IX CONCLUSION
Dans la Voie
Ainsi La Voie en ses coordonnées, naviguant les vastes sphères, de l’adage le multiple pour horizon afin de parfaire le dessein de l’infini, de la grâce, et de la beauté, la Vie dans ses arcanes majeures qui vibrent chaque face des ascensions temporelles, des écumes des Espaces, et se fondent en l’Absolu pour en régénérer la tonalité, architectonie sans failles, gravitant l’évolution, l’involution, les sens éphémères, l’unité des contraires, la splendeur des incarnations et dans la volition suprême le couronnement de la détermination, en ses faces en nombre sur tous les flux et les reflux des temps qui s’inscrivent comme pétales des armoiries de ces floralies vives et magnifiées qui tressent des oriflammes par toutes phases vivantes, dans une symphonie de couleur qui brille de la Lumière en majesté, Œuvre regardant le Jeu souverain s’épanouir pour de ses cristallisations initier ce feu ardent composé où se voit la rencontre fantastique de la Transcendance et de l’Immanence, tremplin d’azur vers l’azur, tremplin de l’éternité vers l’éternité,
Ainsi dans la pluviosité, comme dans l’ardeur solaire, ainsi dans la matérialité comme la spiritualité les plus profondes, des souffles se dressent pour embraser le dessein de ce destin unique qu’est celui des Substrats par toutes générations, navires gréés hâlant les mondes pour en deviser les essors, en correspondre la marche, en adoucir les peines, en délibérer les étreintes et les sorts, dans ce Jeu souverain dont les cycles sont parcours de l’intensité évolutive, voyant disparaître des chants dans l’involution et d’autres se magnifier dans l’évolution, et d’autres encore se dissoudre dans le statisme, quelque soit le lieu, quelque soit le temps, toujours en veille afin d’officier la plénitude qui se doit pour voir s’épanouir la Vie en ses serments, ses devises et ses allégories, ainsi dans le cœur du multiple qui veille son Eternité,
Ainsi dans le sens du partage et le sens du don, tels ces multiples, se tient debout, dans ce Jeu, malgré les bourrasques, les tempêtes, les déchirements, les contraintes, les heurs et malheurs déchaînés par des pouvoirs hérétiques, la destruction et la guerre, le Chœur de l’Ordre Templier, qui a été, est, et restera présent dans l’immortalité de la Voie dont il a fait choix de sa Voie, image immuable de l’Occident lavé du frisson de la haine, de la forfaiture et du parjure, image en Jeu de ce plus vaste Jeu qui dérive de la Voie, le Jeu de l’Evolution, ici en ce lieu, de l’Evolution Humaine et de sa Parousie.