VIII ÉTAT DES LIEUX

Reprenons en douceur, car je vois qu’il y en a qui n’ont toujours pas compris, ce qui est parfaitement normal compte tenu de la chape de plomb qui pèse sur les cultures. Prenons donc la place de ce vent porteur. Nous sommes donc ce vent porteur qui doit asseoir sa dictature totale sur ce petit monde et bien entendu cette Humanité qui doit être à notre service exclusif comme unité économique uniquement. Parenthèse, il convient de bien comprendre que le temps n’est pas un vecteur dans cette prise de pouvoir mondial. Nous avons insinué tous les pouvoirs par l’intermédiaire de notre monnaie, de l’usure, notre Loi. Nous avons créé les conditions de guerres qui permettent un endettement considérable des Nations qui désormais nous mangent dans la main pour ne pas devenir ruine. Nous avons détruit les trônes qui ne voulaient pas être à notre service et phagocytés les trônes qui nous servent, nous avons institutionnalisé notre référence, le matérialisme sur chaque face de la planète que nous exploitons à souhait, mais restent encore les Peuples qu’il faut conditionner pour les réduire à l’esclavage.

À ce titre rien que de très facile, il nous a suffi de prendre en main tous les moyens de la raison, la presse, l’édition, ce jour le cinéma, la télévision, la radio, les moyens de diffusion artistiques, galeries, espaces scéniques etc. Et pour initier les conditions de l’acceptation des Peuples à notre autorité, nous avons mis en exergue des idées virtuelles permettant de façonner les intelligences, l’accroire étant d’une facilité congénitale avec le défaut de culture. En premier lieu nous avons commis politiquement le socialisme et le communisme qui nous permettent une exploitation générale, en second lieu nous avons inventé une psychologie réductrice de l’Etre Humain à ses simples besoins matériels, en troisième lieu nous avons façonné une anthropologie anthropomorphisme permettant de faire accroire en une unité quelconque des Etres-Humains, sans considération de leur réalité Humaine, de leurs ramifications, soit leurs Races, leurs Ethnies, et bien entendu culturellement nous avons œuvré afin de détruire dans leur esprit la qualification de Peuple, et ce principalement en détruisant leur Histoire, car ces Peuples doivent faire place à l’individu abstrait que nous pourrons exploiter indéfiniment.

Vous commencez à comprendre mieux ? Oui, donc, passons les périodes intermédiaires de ces deux conflits mondiaux qui ont été à notre service, passons sur la génération des camps de concentration qui masquent les goulags avec leur centaine de millions de morts et qui n’ont été que les prolégomènes de ce que nous allons instaurer d’une manière authentique sur toutes surfaces de cette terre, passons donc sur les centaines de millions de morts dont nous sommes les auteurs, morts pour avoir pensé, morts pour avoir respecté les valeurs de la tradition, morts car ne complaisant pas à nos dires, passons donc sur la dramaturgie qui nous était nécessaire afin d’enfanter le maître mot de notre discours conditionnel, la culpabilisation de l’Etre-Humain, une culpabilisation infinie qui nous permet d’en gérer le devenir, si tant le syndrome que l’on appelle de Stockholm aujourd’hui étant un principe fabuleux que le Pavlovisme nous permet de mettre en valeur et de porter à son paroxysme.

En ces élytres du passé notre asservissement ne peut désormais être total que si nous réunissons les conditions suivantes : crainte, désir, peur, terreur, et bien entendu, ce qui est acquis, culpabilisation. Nous devons donc créer des conditions particulièrement houleuses sur toutes les surfaces de cette terre, afin que les Peuples se dissocient de leurs meneurs et en appellent à notre raison pour les libérer de cette houle, et nous acclamer en libérateur, mais pour cela faut-il accentuer toutes les dérives qui soient afin que le sentiment de mal-être devienne commune mesure à l’ensemble des Peuples. Pour cela nous devons générer une acculturation telle que plus aucun esprit ne fasse allusion à une quelconque tradition, à un quelconque sens de l’honneur, à un quelconque désir d’évoluer, de progresser, et condition sine qua non donc mettre en œuvre une propagande totale sur nos vecteurs de pensées, les droits de l’« homme » (de quel homme parlons-nous ? Certainement pas de l’Etre-Humain mais bien de l’esclave né !), l’inexistence des Races, des Ethnies et conditionnellement des Peuples, l’inexistence de l’Histoire qui doit être réécrite, la déperdition des racines, l’appauvrissement des cultures, le noyage des religions par apport de multiples religions et plus particulièrement les religions de la soumission, la désintégration de l’Etre Humain qui ne doit plus se considérer que comme un sexe, et ne doit plus se considérer comme couple mais comme une abstraction, le viol des Peuples par métissage forcé et légiféré. Car pour gouverner, Il nous faut détruire tout comportement Humain, au sens strict du terme, qui doit désormais se considérer comme un animal servile, à notre profit exclusif bien entendu.

Pour se faire, il convient que nous prenions en mains toutes les institutions internationales, quelles qu’elles soient, et en créer de nouvelles afin de faire valoir notre domesticité. À commencer par cette organisation des Nations Unies, ce fonds monétaire international, cette organisation mondiale du commerce, ainsi bien entendu que cette organisation mondiale de la santé, et tutti quanti. Convaincre et vaincre doivent être notre déterminisme en chaque ramification existante. Et pour celles et ceux qui veulent nous combattre nous auront choix de les ignorer où bien de les détruire, notre puissance monétaire nous permettant, après qu’avoir infléchi les lois de régulation la tenant enchaînée, de déjà faire ce qu’il nous plaît à faire sur cette planète qui désormais est en voie de notre appartenance. Et n’est ce pas déjà le cas dans le cœur de réunions que nous diligentons où se précipitent tous les féaux de notre condition, sublimés d’avoir été invités à leur contrition, auxquels nous donnons les ordres qui se doivent et qu’ils se doivent de suivre scrupuleusement, faute de quoi leur est enlevé ce petit pouvoir que nous leur laissons encore, braves esclaves dont nous nous débarrasserons le moment venu lorsqu’ils deviendront trop encombrants.

Ne soyons maintenant plus ce vent porteur de cette histoire qui doit tout de même vous sauter aux yeux, mais de simples Etres-Humains regardants, tels des Aigles, le champ d’action de ce coup d’état en marche. Que voyons-nous ? Ni plus ni moins que la réalisation de cette voie inverse à travers ce petit monde, une unification dantesque des moyens de production au mépris de l’esprit créatif entrepreneurial, l’utilisation d’une main-d’œuvre sous payée à travers le monde, la délocalisation de tous les moyens de production vers des centres de profits où l’Humain est considéré comme monnaie de singe. Et s’il n’y avait que cela ! Une atrophie intellectuelle sans limite, où se désignent à grands renforts de médias les propagandistes d’un mondialisme délétère, portant l’insuffisance à la suffisance, dans tous les domaines où l’esprit trouve encore place, détrônant le moindre principe des valeurs pour le remplacer par la bêtise, la débilité, l’invariance de l’atonie, à l’image de leurs porteurs, tout un monde de vanité que la vanité sublime dans la congénitale distorsion du réel, cette virtualité sur laquelle ce monde s’instaure.

Tandis que se mènent d’autres fronts des plus virulents, attisant la haine pour en dissoudre la perception, en faire accroire l’irradiation alors qu’ils ne sont que manipulation, allant du terrorisme et de son fameux réseau aux mises en traque d’autres pseudos réseaux discursifs, talismans d’un accroire putride trouvant ses libations dans le mensonge et la propagande la plus débile que l’on ait pu inventer de par ce monde, une propagande maladive, craintive, créant ses propres Gestapo et ses propres Tcheka pour s’auto protéger de la vérité qui parfois surgit et réduit à néant l’agreement de la purulence qui se voudrait règne. Les négationnistes de l’Histoire Humaine comme de la réalité Humaine sont aux commandes de cette prostration de l’esprit, acculturant, désintégrant, concassant, où tentant de le faire, car la réalité ne se laisse impressionner par ces fétus de paille qui ne sont que poussière de l’Histoire Humaine et retourneront irrémédiablement à la poussière. Les Etats comme les Nations sont prouesses de ces carnassiers du vivant, de ces tueurs nés des cultures, qui alliés au terrorisme intellectuel menant les enfants à l’illettrisme, l’incapacité de réflexion, préparent le terreau de l’esclavage le plus bestial que la terre ait connu.

Un esclavage composé, métissé, raciste par excellence, car reniant les Races, car reniant les Ethnies et les Peuples, reniant la réalité bio geo historique de chaque élément de la charpente Humaine, reniant toute culture pour la culture de l’innommable, de la stérilité, de l’infécondité, de l’étronisme institutionnalisé conditionné par l’apologie de la difformité, de l’exsangue, de l’incapacité, voyant la créativité là où elle n’existe pas, dans ce marais fétide de l’ignorance où la vocifération est œuvre, où les chiures de mouches sont des œuvres d’art, où la littérature n’est plus que pantomime de pantins articulés par le soulagement fécal et urinaire, prose de larbins assoiffés de prébendes, où le cinéma n’est plus que bestialité encensant le crime et le déshonneur que l’on présente comme chef-d’œuvre. Ici se tient le lieu de la prostitution de l’Esprit, de la contrebande de la pensée, et y sont remerciés par tout le déshonneur ambiant les opiacés de la destruction, les pédophiles et les criminels de la plume, ces pseudo-philosophes du mondialisme errant, tous ces avatars de la pourriture qui font œuvre pour cet esclavagisme qui se voudrait grand prêtre de ce monde !

Pauvres fronts nantis et décatis qui font rire toute personne censée, pauvres fronts sans autres ambitions que la destruction qui se voudraient phares de l’Humanité alors qu’ils en sont la dérive ! Car à trop vouloir, on ne peut plus se cacher ! Et c’est là qu’intervient la réalité, devant cette provocation, ce malthusianisme de la pensée, ce génocide de l’Esprit, que tout un chacun constate dans les moindres reflets de cette portée qui se veut condition de notre avenir, ainsi pour désigner les maîtres à penser et les maîtres à danser qui d’ailleurs ne se cachent plus tellement ils s’imaginent déjà les maîtres de ce monde, agissant comme tels, d’une manière éhontée qui ne peut qu’écœurer tous les Peuples devant leur outrance, leur démesure, mais surtout leur incapacité, leur incapacité créative, leur incapacité à élever l’Etre-Humain, leur incapacité à développer les capacités de l’Humanité, si tellement confinés dans leurs appâts du gain qu’ils en ont oublié l’intelligence de gouverner, et voilà ce que nous devrions les uns les autres admirer, cette oligarchie qui voudrait étendre son pouvoir sur toute la surface de ce monde qui ne leur appartient pas plus et pas moins qu’aux autres Etres-Humains !


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