Voici le temple et
on s’y incline, voici la gerbe et on la
congratule, voici venir les mentors de ce
siècle. Qu’il nous soit ici permis de regarder
cet aréopage de biens intentionnés quand au
destin Humain. Représentants des Peuples ? Que
non ! Représentants dûment élus par les
Peuples ? Que non ! Autorités naturelles alors
me direz vous ? Que non ! Nous sommes en face
d’un cloaque barbare de couronnés et non
couronnés qui se tiennent les uns les autres par
la justification de leur vie de néant sur cette
terre, l’argent ! Que croyez vous donc ? Ici
bas, dans ce néant des ténèbres, il n’y a que la
matérialité la plus profonde qui tient ces
non-être là ! Non être, car ils n’ont aucunement
le nom d’être Humain, ne le croyez un seul
instant, lorsqu’ils décident pour les uns et
pour les autres de la famine, de la rupture
économique, du cours des matières premières,
lorsqu’ils décident tout simplement de laisser
crever de faim des Peuples entiers, de mettre au
chômage des masses entières d’ouvriers et
d’employés, pour le seul profit de leur
errance ! Ils sont là, roitelets de la barbarie
la plus immonde qu’ait connue l’Humanité, celle
de la médiocrité !
Ils s’entourent de
leurs festives langueurs, de ces apôtres de la
pourriture qui vagissent dans tous les
gouvernements, officie dans les antichambres des
pouvoirs autorisés, valets impérissables de la
sénescence et de l’absolutisme les plus
rigoureux. La cour est là, regardez là,
applaudissez des deux mains à l’outrage des
bourreaux qui vous confinent dans la bassesse,
vous autorisent dans la pauvreté et pire le
paupérisme intellectuel, vous narguent et vous
ignorent dans le cadre ouvert de leurs débats où
ne sont autorisés que les prélats de la
reptation la plus fétide ! Ils vous gouvernent,
le saviez vous, ils font et défont les
gouvernements à coup de publicité, à coups de
monnaie, cette monnaie qu’ils gèrent comme ils
le veulent, imbus de ce que leur classe
considère comme leur privilège, un privilège
répugnant qui vous rends serviles à souhaits
devant les miettes qu’ils vous dispensent, ces
miettes qu’ils dispensent avec une avarice sans
tâche, lâches qu’ils sont de penser une seul
instant que vous soyez en droit de vivre pour
mieux les servir, car s’ils pouvaient se passer
de votre cour d’esclaves consentants, ils se
passeraient de vous, et déjà commencent à s’en
passer en s’autorisant les plus vastes génocides
qui soient, commandités depuis belle lurette par
le Club de Rome dont les élucubrations dictent
la pensée de tous les tueurs nés de cette
planète, ceux dont on ne parle pas, ceux qui
vous vident de votre substance d’être Humain
pour mieux vous voir en catalepsie devant leurs
inepties.
Accroire vous
font-ils de leurs mesures exemplaires, de leur
créativité ? Mais de quelle créativité parle
t’on ici, de celle des conseils
d’administrations ? De celle des Ingénieurs et
Exécutants ? Bien entendu de celle de ces
accaparateurs de la richesse publique, de celles
des commentateurs de la sapience publique, de
celles des spéculateurs les plus éhontés que la
planète ait eu à connaître, ces suppôts de la
tyrannie, ayant achetés l’aristocratie en
faillite, les royautés en désuétude, par mariage
forcée, par le mariage de l’or avec ce qui était
encore grandeur qui aujourd’hui n’est plus que
répugnance au regard de l’Humain naturellement
constitué, une répugnance sans bornes et sans
limites qui se conditionne aujourd’hui sous le
feu d’une actualité bassement servile, voyant se
gaver de dividendes sur la sueur et le sang des
travailleurs et leurs devenir, ces fainéants
naturels qui se rengorgent de leur luxure et
s’apitoient sur leur sort en faisant payer aux
Peuples la dérision de leur infortune calculée,
ignoble décrépitude qui surgit comme un éclair
dans ce ciel jusque là voilé par les ténèbres
insatiables du pourrissement Humain dans lequel
se complaisent ces barbares assoiffés de sang !
N’en déplaise, il
faudra voir un jour ces tyrans retourner à la
terre qu’ils cultiveront, au lieu de rire avec
insolence de tout ce qu’ils constituent de
misère et de famine par ce monde ! La France a
connu une révolution qui devrait faire pâle
figure lorsque les Esprits auront enfin compris
ce qu’ils représentent pour ces errants de la
Vie ! Car enfin que représentent-ils ? Sinon des
esclaves à leur service, des serfs que l’on
trait à souhait, des vilains qui n’ont le droit
que de s’exprimer que par un malheureux bulletin
de vote qui lui-même se trouve floué par des
campagnes « politiques » inféodées à des
systèmes de pensée dont le devenir est toujours
celui de la mise en coupe réglée de l’Humanité
par une pensée unique, un « politiquement
correct » qui n’épargne en aucun cas la Vie,
mais bien au contraire lui substitue une mesure
de culpabilisation qui sous tend toute
destruction, destruction des Ethnies,
destruction des Régions, destruction des
Peuples, destruction des Nations, destruction
des Races, destruction de l’Humanité, au profit
d’une affliction voyant la domination des
prédateurs et l’abaissement spontanée des Etres
Humains, électeurs d’images, électeurs de
croyances dictées par une propagande éhontée,
électeurs appauvris par le langage du clinquant,
de ce clinquant qui se farde sous les hospices
d’un discours inintelligible que l’on prétend
« intellectuel » !
Qu’ils sont beaux
tous ces prétendants au service des prédateurs,
ils se confinent dans une parade où chacun
surtout n’essaie pas de nuire à la parole
d’autrui, tous liés par ce serment de la
dénature et de ses règnes, tous liés par ce
sacre du pourrissement des civilisations, des
histoires régionales et nationales, comme
internationales par ailleurs, tous en voie de
l’accomplissement de la mort et de ses
enfantements, cette stérilité qui marque de son
emprunte tous ces jouteurs du néant, avec leurs
sourires hypocrites, leurs langueurs et leurs
colères calculées, tous ces errants qui se
vendent corps et âme à la désintégration de
toutes valeurs, et qui, comble de l’ironie,
s’autorisent à faire croire qu’ils défendent des
valeurs, mais lesquelles ? Celles qui sont les
supports de l’économie de l’avilissement,
avilissement confluant les êtres Humains à
mendier leur pitance près de ces chevaliers
servants de la moisissure dominante, cette
moisissure qui s’estime l’élite, et qui n’est en
vérité que l’élite inverse, une élite de la
nuit, des ténèbres, une élite de la médiocrité
qui n’accepte dans les rangs de la politique
couronnée que sa propre image, image du
mensonge, image de la duperie, image de
l’ignorance, image de la servilité, image dont
la lecture insondable est de la bassesse la
candeur et l’ineffable vernis qui se promet de
promesse en promesse dans une litanie sans
failles qui, appris par cœur, n’a pour but que
la mise en coupe réglée de l’Humain en chaque
lieu, par ce temps !
La barbarie à
visage inhumain est là, vous l’aurez compris,
inhumain car incapable d’empathie, d’altruisme,
de don, ces valeurs suprêmes de l’Humain qu’elle
méconnaît, toute à son atrophie, cette atrophie
qui caractérise ses tenants et ses aboutissants
voués au culte de l’or, servants sans conditions
de leurs privilèges acquis par le sang et la
sueur des Etres Humains, ces esclaves nés,
asservis à leurs délires et la justification de
leurs délires, ères sans nom dont le nombre est
limité, je vous rassure, qui se gargarisent dans
l’étrange condition de leur volition, voyant ce
jour la dictature comme finalité de leurs
artefacts, une dictature qui chaque jour se
révèle, là, dans l’asservissement des Peuples
aux errances calculées pour métisser l’ensemble
de l’Humanité, ici dans l’appauvrissement
culturel permettant de dominer par la bassesse
et l’instinct, là dans l’acculturation totale
permettant d’initier la veulerie, la peur, ici
dans la surveillance étroite de chaque geste par
la vidéo surveillance, l’insinuation de la
terreur, là dans l’utilisation de tueurs fous
programmés qui massacrent des innocents plus
particulièrement dans les écoles afin
d’instiguer le dégoût des armes par les
populations et ainsi les reléguer à l’âge de
pierre afin de les dominer par la force, là dans
la paupérisation des armées des Peuples qui ce
jour deviennent des armées de prétoriens aux
ordres de politiques, eux-mêmes aux ordres de la
barbarie !
Nous y allons tout
droit, et chacun de s’en rendre compte dans son
subconscient, mais chacun de se taire tellement
larvaire devant la propagande de cette barbarie
édifiante, qui veut coupable chaque être Humain,
coupable de respirer, coupable de créer,
coupable de s’élever, la moisissure se servant
des valeurs qu’elle haï pour faire accroire au
respect, respect de l’autre, respect de la
nature, respect qui n’est que l’irrespect dans
toute sa folie et sa démesure, car unilatérale,
sans bilatéralité, condition de l’existence,
ainsi dans ce jeu cette écologie putride
politique, niant la réalité pour asseoir les
fondements de la barbarie la plus nuisible,
celle de l’être combattant l’être,
nucléarisation permettant le pur asservissement
de l’Humain par l’Humain, devenu lui-même
contrôleur de son propre asservissement, larve
parmi les larves qui ne conçoit plus la réalité
mais la fiction, la virtualité qu’on lui
assigne, pensée sublime, détraquée, puérile,
noctambule, face de ce soit disant terrorisme
permettant toutes les dénégations des identités,
la belle invention que voilà, permettant de
détruire des Peuples entiers, des Nations
entières, surtout si elles ont participés au
plus grand racket de l’histoire Humaine,
fomentée par l’ONU, je ne le rappellerai jamais
assez, l’opération pétrole contre nourriture,
cette infamie ayant permis à des états comme des
sociétés comme des particuliers de s’enrichir
sur le génocide programmé des enfants Irakiens,
comme actuellement ce génocide tout court des
enfants du Darfour qui sont nés Chrétiens et que
personne ne défendra !
La barbarie est
donc là, bien présente, ayant pour assistantes
de multiples sociétés de pensées, des loges
maçonniques ou assimilées, des associations, et
bien entendu des partis politiques. Pauvres
sociétés de pensées, pauvres loges maçonniques
et assimilées, pauvres associations, pauvres
partis politiques, tous phagocytés par cette
moisissure, ce venin de la putridité, voyant des
milliers d’êtres accroire en la valeur de leur
mission, alors qu’ils ne sont que les rouages du
pourrissement des civilisations qui avance,
imperturbable, revêtant tous les visages pour
mieux les contrôler, les destiner, les éradiquer
si nécessaire, les écarter, les assassiner, car
la moisissure n’est pas à cela prêt, elle aura
fait plus de morts que le nazisme et le
communisme réunis ! N’est-elle d’ailleurs pas
idéologiquement la digne fille de cette thèse et
antithèse, cette synthèse du nazisme et du
communisme ? Elle l’est dans tout ce que ces
idéologies ont pu déterminer de répugnant ! Elle
l’est dans tout ce que ces idéologies ont pu
faire montre de détermination dans la
destruction et de la pensée et de l’Humain, au
nom de cette abstraction couronnée que l’on
nomme aujourd’hui le profit ! Ne vous leurrez
vous êtes dans le règne de cette putridité, le
nazi communisme, qui au sein des gouvernements
rayonne avec cette particularité
particulièrement odieuse, de se draper dans les
voiles de la Démocratie !
Démocratie ?
Quelle démocratie, celle de l’errance, celle
destituant les Peuples, les Nations, au nom de
quoi ? De ce nouvel ordre mondial basé sur
l’esclavage, ordre inverse s’il en fut dont le
nom résonne comme celle des hordes sauvages
qu’il fallait combattre afin de survivre !
Hordes de barbares qui ce jour se cristallisent
afin de commettre leur forfait, la mise en place
d’une dictature sans nom, dans le creuset de
leur G8, de leur G20, de leur ONU totalement
pervertie, de leur FMI aux ordres qui ne donne
qu’avec parcimonie aux Peuples ayant besoin de
survivre que sous la seule condition qu’ils
acceptent la soumission à cet ordre
dictatorial ! Démocratie vous avez dit ! La
Démocratie se mérite, et on doit combattre pour
elle, un combat inlassable, qui permettra de
nettoyer à jamais les scories qui se sont, tels
des parasites, incrustées dans toutes les
Institutions, des plus simples aux plus
complexes, parasites qui ne savent jouer qu’une
seule partition, celle de leur inféodation aux
prédateurs, traîtres à leur Patrie, traîtres à
leurs Racines, traîtres à l’Humanité, serviles
maniaques dont il convient désormais de prendre
la mesure pour enfin nettoyer les écuries
d’Augias dans lesquelles leurs servants se
complaisent à souhait, dans leur bassesse comme
leur affligeante servilité, marais fétide qu’il
convient de reconquérir pour que renaisse la
Démocratie en toutes Institutions, qu’elles soit
discrètes, secrètes, ou apparentes, afin de les
nettoyer de cette moisissure qui les anéanti au
profit de la barbarie !
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