I PRÉAMBULE

J'accuse !


Il convient de prendre la mesure du déchaînement de ce flot ininterrompu d’actions concertées par les dirigeants des Nations ne menant l’Humain qu’au néant, à l’heure précise où s’envolent toutes les économies vers ce point de non retour de l’addiction à la folie de quelques privilégiés qui veulent conserver leur apparence de pouvoir, servis en cela par des politiques qui ne sont que leurs vassaux et en aucun cas les représentants des Peuples ! J’accuse ici la violence endémique de cette prosternation sans limite, de cet accaparement des ressources naturelles par quelques féaux de cette folie qui se veut maîtresse de ce monde, j’accuse ici les fourriers de ce nouvel ordre mondial qui est le cœur de cette folie outrancière narguant les Etres Humains comme jamais cela n’a été, faisant reculer l’intelligence humaine à l’échelle du singe, j’accuse cette dénature qui aujourd’hui encore, sur les ruines qu’elle a commis s’enhardie à détruire jusqu’aux sillons de la volition dans le cœur des Etres de ce temps, qui, couchés, en reptation, ne sont plus que l’ombre de ce qu’ils ont été, j’accuse la corruption, le pourrissement et la moisissure aux ordres de cet ordre noir, nazi communiste par essence, d’être l’instigateur de cette crise sans précédent qui devrait si les Peuples ne se réveillent pas instaurer cet ordre de fer auquel ils sont prétendants ! J’accuse tous les potentats et leurs ministres d’être la raison de cette ordonnance, tant leurs actes sont réponds de cette ignominie qui voit le devenir des Peuples assaillis par des dettes sans réponse, ces dettes les enfermant à tout jamais, s’ils ne décident de les obérer tous ensemble, dans une décadence putride dont l’europe de ce jour en ses institutions est le digne représentant, une europe sans lendemain vouée à la dictature la plus répugnante qui soit, celle de la médiocrité, celle du pourrissement dans tout ce qu’il a d’avilissant et de grotesque, une europe de vers assoiffés qui s’abreuvent du sang des Peuples mis en cercueils ! J’accuse irrémédiablement la sénilité des règnes qui se gargarisent de leur incongruité d’être à la source de cette dérive sans précédent, caste d’aristocrates déchus, de rois mécréants vendus à l’or dans tout ce qu’il a de parjure, de chevaliers servants sans foi ni loi sinon celles de leur petit profit, suppôts de toutes les tyrannies, instigateurs de toutes les répugnances qui s’accomplissent, qui en loges qu’elles soient maçonniques ou autres, qui en partis, qui en associations, qui en sociétés discrètes, qui en sociétés secrètes, autant de mains d’armées mafieuses qui se drapent dans les haillons de la démocratie qu’ils ont floués, qu’ils ont destitués, hères minables qui ne trônent que sur l’invariabilité de l’inféodation, tribus de la malversation, de l’affabulation, nains de l’intrigue et de la paresse mentale, troupes de hyènes réclamant leur pitance dans l’immondice et l’orgiaque bestiaire de leur raison dominante, l’accomplissement de cet ordre virtuel qui devrait être leur règne sur la terre ! J’accuse et ce n’est pas un vain mot, tous ces prêtres de l’ignominie de vouloir instaurer une dictature sans nom, un camp de concentration sur cette terre où ils devraient parader jusqu’à la lie, tels qu’ils le font actuellement sur le sang et la misère, tels qu’ils le font ce jour en s’entraidant dans l’ignominie, alors que le paupérisme s’accélère et que leurs exactions dépassent tout ce qui a été permis sur cette planète, une pourriture nauséeuse, s’auto satisfaisant sur le dos des Peuples, une pourriture sans commune mesure qui n’éblouie que les aveugles, ou pire encore, sinon les dupes, les larves asservies qui sucent les miettes qui tombent des tables des décérébrés inhumains qui se veulent garant du devenir Humain ! J’accuse ces tenanciers d’être à l’origine des arts de la débilité que nous subissons chaque jour, cet art de la bassesse qui fructifie à outrance dans leurs médias qui ne sont que parures de leurs méfaits, de leurs nuisances, d’être à l’origine de cette philosophie du néant, où paradent l’inutilité en ses caprices, la bêtise en sa renommée, la lâcheté en sa putridité, d’être à l’origine de ces sciences sans conscience, sans devenir, ruines de la science dans ce qu’elle a de formelle, ruines fumeuses où le politique s’octroie, tel en cette écologie morbide qui n’est que le reflet de la pauvreté intellectuelle de celles et de ceux qui s’enchantent en son fruit de mort, d’être à l’origine de toute destruction intellectuelle, historique, pour ne faire régner que le noir néant de l’inconscience, de cette morale de la pourriture qui doit briller afin de complaire à l’ignorance et sa servilité ! J’accuse, ce pourrissoir infernal d’être à l’origine de la destruction des Nations, des Peuples, des Ethnies, des Races, de l’Humanité, qu’il veut uni dans un chant d’agonie pour mieux maîtriser les racines et les destituer au profit d’un esclavage sans nom, l’esclavage du non humain sur l’humain ! J’accuse de collusion tous ces serviteurs du néant, ces meurtriers en puissance de l’intelligence Humaine, ces tueurs nés de la conscience ! J’accuse leurs autorités, leurs sempiternelles routes sombres dévotes de pluralités de maniaques, d’être à l’origine de cette destruction systématique à laquelle nous assistons, et je me dresse contre leur infamie qui semble inamovible, alors que contre toute apparence, elle peut être destituée du jour au lendemain si les Peuples se réveillent des limbes dressées devant leurs yeux, ces limbes enrichies à souhaits par ces négriers en puissance, qui devront rendre un jour des comptes à l’Humanité entière, en ses existants comme en ses racines !


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