V VOUS AVEZ DIT LA FRANCE ?

Les cocus ont cela de particulier, c’est qu’ils cachent leurs cornes, ils se plient aux apparences, et s’enterrent dans leur jardin solitaire pour ressasser à l’infini leur disgrâce. Ils n’osent plus se prononcer de peur qu’on apprenne leur problème, ils se plient à des règles infernales sado masochistes qui les enrichissent d’un air benêt pour lequel on est prêt à fondre. Françaises et Français au réveil de leur légitimité ont bien perçus qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond dans leur petit royaume, mais par peur du quand dira t’on, vite se sont retournés en eux-mêmes comme des gamins espiègles qui auraient commis quelques bêtises et qui n’osent affronter la réalité pour témoigner de l’imposture flagrante en laquelle ils vagissent, ils ressassent. Comble du Pavlovisme, le chien se fouette avec sa queue pour obtenir un sucre, et bien notre Peuple est de même acabit, vite du rêve car on ne veut pas voir la tourmente qui se délite, la réalité qui ne correspond en rien avec ce que l’on attendait !

Mais regardons donc cette réalité en face ! Institutionnalisée la Légitimité prend les rennes du pouvoir, ce pouvoir tant convoité, ce pouvoir tant attendu, ce pouvoir tant glorifié au nom sacré de la France ! Vous avez dit la France ? Le faucon à tire d’aile s’en enfuit pour quelques jours de vacances bien méritées, pour courir dans les champs de Malte, vous avez dit Malte, cela ne vous rappelle rien ? Relisez donc les chapitres précédents ! En sa cour superbe, ce nid de scorpions assoiffé de puissance, il se drape et ceint de sa nouvelle noblesse peut revenir, nanti de ce sacre qui toujours fut le tombereau de l’Occident. Officialisé dans sa fonction il peut désormais combattre ce dragon que l’on nomme la France, ce rebelle à l’incarnation rétive, ce Peuple qui ne s’en laisse pas conter, (malheureusement les faits prouvent le contraire), ce Peuple à qui il a su faire accroire de son engagement fidèle, et qui, dans sa naïveté primesautière, car le Français est naïf ne l’oublions jamais, l’a accueilli comme un libérateur.

Caracolant, revenu sur son fier voilier, comme Bonaparte d’Egypte, le voici courant de plus en plus vite pour organiser son empire. Ô rage, ô désespoir, les amis d’hier sont devenus les ennemis du jour, et ceux qui croyaient en prébendes et livrées ne trouvent leur compte, telles les cigales devant la fourmi impassible qui les laisse danser de regret devant leur vassalité. Premier gouvernement sous les hospices de l’écologie, avec un super ministère attribué à l’exilé qui est venu prendre des cours chez le prétendant au gouvernement des Etats-Unis, qui ne voit que le mal partout, le mal humain par excellence qui ne devrait plus faire partie de la planète tellement il est prédateur, exilé qui repartira aussi vite en exil tant ses excès d’hier le rendent redevables de la justice, belle composition florale que d’accorder la préférence à des justiciables ! Le reste est sans importance, sinon au niveau de l’économie qui déjà tombe entre les mains du cœur mondialiste par excellence, mais cela ne se voit pas, tant et tant le couronnement décide de surprises dans l’environnement fébrile de ce gouvernement qui sitôt créé, se métamorphose.

Là commence les dérives qui permettent de mettre à jour la pensée profonde du faucon. Appel sensitif dira t’on, appel déclaré à la gauche, appel mais à qui donc au fait ? A toutes celles et ceux qui suivent le panache blanc du mondialisme à commencer par la représentation extérieure entre les mains non de la France mais du Bilderberg, belle représentation, on en reparlera. Et le reste suit, et on fait accroire aux françaises et aux français que le faucon a réussi a déstabiliser la gauche, mais la gauche n’existe pas, lorsqu’on s’intéresse au palmes académiques des différents ordres que revêtent ceux qui répondent présents aux cri du faucon, tous mondialistes, aux ordres, en coupe réglée, les uns les autres se congratulant de fraternelles agapes dans leurs mystères et leurs accomplissements, fraternelles de l’Ordre noir qui s’incarne dans ce gouvernement qui puise sa source non dans la réalité Française mais dans le cœur de ce mondialisme qui n’a d’autres ambitions que de détruire les Nations !

Nous y voici mais le pire reste à venir ! Sitôt l’apparence navigante, le faucon se précipite au cœur de l’europe aux petits pieds pour la sauver par un mini traité, adopté par le gouvernement des Pays Bas sans consultation de son Peuple (Peuple qui avait refusé la Constitution Européenne ; bel exemple de démocratie, vous y croyez encore ?), faisant fi de la volition de la France, qu’il prétend défendre ! La France a dit non à la constitution de cette europe ! Il ne veux pas le savoir, il s’en moque comme de l’an quarante, en d’autres temps une révolution aurait éclatée pour le lui faire comprendre, mais là rien n’est dit, les cocus de l’histoire n’osent se rebeller, ils se taisent, impassibles, et le pire, font bloc derrière le faucon qui les méprise, il ne faut pas en douter, et en cela il a bien raison, car la lâcheté, le moins qu’on puisse dire ne fait pas partie de ses défauts. On en viendrait à l’admirer comme avant les élections ! Il suit son chemin, ne s’occupe de personne, se mêle de tout, en arrive à ne plus avoir de gouvernement que lui-même, et pourquoi se gênerait-il ? L’impuissance semblant de mise devant lui !

A tour de main il fait rentrer les cadres du mondialisme dans des commissions qui n’ont rien de Françaises mais tout de ce mondialisme désincarné dont il est désormais le représentant en France, là le CFR guidant le devenir des enfants de France, là l’extérieur entre les mains d’une société externe qui est vassale du précédent, là l’armée entre les mains de la « socialie » la plus pure et éthérée qui vend la défense Française à l’OTAN (comme si la France n’avait pas les moyens de se défendre !), là l’économie entre les mains des faucons, ces faucons qui ont tant fait parler d’eux et dont la légitimité est contestée outre Atlantique, mais dominante dans cette europe larvaire qui se couche devant leur pouvoir financier, gangrenée qu’elle est par des domestiques, dont la servilité est sans limite, servilité accentuée par la compromission, les prébendes, les engagements, toute la panoplie qu’il convient de mettre en place pour tenir en laisse les prétendants à un pouvoir quelconque !

Les leurres sont à leur place aussi, leurres car contraires à l’idéologie dominante du mondialisme, qu’il ne faut surtout pas vexer, parodie d’un pouvoir qui ne représente plus la France mais des intérêts particuliers qui n’ont d’autres buts que sa destruction, un ministère de l’intégration qui relève de la pure désintégration, accentuant les entrées massives d’immigrés sur notre sol, plus de cent cinquante mille par an avec un chômage endémique, des lois de circonstances dont les décrets d’application ne verront pas le jour, et des lois aux applications facultatives, notamment le test génétique pour le rassemblement familial, de qui se moque t’on ? Les sans papiers sont devenus les Rois des rues, il suffit qu’ils quémandent et ils obtiennent tout, logement, travail, alors que des immigrés de longue date, qui ont un travail, attendent toujours un logement ! Ce scandale se perpétue sous les yeux aveugles de nos concitoyens qui, cocufiés, font semblant de ne rien voir. Effets de manches, effets de dossiers, la valse des « on fera », des « on fait » comporte de singulières lacunes qui à l’analyse ne résistent pas quant au brassage de vent qu’elles conspirent !

Quelques avancées toutefois dans le domaine des retraites, du mariage des institutions, quelques avancées épisodiques qui ont bien du mal à voir le jour et que ce gouvernement de parade ne cherche pas à provoquer plus avant, tant sa tâche est axée sur l’européisation de la France et la finalisation de sa destruction dans le cadre de ce bloc sans queue ni tête qui va irrémédiablement à la faillite faute de ne pouvoir se consolider économiquement parlant, avec à sa tête l’hégémonie d’un euro trop fort, contre lequel quelques mots avaient été dits, par le présidentiable, vite oubliés devant le confort de son élection et la révélation de ses orientations qui vont au-delà de ce qu’il nous avait appris, notamment, creuset de tout son essor, la déclination de sa vassalité à l’Ordre des Faucons aux Etats-Unis !

Petit faucon deviendra grand ! Qu’un rapprochement se fasse entre les Etats-Unis et la France, que ce rapprochement n’ait jamais cessé, j’en reste convaincu comme ardent défenseur de ce Pays et notamment de sa Constitution qui est la seule garante de la Liberté, mais, aux conditions globales des Faucons, dont l’empire est celui que l’on connaît, militaro industriel et financier exclusivement, cela dépasse l’entendement, et la réserve que se doit d’avoir un Président vis-à-vis du Pouvoir en place aux Etats-Unis, compte tenu d’une situation internationale pour laquelle la voie diplomatique n’a jamais été essor, bien au contraire, mais toujours emprunte d’une violence non contenue qui, témoignage en est, en Irak, est un échec retentissant, malgré tout ce que cela devait apporter !

Petit faucon devenu grand embraye derrière les faucons ! Là, rien ne va plus ! La politique Française disparaît, la France elle-même disparaît, au profit d’un gouvernement d’une puissance étrangère dont la politique, qu’il se sent en droit de mener, n’a pas à interférer avec notre propre politique, qui en aucun cas n’est belliciste à l’encontre de quiconque ! Ainsi entendre par la voix d’un ministre dont on sait qu’il est l’objet d’une société de pensée qui n’a rien de commun avec les intérêts de la France, annoncer sur une radio que la France rentrerait en guerre en Iran, comme le prévoit le plan des faucons, qui d’ailleurs ne s’arrêteront pas à l’Iran, mais s’occuperont tout autant de la Syrie et pays limitrophes, mène la goutte d’eau à faire déborder le vase !

Qu’on embraye derrière le mondialisme c’est une chose, qu’on place ses pions dans l’échiquier mondialiste c’en est une autre, mais que l’on se vassalise à une politique qui est totalement étrangère à la France, c’en est de trop, et qu’en parallèle on fasse un procès politique à celui par qui la voix de la France s’est fait entendre à l’ONU pour rationnellement se désister d’un combat envers l’Irak, ce n’est plus une goutte d’eau qui fait déborder le vase mais un jet d’eau, un jet d’eau contre lequel il convient désormais de trouver une parade si on veut encore parler de la France, si on veut encore se soucier du Peuple Français, si on veut encore parler de Politique Française !

Car, et il faut bien en être conscient, de politique Française, de Peuple Français, de France, il n’existe plus aujourd’hui, sinon que dans la soumission ! On aura jamais vu un pays se conquérir aussi vite que le nôtre sans avoir à verser une seule goutte de sang ! Devenir un nouvel état des Etats-Unis, oui, mais en notre Ame et conscience et dans le respect de notre Liberté, et sous l’égide de la Constitution des Etats-Unis, et non dans ce vivier liberticide qui vend la France et les Français au noms d’idéaux qui ne sont pas les siens et ne le seront jamais ! La France et les Français ne sont pas des objets que l’on lie par contrat à la force abrupte et sans pitié ! La France et les Français n’ont que faire de guerres qui ne sont pas les siennes et doivent faire sédition contre toute volonté de les voir s’embarquer dans une aventure qui ressemble à s’y méprendre à une conquête mais qui en réalité n’a pour but que l’extermination des Nations musulmanes, ces nations si gênantes pour la mise en œuvre d’un gouvernement mondial, ces Nations dont la France fait partie et qui ne disparaîtra au motif belliciste de la démesure et de ses dithyrambes forcenées et légiférées !

L’heure est grave et l’insouciance persiste, et ce ne sont les quelques mots qui viennent de notre gouvernement pour faire accroire que les mesures diplomatiques seront mises en œuvres afin de tarir le discours belliciste, qui pourvoient à la satisfaction des partisans de la Paix, qui ne peuvent que s’étonner de voir notre pays concéder l’exploitation d’une centrale nucléaire à un pays jusqu’alors désigné comme terroriste, et voir refuser à d’autres qui ne complaisent la même exploitation. En Irak n’ont jamais été trouvé d’armes de destructions massives, il ne faut pas nous faire croire que l’Iran serait en mesure d’en déployer, cela tient vraiment du ridicule le plus consommé. Un jour blanc, un jour noir, hier la Corée du Nord était montrée du doigt, aujourd’hui elle ne l’est plus ! Le chaud et le froid soufflent jusqu’à la léthargie la plus profonde, permettant d’accentuer l’indécision et par cette indécision générer toutes les aventures imaginables !

Ces aventures, la France n’a pas à s’en mêler, elles ne la concernent pas, que je sache nous n’avons jamais été en guerre avec l’Iran, que je sache nous n’avons pas à faire tuer nos soldats dans une guerre qui n’aura rien de préventif et encore moins d’utile sinon que de créer encore une fois un chaos insondable où vont s’entredéchirer les communautés religieuses telles qu’elles le font en Irak. On me dira et les réserves pétrolières, mais je rétorquerai que des réserves il en existe ailleurs et notamment sous le pôle Nord qui est l’une des plus grande réserve mondiale, et que l’énergie aujourd’hui n’est pas simplement pétrolifère mais nucléaire, et que grâce à cette dernière, à condition de ne pas se laisser impressionner par ces prophètes de la mort que sont les écologistes, nous pouvons en France rester indépendant sans problème !

Mais la France qu’est-elle aujourd’hui dans ce levier qui nous mène droit à une catastrophe que nous ne pourrons maîtriser si nous ne savons organiser notre propre survie, la survie de notre Peuple, la survie de notre Nation, la survie de ce qui a fait la grandeur de la France ? Bien peu de choses en vérité, lorsqu’on regarde la cartographie politique qui ne laisse présager que vassalisation, déroute et pire encore, car n’en doutons pas, il n’y aura si ne se lève pas un vent contraire, aucune mesure pour empêcher l’inéluctable, cette rentrée dans un conflit qui n’a rien à voir avec la France, cette participation active qui débouchera sur, n’en doutons pas, un cycle de terrorisme initié ou perpétré, dans tous les pays Occidentaux, un cycle de nuisances qui ne pourront se taire qu’à la fin des hostilités dont l’Occident devra sortir vainqueur sous peine d’être détruit, mais à quel prix, la vitrification de l’Iran ? La destruction massive des pays limitrophes ? Est-ce cela que l’on attend de nous ? Bien des questions restent en suspens quand à ce devenir qui paraît tellement irréel que chacun ferme les yeux pour ne pas le voir et surtout ne pas l’entendre !

La boucle est bouclée, dans l’option mondialiste, ne laissant aucune place à l’universalisme, cette boucle en laquelle nous sommes enferrés et en laquelle nous ne pourrons sortir que par la mise en œuvre et l’instauration d’un parti unique réunissant les femmes et hommes de bonne volonté qui n’auront d’autres buts que de sortir la France du conditionnement en laquelle elle s’est livrée, pieds et poings liés, ce conditionnement qui la verra demain partir en guerre contre n’importe quel état désigné comme voyou par n’importe quel type de gouvernement ! Le carcan est lourd à porter et la désillusion est grande à mesurer, mais il ne faut pas pour autant baisser les bras et se laisser aller devant la désignation de l’inéluctable. L’inéluctable peut toujours être contrarié si la volonté est présente, cette volonté inexpugnable qui a fait la force de la France, cette volonté de se sortir tant des fléaux que des invasions, volonté inflexible sous l’apparat du Verbe et de son essor, tel celui qui a été témoigné par un ministre courageux au moment de la dernière guerre Irakienne.


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