II NANISME POLITIQUE

A l’heure où nous nous apprêtons à envoyer des Etres humains sur Mars, à l’heure ou les progrès scientifiques nous ont permis de juguler un certain nombre de pandémies, à l’heure où la salubrité devient renforcement de la viduité, à l’heure où la reconnaissance des cultures devient un formidable atout pour le développement individuel, à l’heure où tout est possible, nous nous heurtons à un écueil particulièrement contraignant, qui tient du virus, qui tient du sida intellectuel, le nanisme politique !

Ce nanisme multiforme trouve son éloquence dans le pire qui a été créé par l’Etre Humain, deux segments d’une invariance mortelle par essence, le National socialisme et le Communisme. Thèse, Antithèse=Synthèse, voici ce qui se profile sur l’horizon Humain, une société mondialiste bâtie sur le néant et les abstractions, sur la folie multidimensionnelle de l’expression de l’autarcie et de l’esclavagisme associés, où gouverneront ces psychopathes de la pensée, les scorpions et leurs associés, frelons en tout genre, qui n’ont de souche que de lamentables hérésies et perversions en tout genre qui les guident dans ce nid infect où le pouvoir est synonyme de mort et en aucun cas de vie.

Notre propos ici n’est pas de dénoncer ce qui l’a été de multiples fois dans le cadre du portail et forum présentés par http://universality.info/forum et http://universality.info/mambo mais bien d’illustrer le cancer que représente le mondialisme en exaction à la fois pour la Liberté et à la fois pour notre Nation qui est devenue le siège de cette prolifération contre laquelle semble t’il rien ne semble pouvoir se faire, tant la lâcheté prime dans le cœur des Etres Humains qui n’ont plus rien de semblable avec leurs ancêtres qui savaient se rebeller contre l’anéantissement de leur pouvoir de Vie.

Quelques repères toutefois sont nécessaires au lecteur novice afin qu’il comprenne les grandes lignes de ce coup d’état subversif et terroriste que l’on nomme le mondialisme, sur la Liberté, la Liberté individuelle, la Liberté des Peuples à disposer d’eux-mêmes, la Liberté Humaine dans son essence et ses modalités d’applications. En préambule, il n’est pas question ici de théorie du complot, qui ne fait qu’arranger les illuminés et leurs prétentions.

L’Etre Humain est un conquérant, où qu’il se situe géographiquement. Porteur de cette conquête, l’idée d’Empire est son postulat de base et son expression majeure. Autour de cette idée force, les Peuples se sont constitués sous l’égide, non pas de maîtres à penser, mais de forces conjointes qui ont élues leurs représentants fonctionnels, en Occident, les Rois qui ont créés toute légitimité à la fois dans la présence et l’appartenance. Ces légitimités ou Etats ne sont pas issues de velléités mais d’un brassage sans pitié, trouvant ses termes en Occident dans la chute de l’Empire Romain très longtemps après les cycles des invasions multiples des souches Nordiques essaimant jusqu’en Inde et en Perse afin d’y bâtir de multiples civilisations qui feront souches pour la plupart.

Parcellisation des terres, étendues des conquêtes, revendications et droits sur le domaine de ces terres et de ces conquêtes ont été le panache de ce que l’on nomme le Moyen Age, qui fut un Age florissant et non un Age amer comme le compte l’histoire de la pensée unique. L’idée d’Empire à cette époque est toujours bien présente et trouve ses légitimes porteurs dans l’ascension notamment de Charlemagne, et de Frédéric II de Hohenstaufen, le plus brillant empereur de cette époque, qui en germe traçait les routes de l’Idéal universaliste par delà les mythes et les croyances exacerbés par les trois religions dont il culminait les principes et effaçait les scories. Nidation et creuset Civilisateur, se rencontraient sans s’être jamais perdus en son lieu l’Orient et l’Occident, faste et pépinière d’une pensée novatrice redécouvrant la Grèce, et ses trésors initiant l’idée Républicaine dans le devenir des Etres Humains, non la République élective, mais la République de la Capacité.

Afin de maintenir ses liens indissociables autour de cet idéal se créaient de multiples sociétés de pensées, qui sous la couverture de la Religion, ou franchement Religieux, déjà témoignaient de la densité Impériale par toutes les terres de l’Occident, creuset d’une chevalerie antagoniste, d’un côté les Chevaliers du Temple et les Chevaliers Teutoniques, de l’autre, vassaux de l’Eglise dégénérée de l’époque, les Chevaliers de Malte. Les chevaliers du temple liquéfiés par un règne sans lendemain qui n’avait d’autre préoccupation que l’appât du gain, aidé en cela par une église ambitieuse qui ne voyait que rébellion dans cette institution, durent se creuser un chemin en deçà du monde du paraître afin de survivre et prospérer, leurs biens étant légués par une papauté primitive aux Chevaliers de Malte, plus précisément Chevaliers de l’Ordre Noir.

Siècles de suites en suites qui ne se ressemblent pas, l’idée d’Empire, étiolée en Occident, une dernière fois perçue sous Charles Quint, lentement prenait sa distance dans la multiplication des sociétés discrètes qui parrainaient un avenir et dont les représentants étaient proche du pouvoir discrétionnaire de royautés qui ne recherchaient dès la Renaissance plus qu’une situation de confort et non de conquête, à part celle nées des aspirations concrètes d’une économie de luxe et de parade, ayant permis à la fois la « découverte » de l’Amérique ( cette dernière le fût par un Viking) ; la conquête de l’Amérique du Sud où furent découvertes certes des civilisations à l’intellect poussé ( Maya, Toltèques, etc) mais dont le socle reposait uniquement sur la destruction de la Vie d’autrui au regard des cycles solaires ; la découverte des Empires d’Orient et de leurs splendeurs, objets de toutes convoitises.

A ce stade l’idée d’empire n’est plus cette idée novatrice qui a façonné le monde Antique, qu’il suffise de penser à l’Egypte, à la Grèce, et notamment à Alexandre, à la Rome éternelle, l’idée est devenue économique, toutefois gardons nous bien d’en décimer à cette époque la réalité dans les sociétés de pensées qui luttent entre elles désormais pour imposer leur volonté, dans des loges d’officiers, ici et là de France comme d’Angleterre, d’Ecosse, lieux privilégiés qui permettent de maintenir cet idéal comme une promesse par delà les accomplissements qui se font et se défont au cours des tsunamis politiques nés de la rencontre de l’Islam et de l’occident, deux empires qui s’affrontent sans se réaliser, et des confrontations entre royautés inscrites et de principes.

Parcellisation d’apparence, les états se créent et confluent une diversité remarquable dans lesquels s’établissent les hauts faits de l’esprit qui engendrent les orientations remarquables des mathématiques, de la philosophie, de l’astronomie, culture en marche dans les sillons de l’Art le plus admirable des bâtisseurs et créateurs de cette épopée Occidentale inimitable et inimitée ce jour, qui devient le creuset de cette Civilisation agencée en ses principes et ses orientations, novation d’une adresse inexpugnable, celle du partage des connaissances, de la confrontation des connaissances, de l’enrichissement des connaissances, par delà les frontières des pays qui ne sont là que pour parfaire l’équilibre harmonieux de l’implantation Humaine en ses fondements et ses pratiques souveraines.

L’Empire intellectuel, s’il n’a été institué déjà existe, en ses prémisses d’une ardeur jamais renouvelée, confluant la rhétorique aux miasmatiques errances des sectaires en tout genre qui cherchent à figer son avance, sectarisme des religions qui ne concèdent leur universalisme à aucune faction sinon la leur qui voit encore la terre plate et les énergies sans fonds confluer vers une rédemption qui ne peut s’acclimater que sous les hospices de la génuflexion et de ses morbides accointances. On brûle, on terrifie, et pour le Nom de Jésus, et pour le Nom de Mahomet, on torture, on invective, on apostasie, on détruit, on martyrise. Rien n’y fait l’élan Humain en sa convenance, soit qu’il soit discret, soit qu’il soit apparent, avance, impérial, car nécessité absolu que rien ne peut briser, ni le fer, ni la cendre, ni la boue, ni l’humiliation, ni les ténèbres !

Les Nations lentement se forgent, s’épanouissent, se guerroient, toujours se remettent et se coordonnent, car légitimes en leur fonction comme en leur déploiement, les Rois passent, les gouvernements s’installent, se dépossèdent, se caractérisent, se mutilent, la Nation existe, noble participe de l’existant Humain qui le concrétise et l’ennoblie. De l’Autre côté de l’Atlantique, novation, les colons d’un pays se rebellent contre l’autarcie d’un Empire qui ne connaît que la corde, le mépris, la haine de ce qui n’est pas lui, cet Empire Britannique dont la morgue a fait des ravages dans l’Humanité, cet Empire ce jour destitué par une force intellectuelle et souterraine, constructive, maçonnique, qui a su toujours se garder de la prévarication et de ses ordonnances, un ordre noble s’il en fut qui donna au monde sa première constitution remarquable, la constitution des Etats-Unis.

Ici se tient le lieu de toutes les grandes conséquences que subira notre monde, ici et en ce lieu, participe d’une émotion populaire, gravitant l’accent d’une perfection qui déjà se ternie sous les hospices de la folie atrophiée d’un homme qui rêva pour ce monde un carcan de fer, Weishaup, fondateur des Illuminés de Bavière, n’ayant d’autres buts que la destruction des Nations et de leurs gouvernements, pour instituer un ordre mondial implacable gouverné par des « sages », qui lentement par insinuation commença à pervertir tous les ordres maçonniques afin de les acculturer et leur donner la volition d’un pouvoir que rien ne devait contrarier.

Pâle copie, possédée de l’esprit des illuminés, se tient ici la révolution Française, un hymne de sang se noyant dans son propre sang, créée dans des conditions apocalyptiques, déjà en germe de l’immoralité la plus façonnée, la plus œuvrée et la plus délirante comme la plus morbide, une synthèse de la tuerie, de l’ignominie et de la bassesse la plus cruelle et la plus dévoyée, sanguinaire à souhait, horreur absolue qui ligua l’Europe contre ses bouleversements, et dont l’Europe ne se défit, car déjà insinuée par les ferments activistes de ces Illuminés broyant tout sur leur passage, tout ? non, pas tout, car les Ordres persistèrent et survécurent à cette tentative de coup d’état dont les alliances multiples et téméraires, notamment de l’Ordre Noir, sous le règne providentiel de Napoléon, furent dissoutes.

Napoléon, fulgurance du nom Impérial devant cette monstruosité accouchée par ces êtres atrophiés qui défendent le principe de leur autarcie d’illuminé, une étoile dans ce firmament de cendre, descendant sur l’outrage afin d’en tarir la source, relevant ce défi de l’Empire universel accouplé au droit des Peuples, au droit des Nations pour transfigurer cette Europe qui sera le temps d’une seconde universaliste, un rempart aux nébuleuses conditionnées qui sous le manteau de l’économie dressent leurs tentacules afin d’en tarir la beauté et la nuptialité, s’octroyant ce nom qu’ils obèrent de sa réalité transcendante, les Olympiens, marque de leur velléité et de leur accouplement aux rimes de ces temps voyant la royauté déchue se vendant au caprice monétaire pour étayer la formidable errance qui allait suivre cet éclat représenté par l’Empire, si conté, déjà broyé par leurs sphères d’influence qui ne cesseront de fomenter l’accomplissement de sa déshérence jusqu’à ce temps présent.

Pauvre histoire de ces temps d’après l’Empire qui ne voit que convoyage de l’insipidité morbide des confluents de l’économie et de ses aberrations les plus monstrueuses, jusqu’aux créations dantesques qui permettent d’asservir et circonvenir, de déployer et anémier, toutes phases contemporaines où quelques sources de lumière jaillissent encore, cet Empire Français par exemple, qui malgré l’aura matérialiste dont il s’entoure est affluent de toutes les idées novatrices, créatrices de ces valeurs qui sont encore considérées, non les valeurs d’une révolution larvaire et famélique qui s’abreuve du sang de ses enfants, mais les valeurs Humaines qui agissent et permettent de réagir face à un destin convoité et repu de sa propre matérialisation bestiale.

Pauvre histoire déjà dans les mains de cette pieuvre hautaine et méprisante qui n’a de souci que de s’emparer de l’autorité et faillir toutes les nations afin qu’en servages elles deviennent le lit de sa fortune et de ses menstrues, insidieuse dénomination de l’outrage, voyant des alliances hier rompues se servir les unes des autres pour accomplir ce forfait magistral que fut la première guerre mondiale, préparée, agie de concert, afin de détruire la flamboyance des Nations en conflits, la jeunesse Européenne, qui exsangue au lendemain de cette tempête se voyait désormais conditionnée dans l’accomplissement servile d’un choix édifié : communisme ou capitalisme. Création de toute pièce dont les agents vertueux, soumis et contrôlés, agissent déployés jusqu’à l’instauration tant du National Socialisme que du Communisme, aidés les uns et les autres par ce Capitalisme sauvage, fourrier de toutes les hérésies et de tous les génocides imaginables et inimaginables, vendant des canons aux uns et aux autres, aidant les uns les autres jusqu’à l’agonie la plus perverse, cette deuxième guerre mondiale qui les a enrichi d’une manière démesurée et incontrôlable et a permis l’instauration de cette organisation des Nations Unis, la Société des Nations ne pouvant complaire, organisation inféodée, et participe de toute les trivialités que connaît ce monde depuis son instauration.

Le National Socialisme ayant rempli son office, celui obligeant de ne plus voir aucune différence entre chaque Etre Humain, le Communisme ayant rempli son office, celui permettant de détruire à la fois l’Empire de Russie et l’Empire du milieu, leur destruction s’est réalisé sans aucun problème sous les hospices de la « démocratie », pauvre démocratie délayée à toutes les modes, démocratie usurpée dont le nom nous est craché du matin au soir par les médias assoiffés de prébendes et de notoriété, démocratie laminée qui ne subsiste plus qu’en terme équivoque devant l’envolée de l’Ordre Noir qui régit désormais nos modèles de pensées, toutes dirigées vers le néant, la désintégration, incantés par les « sommités » que sont les tartuffes honorés : Darwin, Freud, Einstein, antérieurement Marx, pauvres idoles d’une science reptilienne se contentant tel Ouroboros, de se mordre la queue pour se mettre en valeur, « sommités » bien entendu incontestables, n’en doutez pas !

Le rire est le propre de l’homme, heureusement ! Et ce jour me direz vous, et bien parlons d’une bulle et non d’un pyramide, car la pyramide n’est pas de la typologie théocratique financière qui régit nos us et coutumes, elle en est loin de là, puisqu’elle ne se commet que sur deux faces, elle et l’Humanité, en fait devrais je dire elle et la non-humanité, car cette humanité est esclave et c’est tout. A sa tête, les géants de l’économie, côtoyant les opportunistes politiques, les penseurs de tout acabit de la pensée unique en marche, réunissant un ensemble groupé de sociétés de pensées représentées pour les plus importantes, par le CFR, le Bilderberg, la Trilatérale, les Instituts de relations internationales, un ensemble groupé pour l’Economie, Banques Centrales, Fonds monétaire International, un ensemble de services spécialisés dédiés à la sauvegarde des précédents, reliant services secrets, Armées de métiers, bien entendu, un leurre, l’ONU, organisation des « Nations » unies, dévoué et aux ordres des précédents, et dans ce malstrom, un groupe composé d’hommes politiques, des nains totalement inféodés, serviteurs zélés de cet Ordre Noir qui a pris le pouvoir des sociétés précitées, qui sont les mains de ces bâtisseurs de cathédrale dont les fondements trouvent leur origine dans l’asservissement.




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