Prismatique
déconvenue, pour les uns, pour les autres, voici
le nouvel ordre mondial qui s’alimente de ses
verrues, de ses bubons, de ses contemplateurs,
de ses parasites en tout genre, économiques,
politiques, pour instaurer quoi ? L’ordre ? La
sécurité ? Le respect et l’entente entre les
Peuples ? Que non ! Bien au contraire, le
désordre, l’insécurité, le règne de la peur et
de la terreur accouplé à un terrorisme de bon
aloi qui renforce les défenses naturelles des
privilèges et de leurs cohortes de tueurs nés de
l’Humanité ! Car enfin où donc se situe
l’harmonie dans ce charivari de l’inconsistance,
de la désintégration, de la destruction ? Est-ce
cela que doivent supporter les Etres Humains,
l’irrespect de leur personne, l’irrespect de
leur Ethnie, de leur Peuple, de leur Race, de
leur Humanité ? Es ce cela que doivent
comprendre les êtres Humains, que demain ils ne
seront que des pions sur l’échiquier de la
prosternation au dieu du profit et de ses
pieuvres répugnantes et glauques, en acceptant
la désintégration de leur réalité, de leur
Histoire, de leur Grandeur, de leur Honneur, de
leur Nation ?
Et d’où vient
cette moisissure ardente qui convoite cette
destruction, la destruction de tout ce qui
façonne l’action individuée comme l’action
générée, la multiplicité des cultures, la
fascinante raison des sciences,
l’accomplissement des thèmes religieux ? D’où
vient donc cette force lamentable qui cherche à
enrayer la marche Humaine vers son avenir, ce
monde de l’Espace aux étoiles multipliées à
l’infini, ce monde qui ne pourra se gérer avec
cet écritoire du pourrissement que défendent les
tenanciers immondes de ce nouvel ordre mondial
qui sue la complicité, la duplicité, la
fausseté, l’allégeance au crime organisé envers
l’Humanité, en ses multiples enveloppes qui
telles des poupées gigognes s’emboîtent les unes
dans les autres avec ce seul but de rendre
esclave l’Humain, le rendre non-être, à l’image
de ceux qui en voudraient l’accomplissement sur
notre Terre, je dis bien notre Terre, et non
leur Terre, car elle ne leur appartient pas, et
seraient-ils détenteurs à un titre quelconque de
ses parcelles tant minières que naturelles qu’il
suffirait d’un chant pour renverser à jamais
cette condition de dépendance, ce chant qui
viendra inéluctablement devant la misère qui
s’accroît, le paupérisme qui s’accélère, la
famine qui émonde, la malnutrition qui dévore
ses enfants, toutes ces faces qui ne devraient
en aucun cas exister en cette année 2009 de
notre ère, mais qui persistent à cause de
quelques féaux privilégiés qui pérorent le
devenir pour conserver leurs privilèges
insultants !
Nous parlons déjà
de cette moisissure Humaine, qui a choisie
d’être non humaine pour faciliter son ascension,
ascension de la médiocrité qui ce jour parade
sans jamais se lasser ! La moisissure est là,
insinuant toutes faces des institutions,
couronnant sa faconde par l’abstraction et ses
devises. Elle n’est de la simple jalousie
autorisée par des illuminés mais bien aussi de
ces veules qui se complaisent de leurs orgies de
pouvoirs mendiants, ces domestiques de l’Or qui
maintenant consanguins dans leur agressivité
morbide dressent des chemins dans chaque
institution humaine pour fournir l’excellence de
leurs prérogatives guidées uniquement par
l’appât du gain, la sénescence de la vertu, la
proclamation du dévoiement, la loufoquerie de la
luxure, toutes faces que l’on retrouvait hier
encore dans les bordels de campagne, qui ce jour
est l’apanage de cette pseudo « grandeur » qui
ne se convie qu’à la lie de ses débats et ses
ébats. Pitoyables êtres sans noms, pitoyables
écumes du marais fétide qu’ils inspirent et dans
lequel ils se sentent des rois, des reines, des
prétendants, des monarques ! Cela prêterait à
rire si malheureusement ces êtres sans noms ne
devisaient par leurs marques bestiales la
condamnation de l’Humain à l’esclavage, et bien
pire à la mort, par des guerres outrancières,
des famines épouvantables, des pandémies
fabriquées de toutes pièces tel ce sida
multiforme qui leur ressemble tant !
La moisissure
désignée, elle n’est ici que privilège, le pire
reste à venir, la cohorte des larbins, tous ces
tapineurs du pouvoir, ces prostitués
caractéristiques, qui n’ont que l’inféodation à
la bouche, l’hypocrisie pour rempart, tenus en
laisse les uns les autres par leur pauvreté
mentale, incapable d’assumer leur devenir, sans
ces maîtres qui les gouvernent, les façonnent,
les commettent dans le pire, y compris le crime,
pour mieux les tenir, potentats de l’impuissance
qui sont nés pour servir, potentats de la
pestilence qui sont nés pour servir de liens
entre les Peuples et les prédateurs qui les, ne
croyons un seul instant qu’ils soient en odeur
de sainteté, méprisent ! Celles-ci et ceux là
sont les pires ! Des dictateurs en puissance,
les mandibules de la faim pour sillon, la
mâchoire raclant les parquets des ministères
pour obtenir qui un portefeuille, qui une
charge, qui un petit « pouvoir », et vous devez
le croire, ils se drapent dans une virginité à
toute épreuve, défendant des « valeurs », celles
de la destruction bien entendu, pour faire
accroire leur « valeur », sans jeux de mots,
donnant des leçons de morale à qui veut bien les
entendre, tous ces bobos et ces gogos qui ne
vivent que pour parasiter le réel, cette lie des
sociétés qui assoiffée de prébendes se révèlent
les piliers de la décrépitude la plus avancée !
Et nous voici dans
les combles et dans les fossés, et qu’y voyons
nous ! O superbe aréopage de la frénésie
complice ! Ici se tiennent tous les lèches culs
de la terre, les écrivaillons, les philosophes
du néant, les sociologues de la déréliction, les
écologistes de la prédation, les inventeurs de
la pourriture, les artistes de la
désintégration, les poètes de l’étron, tous les
fidéistes commissaires de l’acculturation la
plus profonde, n’ayant pour mission que de
complaire, complaire aux médias tenus en laisse,
complaire aux publics aveuglés par leurs
phasmes, complaire à la destruction des Nations,
des Peuples, des Races, de l’Humanité, pour le
seul plaisir de paraître ! Tout un monde
grouillant de vermine qui sue la bassesse,
l’idolâtrie, mais surtout la bêtise, cette
bêtise alliée à l’ignorance profonde, qui frappe
les esprits d’un sida multiforme, le sida
intellectuel, couche de la prédation mentale qui
lentement mais sûrement fait son chemin à la
fois dans la malversation, l’outrage, et la
perversion ! Regardez les, prébendiers de tous
les honneurs, - mais de quel honneur peut on
parler ? Lorsqu’on distribue des légions
d’honneur à ces délités de l’esprit ! Ont-ils
combattus sur un quelconque front pour mériter
cette médaille ? Oui, bien entendu, sur le front
de la destruction !- martingale de l’imaginaire
portée par la virtualité, pissotière généralisée
qui se veut maître à penser de nos générations
et de celles à venir, alors qu’elle n’est que le
vernis sous lequel se cache la pourriture
grouillante des vers de la défécation mentale !
Cette défécation
qui trouve ses mentors, ses « grands esprits »
de la fourberie, de la duplicité et du mensonge,
que tout un chacun se doit d’écouter
religieusement, afin de complaire, agenouillé de
préférence, le derrière offert ! Monde de truies
et de gorets endimanchés, encore que les pauvres
bêtes n’y peuvent rien, ainsi ne les aurais je
cité que pour l’image de cette bouillabaisse de
l’écoeurement qui tient lieu de respire culturel
à nos Peuples encouragés dans la bestialité par
ces immondices qui se pavanent et se
congratulent en faisant accroire qu’elles et ils
sont les fers de lance du savoir, des autorités
en la matière, des spécialistes, des
« experts » ! Mais qui donc guident ces mentors
du pourrissement ? Entrons donc maintenant dans
les cercles discrets où se façonne le monde en
son autorité, ces cercles qui hier encore avait
mesure d’être les remparts de cette perdition,
qui ce jour se trouvent totalement inféodés à la
bassesse qui les a insinué et dominé, ces
cercles de valeurs qui aujourd’hui ne défendent
plus que la boue et ses humiliations, ces
cercles qui sont investis par les vizirs des
prédateurs les plus ignobles que la Terre est
portée, avachis par leurs poids monétaire,
confluant à la grossesse et pire encore à
l’obésité mentale, ces caricatures humaines qui
n’ont plus de noms et qui n’inscrivent leur
devenir que dans la mise en esclavage des êtres
Humains afin de défendre leurs privilèges
établis sur et par le sang des êtres Humains !
Mais que s’est-il
passé pour en arriver là ! Conjonctures, la
vanité alliée à la cupidité, sont là pour
témoigner, et pour les uns en loge la cordonite,
l’émulation de la parousie du paraître, et pour
les autres le sentiment de la supériorité qui
les fait frémir et jouir, malgré leur intellect
désertifié, et pour les uns et pour les autres
un sentiment de puissance palliant à leur
impuissance naturelle les voyant réunis autour
des privilèges en se gargarisant de leur pseudo
pouvoir, un pouvoir de litanie, un pouvoir de
prosélyte, un pouvoir asphyxié par sa propre
bêtise, sa reptation, coordination de
l’appauvrissement de toutes valeurs humaines
conditionnant l’hérésie la plus profonde, celle
de l’insanité, de la fécondité de la
destruction, paravent à de plus amples et
lâches besognes convoitant l’avortement comme
règle l’euthanasie comme devenir, pour tous les
Peuples, pour toutes celles et ceux qui ne se
congratuleront pas dans le métissage le plus
abrupt, l’esclavagisme le plus ignoble, tâches
sans nombres qui s’évertuent et se propulsent
dans les domaines politiques, qui, obéissants,
bêtifiants, entonnent les « vertus » issues de
ces cercles séniles où malheureusement
s’engluent de multiples Etres Humains,
embrigadés dans des certitudes qui ne sont que
des culs de basses fosses où demain ils
dépériront, noyés par le venin des vipères dont
les chatoiements reptiliens font perdre et
conscience et surconscience pour n’advenir qu’un
inconscient collectif où se détruisent les plus
belles espérances, les plus fortes réalités, les
plus denses créativités, toutes formes devenant
informes en cette rupture du réel qu’incarnent
ces monuments mortifères !
Car ne nous
trompons pas, il en est de même pour les
Institutions Humaines discrètes, secrètes et
formelles, les nids de reptiles sont partout, à
l’encan, à la recherche de chaque création qui
pourrait contrarier le dessein de leur plan
atrophié, ce plan dessiné par l’injure et
l’invective envers l’Humanité, ce plan attisé
par les haines et jouet de toutes les duperie,
ce plan morbide qui actuellement se voudrait
finalisé alors que rien ne l’autorise à être
approuvé par qui que ce soit devant l’ignominie
dont il relève, cette ignominie économique,
cette ignominie tribale, cette ignominie
cannibale qu’il représente, l’ignominie de
l’esclavage couronné dont chacun devrait être
partie intégrante ? Non ! Ici cesse le leurre,
ici cesse le couronnement de l’atrophie, la Vie
dans son langage approprié sait taire la
fourberie qui l’accapare, la Vie dans son
serment évolutif sait tarir l’inconsistance,
cette pyramide aux pieds d’argile qui s’effondre
lentement mais sûrement, défendue encore par les
prétoriens d’une pavane défunte, cette pavane de
l’enchantement, de la magie de l’accroire, cette
stérilité inconséquente qui devra d’une manière
où d’une autre disparaître pour faire place à
l’Humain dans sa grandeur et son honneur,
l’Humain dont la destinée n’est pas celle de
l’esclavage mais de la Liberté, cette Liberté
enchaînée par ces ovipares impudents qui
aujourd’hui encore cherchent à en accaparer la
splendeur !
Et devant tout
cela que doit donc faire l’Humain ? Se taire et
accepter, devenir le ver qu’on attend de lui,
dans l’humiliation, l’injure perpétuelle, tant
de lui-même que de son Peuple, que de sa Race,
que de son Humanité ? Où bien au contraire
relever le défi de ce siècle qui est celui de
nettoyer ces écuries d’Augias qui sentent la
défécation, l’obésité monumentale de la
fourberie, de la duplicité, de la déliquescence,
de la reptation, de l’inféodation, de la
soumission ! Ah ! Me diras t’on mais cela n’est
guère possible de combattre cette folie ! Rendez
vous compte, tant d’armées aux pieds que sans
armes cela n’est guère possible, et lever des
bataillons de vers devenus de ces pauvres
Humains qui n’en portent plus que le nom,
comment faire ? A chaque problème existe une
solution, car en chaque problème se trouve la
solution. Et il ne suffit de croire que la
violence peut résoudre les problèmes, bien que
si rien n’est fait pour remédier à cet état de
fait décrypté, il est bien évident que l’hyper
violence viendra à bout du fléau qui porte ce
« nouvel ordre mondial », si tant nous pouvons
penser que la jeunesse de ce monde, se sachant
sans devenir, n’aura d’autres solutions que
d’imposer par la force une rébellion sans fin
qui mettra un terme à l’outrecuidance des
décérébrés qui pensent imposer leur dictature de
fer ! |