IV MARKETING POLITIQUE

Proposition : y a-t-il un remède pour la France qui lui permettra de s’insérer dans le cadre du mondialisme en marche sans qu’elle ne devienne un frein à l’absolutisme ?

Réponse : Il convient d’analyser globalement les modes de pensées de ce pays et façonner un discours qui plaise aux uns et aux autres afin de prendre le pouvoir et ensuite, bien entendu appliquer strictement le plan mondialiste, la légitimité assurée ne permettant ni aux uns ni aux autres de se rebeller contre l’ordre établi.

Action : Opération marketing, vous dis je, une opération d’envergure qui ne permettra ni aux uns ni aux autres de percevoir la duplicité, le mensonge, l’opportunisme, et finalement conditionnera chacun dans ce moule qui est celui de ce personnage qui sera mis en place, où chacun se retrouvera même s’il pressent une certaine irritation. L’important est que cette irritation soit minime et qu’elle ne fasse sombrer l’orientation de la réponse dans l’esprit du français.

Qui : l’homme lige est en place, dans ce parti traditionnel dans lequel le pouvoir lui a été offert, il ne reste plus qu’à le promouvoir comme n’importe quelle marque de lessive, où n’importe quel chanteur ou chanteuse, le reste comptons sur Pavlov, l’intelligence diminuant comme le carré de l’échantillon concerné, 60 millions de français devraient se retrouver facilement incarné dans ce prétendant dont les discours seront conditionnés.

Politique fiction, bien entendu que tout cela. La mémoire disparaît comme fenaison d’automne, et pourtant rappelons nous de cette période extraordinaire précédent les dernières élections. A quoi assistons nous ? A une montée en puissance sans commune mesure de l’homme lige, haï de part son ministère et de ses préoccupations par une frange importante de la population, considéré à bon droit comme l’expression du fascisme le plus dur, (que cela n’a-t-il duré ?), et qu’avons-nous trouvé en face de cet être controversé, le pire de ce que la gauche, et il n’est pas difficile d’apercevoir la connivence, a pu mettre en lice, une opératrice du mensonge totalement formatée par une agence de publicité américaine qui devant sauver les apparences s’est enhardie à lui faire balbutier comme autant de coups de marteau dans le cerveau des françaises et français le parler juste, clair, le parler de la vérité, qui à l’analyse ne résiste pas pour prononcer sa défaite inéluctable.

Manipulation souveraine à souhait où chacun s’est fait avoir, y compris les défenseurs de notre Nation, qui on cru, comme je l’ai fais moi-même, à ce montage si bien organisé. Comme quoi l’histoire immédiate réserve bien des surprises même à ceux qui voient un tout petit plus loin que le bout de leur nez. Analysons maintenant la montée en puissance du personnage, se battant sur tous les fronts et n’ayant dans la bouche que la France et les Français, cachant son jeu dans les méandres d’une duplicité bon enfant qui ne pouvait apparaître tant la franchise semblait son panache. Le parti qu’il régissait était derrière lui, totalement derrière lui, y compris des personnages du précédent gouvernement qui ne le portaient pas dans leur cœur, qu’il traînera ensuite dans la boue, nous y viendrons.

Manipulation totale et soumise, des membres de ce Parti qui le voyaient comme l’homme providentiel qui permettrait la restauration de la France, cette manipulation glissait petit à petit de foyer en foyer via les médias aux ordres, via l’internet servile, via les voix étrangères qui préfiguraient son ascension, via des prises de position qui ne pouvaient que faire plaisir aux souches populaires condamnées à être privées de travail et de logements aux profits de sans papiers reçus comme des Princes alors que deux millions de français vivent en dessous du seuil de pauvreté, plaisir simple de petits retraités aussi, plaisir simple de simples Etres Humains touchés par des handicaps ou par la maladie, plaisir simple de croire à un rayon de lumière qui percera cette atmosphère devenue irrespirable en France dès l’instant où natif de France on osait se prononcer en ses droits après que d’avoir rempli ses devoirs !

Le discours est apaisant, toutefois quelques transgressions transparaissent parfois comme autant de révélateurs de la planification qui s’avance, des couacs ordinaires qui pris dans l’ensemble ne se voient pas, l’immigration choisie, on continuera à recevoir toute la misère du monde alors qu’on a un déficit considérable et des millions de personnes sans emploi, la préférence aux immigrés dans le cadre des emplois, que l’on nomme charitablement la discrimination positive, qui a été stoppée nette aux Etats-Unis devant la pandémie d’incapacité qu’elle engrangeait, au détriment des françaises et des français de souche, naturalisés ou non, le mini traité européen, qui faisant fi du Non Français fera se regorger de l’importance qu’ils n’ont pas, les représentants de cette europe larvaire dévouée et enchaînée à la frénésie mondialiste, touches les une les autres amenant des menaces d’une austérité flagrante et affligeante.

Le panier de crabes est en place, il s’agit maintenant d’appâter les populations qui en leurs racines ne peuvent que fuir la « socialie » et sa démagogie outrancière, son outrecuidance, ses malversations, ses soudains volte face qui frisent l’insanité, telle la mise en valeur de l’hymne National, qui dans la bouche des partisans de la destruction de la civilisation Occidentale ne manque pas de cocasserie. Ubu Roi reste Roi dans cette parodie insolente, où les débats ne tournent autour que d’une seule chose pour le représentant de la droite, il faut travailler plus pour gagner plus, il faut se lever de bonne heure le matin, il faut abhorrer les trente cinq heures, il faut devenir propriétaire (pour mieux être tenu et enchaîné par le système ?), et pour le représentant de la gauche, mêmes incantations, la juste vérité, la clarté, l’opiniâtre clarté jusqu’au vomitoire qui lui permettra de ne pas être élu, tant la haine en ses rangs est forte, tant le parjure est lieu dit de place publique, tant la frénésie est à son comble.

La coupe n’était pas assez pleine, monte en lice le mouton à cinq pattes, le mouton noir qui doit faire plier l’un et l’autre candidat, permettant d’accentuer les contrastes et définir au-delà de ce mic mac conditionnel servi au public, un brin de vérité, que ni la droite ni la gauche dans ce pays n’ont été à l’encontre l’une de l’autre, car baignant dans la même servilité utopique du mondialisme en marche, et qui d’appartenir à telle société discrète, et qui de se montrer dans telle autre, d’appartenir à telle secte, de se rencontrer dans telle autre, le Siècle pour ne citer que celle là, puisque la plus représentative de l’inféodation totale et compromissoire des instances dirigeantes à l’aveuglement mondialiste, des loges en puissance les armées prétoriennes qui montent en lice pour mieux mentir sur leurs appartenances, cette appartenance les liguant à la plus vaste conjuration qui soit, celle de la destruction de leur Nation.

Se tournent les regards vers cet illuminé qui n’en est pas mais qui rêve d’en faire partie jusqu’à permettre l’intégration de la Turquie dans cette europe bancale qui se convulse dans ses expressions les plus déshonorantes et les plus radicales : combien de ses élus sont-ils sous le coup de la justice, combien se cachent en ses méandres pour obtenir ce sursis du justiciable qui n’est permis qu’à ceux qui disposent d’un mandat ? Nous n’en ferons pas le compte tant la soupe est bonne en cette enceinte qui sue non pas la franchise mais le mensonge perpétuel, roue libre faisant fi des Peuples et des Nations et dont les prébendes sont le panache et la fierté, sous les enseignes de commissaires qui ne sont autres que des commissaires politiques aux pouvoirs exorbitants, qui ne les tiennent en aucun cas des Peuples, aux ordres du Mondialisme en marche.

Part belle est donnée à ce prétendant par toute une presse qui se doit de le monter en exergue afin de stigmatiser cette gauche larvaire qui se décompose jour après jour, et ainsi de monter en ses sommets le faucon qui vient pour gouverner la France, mais on ne le sait pas encore. Le premier tour est un tour de passe passe, une comédie théurgique en laquelle chacun, dans la croyance qu’on lui a donné à croire, s’imagine détenteur d’une vérité, lors qu’il n’est qu’un jouet dont feront les frais les petits partis, et notamment le parti nationaliste qui se trouve laminé dans ses expressions par la fauve émergence, croit on à l’époque, d’un renouveau pour la France.

Tragi comédie où font grises mines les tenanciers du communisme et leurs sosies, tristes équipages qui se voient confirmés dans leur députation alors qu’ils ne représentent plus rien sur notre sol de France ensanglanté par leurs hérésies en tout genre, leurs compromissions en tous lieux, leurs machiavéliques et sordides prestations qui rappelons le sont support de plus de cent millions de morts à travers le monde ! On ne comprend pas et on ne peut pas comprendre qu’on puisse encore voter communiste après la découverte des famines contrôlées, des camps de concentration qui auraient pu faire pâlir de jalousie les nationaux socialistes, des procès politiques, des liquidations massives et physiques tant à l’Est qu’en Chine que dans ces pays « libérés » Vietnam, Cambodge ! Rappelons que le régime Cambodgien a commis un génocide touchant un million cinq cent mille personnes ! Mais cela est une autre histoire dont les archives ouvertes du KGB témoigneront le jour venu pour taire à jamais cette perversion de l’Ame dont on a vu d’où elle venait.

Les coqs jouissent, la poule caquette ! L’horizon du second tour promet bien des trivialités qui ne manqueront pas d’arriver à commencer par ce rapprochement qui ne pouvait que faire décliner définitivement les forces de gauche, le rapprochement du poulet et de la poule, dédaigné par le faucon impassible, qui marque le plus grand point dans cette opération parfaitement téléguidée afin qu’il soit élu, opération remarquable soit dit en passant où les françaises et les français n’ont rien vu que ce que l’on a bien voulu leur montrer, opération souveraine digne du coup d’état qui s’en suivra. La France n’est plus en haleine, elle sait ne pas savoir compter sur les postiers et les boutiquiers qui s’enchaînent à des propos idéologiques. Le faucon en profite pour assener les termes d’un programme qui ne peut que séduire dans la turbulence où ceux qui n’ont rien à dire feraient mieux de se taire et se ranger en ordre de bataille.

Les petits partis pansent leurs plaies, seul, en lice le mouvement écologiste pavane, avec sa charte déprimante et caricaturale où aucune place n’est faite à l’être Humain, charte que s’empressent de signer les tenants du pouvoir, sachant pertinemment qu’ils n’appliqueront jamais ses directives, outrancières pour la vie humaine, outrancières pour son devenir, outrancières jusqu’à la barbarie pour l’Humanité. La frénésie est liesse, on se congratule, et le comble de l’hypocrisie nous vient dans ce débat où les deux candidats qui restent en lice l’un l’autre se rencontrent, maniant non pas le verbe mais des slogans bâtis, qui ne cesseront de se répéter à l’infini, triste débat où l’on a vu une maîtresse d’école interpellant un élève ce qui a permis au faucon de marquer un nouveau point, ce nouveau point décisif, les françaises et les français aiment l’ordre mais pas la brutalité, ils prendront toujours la défense de l’opprimé contre l’agresseur, fin jeu de mot qui les fera réagir comme le chien de Pavlov en donnant leurs voix au faucon, pauvre faucon avilie par la «sorcière », source de tous les maux, et notamment de cette pensée unique contre laquelle tant de mots ont été prononcés pour très vite y revenir et cette fois ci d’une manière déterminante.

Les larmes de crocodiles versées suite à l’élection resteront dans les annales de ce que l’hypocrisie humaine a pu faire de mieux. Imaginez ces partis de connivence de part leurs appartenances, qui au siècle, qui en loge, qui à la Trilatérale, qui au Bilderberg, qui au CFR, qui à Saint Simon, la liste est tellement longue que n’en ferons pas le décompte, il faudrait un ouvrage entier pour déterminer les ramifications de l’Ordre mondialiste en marche, d’autres s’y sont attelés et on réussi partiellement, puisqu’une société peut disparaître une autre la remplace, et vous pourrez consulter Internet en .com je précise et non en .fr, les sites en .fr étant tronqués, (la police de la pensée existe dans trois pays : la Chine, l’Albanie et la France ne l’oubliez jamais), imaginez donc les représentants de ces partis qui se déchirent en public alors qu’ils sont alliés comme les deux doigts de la main en dehors des lieux publics ! Pour ceux qui en doutent, il serait temps qu’ils s’intéressent à la réalité de leurs dirigeants et non au paraître qu’ils laissent apparaître. La suite nous donnera raison et vous le verrez par vous-mêmes.

Les urnes ont donc parlées, la légitimité est donc acquise, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Les congratulations arrivent de partout, indices précieux de ce qui peut arriver, mais la liesse est telle à ce moment là que même les esprits les plus aguerris ont perdus le sens des réalité. La gauche est laminée, c’est une grande victoire, c’est vrai, semble t’il, c’est vrai et l’on y croit, et l’on se glorifie de cette élection qui à se méprendre va permettre à la France de se relever, à la France de se rehausser dans le diapason international, n’avons-nous pas là l’homme providentiel, l’homme qui mettra en œuvre tout ce qu’il a dit, qui permettra au simple citoyen de vivre dans une France libérée des contingences des droits uniques pour enfin faire valoir les droits et les devoirs, ces devoirs oubliés par tant et tant de nos compatriotes !

Liesse du jour et de la nuit, liesse encore, on y croit, on le veut, ce sera comme cela, mais le lendemain arrive, on ne le sait pas encore, ce lendemain où après la fête on a un goût mauvais dans la bouche, ce lendemain qui ne dit pas tout à fait son nom mais qui inquiète, inquiète sans inquiéter totalement, malgré le comportement du faucon qui trouve bon de fêter sa victoire avec ses « copains » et non avec le Peuple de France, on lui pardonne, pêché de jeunesse ne peut nuire, il a bien le droit d’incarner un pouvoir directif, il en a tant et tant parlé qu’on peut le croire sur parole, et puis, françaises et français lui ont donné la majorité, donc il est bien libre de gréer son heure de victoire comme il l’entend, cela change après le cycle des mornes institutions, des sempiternelles conventions qui semblaient vouloir régir la France.

Un peu de malice ne fait pas de mal à cet Etat fatigué de protocoles, usé par les prévarications de l’apparence ! Que diable, pourquoi le lendemain devrait-il déchanter, puisque l’homme lige a contenté tout le monde en ses désirs, ses acclimatations, ses tempérances, ses appétits ! Que diable laissons le vivre ! La nuit pourtant vient de tomber sur la France sans qu’un seul de ses citoyens ne le perçoive, une nuit noire dont on va découvrir la face jusque là lovée dans le nid de faucons, dévoilant le nid de scorpions auquel le jour devra faire face, un jour dont la France se souviendra comme d’une gigantesque défaite si elle s’en remet un jour, ce qui n’est pas prêt d’être le cas tant la léthargie semble le bien commun de l’ensemble des citoyens de ce pays en voie de destruction totale.




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