfin les cartes de
ce château de paille qui ne tient en fait que
par deux éléments indissociables, terreur et
peur, terreur et peur dirigées, terreur et peur
conjuguées qui permettent au mondialisme
d’asseoir ses privilèges et son dessein. La
France a toujours été courageuse, la lâcheté
n’est pas son principe, elle a perdu beaucoup de
batailles, certes, mais cette bataille entre
deux visions du monde, elle doit la gagner, il y
va de sa survie, il y va de la survie de ses
citoyens, il y va de la survie de la Liberté,
Liberté de l’individu, Liberté de la Nation a
disposer d’elle-même, Liberté de l’Humanité qui
ne doit plier sous le joug d’une quelconque
dictature !
Pour quiconque pourrait douter des propos
relevant de cet ouvrage, je rappellerai le
discours à l’ONU de notre Président, du 25
septembre, qui se résume par une mise au pas de
la France derrière l’idéologie des Faucons, au
regard de l’Iran, et « sanctions » contre le
Darfour et la Birmanie ( on affronte pas la
Chine, dont les intérêts se portent sur ces deux
derniers pays, il est tellement plus facile de
se montrer belliciste à l’égard de pays qui ne
disposent pas de la bombe atomique, et dont bien
entendu on veut nous faire accroire qu’ils la
préparent ; l’auraient-ils que cela changerait
la face des choses bien entendu !) qui cumulé
avec les actions qui ont permis une entrée sans
concession de la défense Française dans l’OTAN,
la création d’un mini traité « européen » sans
consultation du Peuple Français, avec le plus
grand mépris pour sa négation pour une
éventuelle constitution, l’ensemble de ces faits
à eux seuls permettent de faire voir qu’il
n’existe plus de Politique Française, encore
moins de France, diluée désormais dans ce magma
informe d’un mondialisme en marche nivelant tout
sur son passage, les Etres, les Nations, pour
instaurer sa dictature impitoyable dont nous
serons « esclaves consentants » sous
vidéosurveillance perpétuelle, avant que de
finir
, pour les déviants de la
pensée unique mondialiste,
dans ces camps de concentration tant admirés par
les Nationaux Socialistes et les Communistes,
dont la synthèse des
idéologies est le mondialisme,
qui sont passés maîtres dans l’Art de la
destruction de tout horizon !
Il n’est jamais trop tard pour surpasser cette
dictature, et le potentiel politique de notre
Président permettrait ce dépassement,
mais faudrait-il encore qu’il conçoive
l’Ordre Mondial comme universaliste et non
mondialiste. Lui qui veut rendre à la France
tout ce que la France lui a donné, qu’il
n’oublie pas un seul instant que la France a
toujours été Universaliste et en aucun cas
Mondialiste, les cendres de son Empire en
témoignent, et l’Empire qu’elle peut construire
peut en témoigner, il ne tient qu’à lui de
méditer sur ce destin hors du commun qu’il
pourrait transcender dans le cadre de cette
méditation en Action, mais seul l’avenir nous le
dira, en attendant il convient de préserver ce
qui peut être encore préservé de notre Nation,
de notre Peuple, de notre Culture, au-delà de ce
mondialisme dithyrambe qui comme toute dictature
disparaîtra dans la poussière, car on ne peut
indéfiniment contraindre et les Etres et les
Peuples,
(confère la Birmanie ce
jour),
la Liberté restant à jamais leur flambeau malgré
les ténèbres et les temps obscurs qui semblent
vouloir destituer à jamais la luminosité de la
Vie et de son hymne :
De l’Aigle Souverain
L’impériale densité
De la Liberté !
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