CHAPITRE I ANNEXES I

De l'Ordre Cosmique

Création d'un Univers dans l'Espace

Formation structurelle de l'Univers

L'Ordre Cosmique et l'Univers

Modèle Mathématique de l'Univers

Dimension Génésiaque

Dimension Temporel

Dimension Temporel Degrés Naturels

Diagramme de l'évolution au sein de la Dimension Temporel

Parcours des Dimensions de l'Ordre Cosmique

Considérations sur le parcours des Dimensions de l'Ordre Cosmique

Individué/Généré et Pouvoir de Transcendance Energétique

Considérations sur les formes de l'état de Vie au niveau Temporel

Sites Temporel

Considérations sur le parcours des Dimensions de l'Ordre Cosmique.

Considérant le parcours des trois Dimensions de l'Ordre Cosmique avenant la régénérescence de l'Absolu, Génésiaque, Temporel, Espace, nous pouvons pour chacune de ces Dimensions signifier des limites caractéristiques, limite de naissance et limite terminale.

J'appelle ces limites A et Alpha pour la Dimension Génésiaque, A étant engendrement de la Matière composée par l'Absolu par le souffle Energétique de l'Absolu, Alpha étant l'apogée Osmique, soit l'osmose de la Matière Composée et de l'Energétique éployée par l'Absolu, seuil de naissance de la Vie.

J'appelle ces limites Alpha et Oméga pour la Dimension Temporel, Alpha étant naissance de la Vie au sein de la Dimension Temporel, Oméga étant Exfoliation de l'état de Vie autonome du sein du Microcosme, seuil de naissance de l'état de Vie autonome au sein du Macrocosme.

J'appelle ces limites Oméga et Z pour la Dimension Espace, Oméga étant naissance de l'état de Vie autonome au sein du Macrocosme, Z étant apogée de la transcendance Energétique de l'état de Vie autonome, concrétisation libérant l'état de Vie autonome du Macrocosme pour l'intégrer en I'Absolu.

Ainsi pouvons nous dire que le cycle de la Vie au sein des Dimensions de l'Ordre Cosmique, est signifié par les limites A et Z, A étant genèse de la Vie, Z étant transcendance Energétique de la Vie, limites entre lesquelles la gravitation de la Vie s'effectue.

Cette gravitation est autonome, dès A, nécessité du principe même de régénérescence de l'Absolu, nécessité impliquant la terminaison parfaite des Dimensions impliquant le pouvoir d'évolution de la Vie, dès lors nous pouvons dire que compte tenu de cette autonomie, il existera des contractions Dimensionnelles.

Par contraction Dimensionnelle, il faut entendre une évolution non caractéristique, par extension une progression non caractéristique de l'état de Vie au sein des Dimensions de l'Ordre Cosmique, dès lors il apparaît que toute contraction dimensionnelle est source d'entropie.

Si nous considérons la gravitation de la Vie lors du parcours de la Dimension Temporel, parcours de (Alpha à Oméga), calculable car liée au symbole du Temps, ( non le temps linéaire mais le temps dont l'application est la résultante de l'interaction de champs de quanta énergétique déployés par les représentations interdépendantes et/ou autonomes de l'état de Vie au sein de la Dimension Temporel) , compte tenu du facteur de Maîtrise du Microcosme, lié à l'indice de compatibilité entre la Nécessité Immanente et la Nécessité Transcendante, nous pouvons postuler l'existence de contractions Dimensionnelles liées à une évolution propre et graduelle de l'état de Vie non qualitative avenant en fonction de son degré d'entropie soit une rétroaction de l'état de Vie au niveau des degrés Naturels de cette Dimension, soit sa dissolution au sein du Microcosme.

Si nous considérons la gravitation de la Vie lors du parcours de la Dimension Espace, parcours de Oméga à Z, incalculable dans les termes symboliques de notre Dimension liée au Temps, car de Temps inexistant, compte tenu du facteur de Maîtrise du Macrocosme, lié à l'indice de compatibilité entre la Nécessité Immanente et la Nécessité Transcendante, nous pouvons postuler l'existence de contractions Dimensionnelles liées à une évolution propre et graduelle de l'état de Vie non qualitative avenant en fonction du degré d'entropie, soit une rétroaction de l'état de Vie au niveau des Cycles propres a cette Dimension, soit sa dissolution au sein du Macrocosme.

Etant entendu que le Microcosme est un Univers, Univers parmi les Univers, l'Espace regroupant cet ensemble d'Univers dont la somme est une fonction propre a l'Absolu.

Nous voyons que les Contractions Dimensionnelles sont liées à l'évolution propre et graduelle de l'état de Vie au sein des Dimensions de l'Ordre Cosmique.

Cette évolution propre et graduelle se devant d'être qualitative pour permettre à L'état de Vie d'avancer dans le cadre de ce parcours, nous pouvons postuler que ces Contractions s'amenuisent au fur et à mesure de la réalisation du parcours des Dimensions de l'Ordre Cosmique par l'état de Vie, jusqu'à disparaître au cours des derniers cycles liés à la Dimension Espace.

Nous postulons qu'il existe, a existé, existera autant de Moment Temporel que de Microcosme dans l'Espace.

Si nous considérons, par contraction, la Terre comme une de ces Moment, la Vie en son sein y revêt une forme spécifique, propre aux conditions virtuelles de son milieu.

Donc, il ne convient pas de parler au sein de l'Espace d'anthropomorphisme, ni d'ethnocentrisme, les sites Temporels n'ayant pas nécessairement même milieu, la forme revêtue par le Substrat étant fonction de l'évolution propre et graduelle de l'état de Vie au sein de la Dimension Temporel, n'étant par nécessairement semblable à celle que connaît la Dimension Temporel Terrestre.

Par ailleurs le principe d'autonomie président à la Régénérescence de l'Absolu, dans le cadre de la conquête de l'Espace Matériel, il conviendra pour le Généré Terrestre d'éviter d'intervenir dans le cadre de Microcosme en gestation, inversement, suivant le degré d'évolution acquis par l'état de Vie au sein de tel ou tel Moment Temporel, le Généré Terrestre aura pouvoir d'intégrer telle ou telle composante de l'état de Vie, ou de s'intégrer à telle ou telle composante de l'état de Vie, dans le respect de l'Identité primordiale.

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