Proposition : y a-t-il un remède pour la France
qui lui permettra de s’insérer dans le cadre du
mondialisme en marche sans qu’elle ne devienne
un frein à l’absolutisme ?
Réponse : Il convient d’analyser globalement les
modes de pensées de ce pays et façonner un
discours qui plaise aux uns et aux autres afin
de prendre le pouvoir et ensuite, bien entendu
appliquer strictement le plan mondialiste, la
légitimité assurée ne permettant ni aux uns ni
aux autres de se rebeller contre l’ordre établi.
Action : Opération marketing, vous dis je, une
opération d’envergure qui ne permettra ni aux
uns ni aux autres de percevoir la duplicité, le
mensonge, l’opportunisme, et finalement
conditionnera chacun dans ce moule qui est celui
de ce personnage qui sera mis en place, où
chacun se retrouvera même s’il pressent une
certaine irritation. L’important est que cette
irritation soit minime et qu’elle ne fasse
sombrer l’orientation de la réponse dans
l’esprit du français.
Qui : l’homme lige est en place, dans ce parti
traditionnel dans lequel le pouvoir lui a été
offert, il ne reste plus qu’à le promouvoir
comme n’importe quelle marque de lessive, où
n’importe quel chanteur ou chanteuse, le reste
comptons sur Pavlov, l’intelligence diminuant
comme le carré de l’échantillon concerné, 60
millions de français devraient se retrouver
facilement incarné dans ce prétendant dont les
discours seront conditionnés.
Politique fiction, bien entendu que tout cela.
La mémoire disparaît comme fenaison d’automne,
et pourtant rappelons nous de cette période
extraordinaire précédent les dernières
élections. A quoi assistons nous ? A une montée
en puissance sans commune mesure de l’homme
lige, haï de part son ministère et de ses
préoccupations par une frange importante de la
population, considéré à bon droit comme
l’expression du fascisme le plus dur, (que cela
n’a-t-il duré ?), et qu’avons-nous trouvé en
face de cet être controversé, le pire de ce que
la gauche, et il n’est pas difficile
d’apercevoir la connivence, a pu mettre en lice,
une opératrice du mensonge totalement formatée
par une agence de publicité américaine qui
devant sauver les apparences s’est enhardie à
lui faire balbutier comme autant de coups de
marteau dans le cerveau des françaises et
français le parler juste, clair, le parler de la
vérité, qui à l’analyse ne résiste pas pour
prononcer sa défaite inéluctable.
Manipulation souveraine à souhait où chacun
s’est fait avoir, y compris les défenseurs de
notre Nation, qui on cru, comme je l’ai fais
moi-même, à ce montage si bien organisé. Comme
quoi l’histoire immédiate réserve bien des
surprises même à ceux qui voient un tout petit
plus loin que le bout de leur nez. Analysons
maintenant la montée en puissance du personnage,
se battant sur tous les fronts et n’ayant dans
la bouche que la France et les Français, cachant
son jeu dans les méandres d’une duplicité bon
enfant qui ne pouvait apparaître tant la
franchise semblait son panache. Le parti qu’il
régissait était derrière lui, totalement
derrière lui, y compris des personnages du
précédent gouvernement qui ne le portaient pas
dans leur cœur, qu’il traînera ensuite dans la
boue, nous y viendrons.
Manipulation totale et soumise, des membres de
ce Parti qui le voyaient comme l’homme
providentiel qui permettrait la restauration de
la France, cette manipulation glissait petit à
petit de foyer en foyer via les médias aux
ordres, via l’internet servile, via les voix
étrangères qui préfiguraient son ascension, via
des prises de position qui ne pouvaient que
faire plaisir aux souches populaires condamnées
à être privées de travail et de logements aux
profits de sans papiers reçus comme des Princes
alors que deux millions de français vivent en
dessous du seuil de pauvreté, plaisir simple de
petits retraités aussi, plaisir simple de
simples Etres Humains touchés par des handicaps
ou par la maladie, plaisir simple de croire à un
rayon de lumière qui percera cette atmosphère
devenue irrespirable en France dès l’instant où
natif de France on osait se prononcer en ses
droits après que d’avoir rempli ses devoirs !
Le discours est apaisant, toutefois quelques
transgressions transparaissent parfois comme
autant de révélateurs de la planification qui
s’avance, des couacs ordinaires qui pris dans
l’ensemble ne se voient pas, l’immigration
choisie, on continuera à recevoir toute la
misère du monde alors qu’on a un déficit
considérable et des millions de personnes sans
emploi, la préférence aux immigrés dans le cadre
des emplois, que l’on nomme charitablement la
discrimination positive, qui a été stoppée nette
aux Etats-Unis devant la pandémie d’incapacité
qu’elle engrangeait, au détriment des françaises
et des français de souche, naturalisés ou non,
le mini traité européen, qui faisant fi du Non
Français fera se regorger de l’importance qu’ils
n’ont pas, les représentants de cette europe
larvaire dévouée et enchaînée à la frénésie
mondialiste, touches les une les autres amenant
des menaces d’une austérité flagrante et
affligeante.
Le panier de crabes est en place, il s’agit
maintenant d’appâter les populations qui en
leurs racines ne peuvent que fuir la « socialie »
et sa démagogie outrancière, son outrecuidance,
ses malversations, ses soudains volte face qui
frisent l’insanité, telle la mise en valeur de
l’hymne National, qui dans la bouche des
partisans de la destruction de la civilisation
Occidentale ne manque pas de cocasserie. Ubu Roi
reste Roi dans cette parodie insolente, où les
débats ne tournent autour que d’une seule chose
pour le représentant de la droite, il faut
travailler plus pour gagner plus, il faut se
lever de bonne heure le matin, il faut abhorrer
les trente cinq heures, il faut devenir
propriétaire (pour mieux être tenu et enchaîné
par le système ?), et pour le représentant de la
gauche, mêmes incantations, la juste vérité, la
clarté, l’opiniâtre clarté jusqu’au vomitoire
qui lui permettra de ne pas être élu, tant la
haine en ses rangs est forte, tant le parjure
est lieu dit de place publique, tant la frénésie
est à son comble.
La coupe n’était pas assez pleine, monte en lice
le mouton à cinq pattes, le mouton noir qui doit
faire plier l’un et l’autre candidat, permettant
d’accentuer les contrastes et définir au-delà de
ce mic mac conditionnel servi au public, un brin
de vérité, que ni la droite ni la gauche dans ce
pays n’ont été à l’encontre l’une de l’autre,
car baignant dans la même servilité utopique du
mondialisme en marche, et qui d’appartenir à
telle société discrète, et qui de se montrer
dans telle autre, d’appartenir à telle secte, de
se rencontrer dans telle autre, le Siècle pour
ne citer que celle là, puisque la plus
représentative de l’inféodation totale et
compromissoire des instances dirigeantes à
l’aveuglement mondialiste, des loges en
puissance les armées prétoriennes qui montent en
lice pour mieux mentir sur leurs appartenances,
cette appartenance les liguant à la plus vaste
conjuration qui soit, celle de la destruction de
leur Nation.
Se tournent les regards vers cet illuminé qui
n’en est pas mais qui rêve d’en faire partie
jusqu’à permettre l’intégration de la Turquie
dans cette europe bancale qui se convulse dans
ses expressions les plus déshonorantes et les
plus radicales : combien de ses élus sont-ils
sous le coup de la justice, combien se cachent
en ses méandres pour obtenir ce sursis du
justiciable qui n’est permis qu’à ceux qui
disposent d’un mandat ? Nous n’en ferons pas le
compte tant la soupe est bonne en cette enceinte
qui sue non pas la franchise mais le mensonge
perpétuel, roue libre faisant fi des Peuples et
des Nations et dont les prébendes sont le
panache et la fierté, sous les enseignes de
commissaires qui ne sont autres que des
commissaires politiques aux pouvoirs
exorbitants, qui ne les tiennent en aucun cas
des Peuples, aux ordres du Mondialisme en
marche.
Part belle est donnée à ce prétendant par toute
une presse qui se doit de le monter en exergue
afin de stigmatiser cette gauche larvaire qui se
décompose jour après jour, et ainsi de monter en ses
sommets le faucon qui vient pour gouverner la
France, mais on ne le sait pas encore. Le
premier tour est un tour de passe passe, une
comédie théurgique en laquelle chacun, dans la
croyance qu’on lui a donné à croire, s’imagine
détenteur d’une vérité, lors qu’il n’est qu’un
jouet dont feront les frais les petits partis,
et notamment le parti nationaliste qui se trouve
laminé dans ses expressions par la fauve
émergence, croit on à l’époque, d’un renouveau
pour la France.
Tragi comédie où font grises mines les
tenanciers du communisme et leurs sosies,
tristes équipages qui se voient confirmés dans
leur députation alors qu’ils ne représentent
plus rien sur notre sol de France ensanglanté
par leurs hérésies en tout genre, leurs
compromissions en tous lieux, leurs
machiavéliques et sordides prestations qui
rappelons le sont support de plus de cent
millions de morts à travers le monde ! On ne
comprend pas et on ne peut pas comprendre qu’on
puisse encore voter communiste après la
découverte des famines contrôlées, des camps de
concentration qui auraient pu faire pâlir de
jalousie les nationaux socialistes, des procès
politiques, des liquidations massives et
physiques tant à l’Est qu’en Chine que dans ces
pays « libérés » Vietnam, Cambodge ! Rappelons
que le régime Cambodgien a commis un génocide
touchant un million cinq cent mille personnes !
Mais cela est une autre histoire dont les
archives ouvertes du KGB témoigneront le jour
venu pour taire à jamais cette perversion de
l’Ame dont on a vu d’où elle venait.
Les coqs jouissent, la poule caquette !
L’horizon du second tour promet bien des
trivialités qui ne manqueront pas d’arriver à
commencer par ce rapprochement qui ne pouvait
que faire décliner définitivement les forces de
gauche, le rapprochement du poulet et de la
poule, dédaigné par le faucon impassible, qui
marque le plus grand point dans cette opération
parfaitement téléguidée afin qu’il soit élu,
opération remarquable soit dit en passant où les
françaises et les français n’ont rien vu que ce
que l’on a bien voulu leur montrer, opération
souveraine digne du coup d’état qui s’en suivra.
La France n’est plus en haleine, elle sait ne
pas savoir compter sur les postiers et les
boutiquiers qui s’enchaînent à des propos
idéologiques. Le faucon en profite pour assener
les termes d’un programme qui ne peut que
séduire dans la turbulence où ceux qui n’ont
rien à dire feraient mieux de se taire et se
ranger en ordre de bataille.
Les petits partis pansent leurs plaies, seul, en
lice le mouvement écologiste pavane, avec sa
charte déprimante et caricaturale où aucune
place n’est faite à l’être Humain, charte que
s’empressent de signer les tenants du pouvoir,
sachant pertinemment qu’ils n’appliqueront
jamais ses directives, outrancières pour la vie
humaine, outrancières pour son devenir,
outrancières jusqu’à la barbarie pour
l’Humanité. La frénésie est liesse, on se
congratule, et le comble de l’hypocrisie nous
vient dans ce débat où les deux candidats qui
restent en lice l’un l’autre se rencontrent,
maniant non pas le verbe mais des slogans bâtis,
qui ne cesseront de se répéter à l’infini,
triste débat où l’on a vu une maîtresse d’école
interpellant un élève ce qui a permis au faucon
de marquer un nouveau point, ce nouveau point
décisif, les françaises et les français aiment
l’ordre mais pas la brutalité, ils prendront
toujours la défense de l’opprimé contre
l’agresseur, fin jeu de mot qui les fera réagir
comme le chien de Pavlov en donnant leurs voix
au faucon, pauvre faucon avilie par la
«sorcière », source de tous les maux, et
notamment de cette pensée unique contre laquelle
tant de mots ont été prononcés pour très vite y
revenir et cette fois ci d’une manière
déterminante.
Les larmes de crocodiles versées suite à
l’élection resteront dans les annales de ce que
l’hypocrisie humaine a pu faire de mieux.
Imaginez ces partis de connivence de part leurs
appartenances, qui au siècle, qui en loge, qui à
la Trilatérale, qui au Bilderberg, qui au CFR,
qui à Saint Simon, la liste est tellement longue
que n’en ferons pas le décompte, il faudrait un
ouvrage entier pour déterminer les ramifications
de l’Ordre mondialiste en marche, d’autres s’y
sont attelés et on réussi partiellement,
puisqu’une société peut disparaître une autre la
remplace, et vous pourrez consulter Internet en
.com je précise et non en .fr, les sites en .fr
étant tronqués, (la police de la pensée existe
dans trois pays : la Chine, l’Albanie et la
France ne l’oubliez jamais), imaginez donc les
représentants de ces partis qui se déchirent en
public alors qu’ils sont alliés comme les deux
doigts de la main en dehors des lieux publics !
Pour ceux qui en doutent, il serait temps qu’ils
s’intéressent à la réalité de leurs dirigeants
et non au paraître qu’ils laissent apparaître.
La suite nous donnera raison et vous le verrez
par vous-mêmes.
Les urnes ont donc parlées, la légitimité est
donc acquise, tout va pour le mieux dans le
meilleur des mondes ! Les congratulations
arrivent de partout, indices précieux de ce qui
peut arriver, mais la liesse est telle à ce
moment là que même les esprits les plus aguerris
ont perdus le sens des réalité. La gauche est
laminée, c’est une grande victoire, c’est vrai,
semble t’il, c’est vrai et l’on y croit, et l’on
se glorifie de cette élection qui à se méprendre
va permettre à la France de se relever, à la
France de se rehausser dans le diapason
international, n’avons-nous pas là l’homme
providentiel, l’homme qui mettra en œuvre tout
ce qu’il a dit, qui permettra au simple citoyen
de vivre dans une France libérée des
contingences des droits uniques pour enfin faire
valoir les droits et les devoirs, ces devoirs
oubliés par tant et tant de nos compatriotes !
Liesse du jour et de la nuit, liesse encore, on
y croit, on le veut, ce sera comme cela, mais le
lendemain arrive, on ne le sait pas encore, ce
lendemain où après la fête on a un goût mauvais
dans la bouche, ce lendemain qui ne dit pas tout
à fait son nom mais qui inquiète, inquiète sans
inquiéter totalement, malgré le comportement du
faucon qui trouve bon de fêter sa victoire avec
ses « copains » et non avec le Peuple de France,
on lui pardonne, pêché de jeunesse ne peut
nuire, il a bien le droit d’incarner un pouvoir
directif, il en a tant et tant parlé qu’on peut
le croire sur parole, et puis, françaises et
français lui ont donné la majorité, donc il est
bien libre de gréer son heure de victoire comme
il l’entend, cela change après le cycle des
mornes institutions, des sempiternelles
conventions qui semblaient vouloir régir la
France.
Un peu de malice ne fait pas de mal à cet Etat
fatigué de protocoles, usé par les
prévarications de l’apparence ! Que diable,
pourquoi le lendemain devrait-il déchanter,
puisque l’homme lige a contenté tout le monde en
ses désirs, ses acclimatations, ses tempérances,
ses appétits ! Que diable laissons le vivre ! La
nuit pourtant vient de tomber sur la France sans
qu’un seul de ses citoyens ne le perçoive, une
nuit noire dont on va découvrir la face jusque
là lovée dans le nid de faucons, dévoilant le
nid de scorpions auquel le jour devra faire
face, un jour dont la France se souviendra comme
d’une gigantesque défaite si elle s’en remet un
jour, ce qui n’est pas prêt d’être le cas tant
la léthargie semble le bien commun de l’ensemble
des citoyens de ce pays en voie de destruction
totale.
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