IV CONSENSUS
Le consensus jaillit, fertile, pour rendre à la poussière la duplicité, la morgue, le déshonneur, la féodalité, l’errance, ce pourrissement des sociétés atteintes de la pandémie de l’usure et de ses féaux, tout un phasme de l’humanité qui n’a rien d’humain, mais tout de la bestialité accouplée, vivipare répugnance qui jouit des heurs et malheurs de l’humain, jouant avec lui de la carotte et du bâton, avec cette dextérité propre à celles et ceux qui ont peur de perdre la main, cette main qu’ils ont reprise en assassinant l’aristocratie de tous les pays, cette main dont ils se sont servis pour asseoir leur dictature infâme, fomentant deux guerres mondiales pour que la jeunesse Européenne disparaisse dans les cendres, que cette énergie se dilue dans les étoiles afin de taire le cœur des Nations, le corps des Identités, la force des Etats, à leur profit ignoble, ce profit allant jusqu’à l’élimination physique par ses deux doigts de leur même main que furent le national-socialisme et le communisme, œuvres de l’errance et de ses incommensurables incapacités créatives, car enfin, où est la création dans la destruction de toutes les valeurs, ces valeurs qu’ils récupèrent en plagiaires habituels, ces valeurs qu’ils déforment et qui se dissolvent dans leur larvaire définition.
Faut-il le croire ? Non, bien entendu, car les valeurs sont éternelles et ont des milliards d’années là où veut se substituer un quorum de lois, plagiées elles-mêmes, écrins sans lendemain dans ce cri de l’Humain qui voit appliquer les Lois uniquement par les esclaves, tandis que les féaux au-dessus de ces lois s’arrogent tous les pouvoirs de leur contournement. Les civilisations Humaines en sont témoignage, de par l’Histoire Universelle qui voit saillir chaque épopée par la lie et ses émoluments, cette lie qui n’a que le profit pour chemin, ce profit de la bête qui n’est pas devenue Humaine, rameau tronqué nécessaire il faut bien le voir pour qu’enfin la Civilisation éclose dans sa beauté au-delà de ce brouillard dans lequel se perdent tant d’Etres-Humains, aveuglés par les troupeaux qui parodient la réalité et devant lesquels ils se prosternent en croyant leurs mensonges, leurs illuminations dévoyées, leur désespérante et affligeante perversion, celle du clinquant, sans humilité, sans haut-le-cœur, tant la matérialité dans leur écrin rutile des mille feux de l’ombre en laquelle ils se noient.
Enluminures, vacuité, correspondance de toutes infamies, le tableau se dresse émerveillé par la soldatesque hurlante des cohortes médiatiques aux ordres qui se louangent dans l’étronisme invariant. Manifestation dithyrambe de cette fosse d’aisance en laquelle ces comédiens que l’on appelle des journalistes se complaisent, chacun y va de son discours pour glorifier l’apparat trouble, les conditions déterminantes qui ne peuvent être sursis, dont l’obligatoire est maître à penser, sans un seul instant remettre en cause l’admonestation qui vient de leurs maîtres à danser. Ici se tient l’arme qui se voudrait fatale de la bestialité, l’accroire, la parade, le tempérament de la luxure, le désordre de l’image comme du son, la vingt-cinquième image elle-même, et dans le son la monocorde pensée de la pourriture qui se fraie un chemin, croyant galvaniser les foules dans ce chemin de la lie qui se veut le renouveau de ce monde, ce nouveau désordre mondial qui veut à tout prix configurer, qui veut à tout prix imposer, qui veut, veut encore pousser dans ses derniers retranchements l’Humain afin que plus vil qu’un singe, il demeure l’esclave consentant que ce désordre attend pour se parer de toutes les limpidités.
Eau glauque qui ne sera jamais l’Esprit au-dessus des eaux, eau sale d’égout venue qui retournera aux égouts tant sa poisseuse définition est rutilance de cette déchéance qui se veut couronnement, la déchéance de tout un chacun, œuvrant et œuvré pour le seul profit de l’usure et de ses métastases, cette bucolique maniaquerie de l’insatisfaction, préau de toutes les denrées qui servent ce profit, de l’ultime correspondance du souffreteux à qui tout le monde en veut, car finalement n’est-ce pas le meilleur moyen de faire passer l’immondice que de faire accroire que l’immondice c’est l’autre, ce méchant personnage qui ne pense qu’en termes de racines et non pas en termes d’errance, cet individu particulièrement belliqueux qui « veut » remettre à sa place l’errance et que l’on traduit en justice en le déguisant de tous les noms en « isme » qui ne peuvent se traduire tant leur liquidité est source de tous les émoluments et de toutes les gratifications de ce pourrissement qui ternie toutes nos Nations, livrées à la Gestapo de la pensée, livrées pieds et poings liés à la Tcheka du mensonge, la raison comme la pensée ce jour devant se traduire par la prosternation à ce qui n’est pas soi même. N’y a-t-il pas là plus belle dictature que celle-ci ? Une dictature qui ne trompe plus personne fort heureusement dans ce monde qui n’est ni lâche, ni à l’agonie.
Consensus donc devant le fardeau de l’ignominie qui ronge la moelle des Peuples, consensus mondial, qui voit chaque Pays sous domination de roitelets, de tyrans, de domestiques de la pensée unique, sourire de cet aréopage qui se veut le monde alors qu’il n’est que destruction du monde, aréopage de persifleurs parlant au public comme on parle à un enfant de cinq ans, si tant la domesticité est son élément, si tant sa parure est spongieuse et multiforme, revêtant les habits de cette droite, de cette gauche, de cette ahurissante écologie, de ces extrêmes de gauche comme de droite, qui s’agitent en doigts de la même main, cette main qui est celle de cet aréopage qui a décidé depuis des centaines d’années de contraindre l’Humanité au pur esclavage, quitte à la détruire par ses venins, ses officines véreuses qui inventent des virus puis les diffusent avant que de faire payer les vaccins qui permettront de les éradiquer. Nul aujourd’hui en conscience n’est aveugle, et lorsque tout un chacun étudie avec sagesse tous les noms circulants des conseils d’administration, et les noms des actionnaires, ainsi que leurs liaisons, nul ne peut plus être endormi par cette vaste chape de plomb qui emprisonne le destin de l’Humanité qui n’est pas celui de devenir esclave de cette machinerie utopique et inverse.
La machinerie économique, mais de quelle économie parlons-nous ? Celle tendant à l’épanouissement de l’Humanité ou bien celle tendant à sa réduction en esclavage ? Je n’ai ici nul besoin de vous faire un dessin ! Si l’on observe la crise économique créée de toutes pièces par cette oligarchie afin de mettre la main sur ce petit monde, le laisser-aller du parasitisme, qui, sans foi, ni loi, s’est précipité sur tout ce qu’il était capable d’imaginer, bien entendu des équations névrotiques composées sur la virtualité qui ne se fondent que sur la poussière, nous pouvons constater qui est la proie et qui est le chasseur. Et surplus de cette répugnance, on observera avec une répulsion particulière, que le parasitisme a été pour le moins remercié, voyant les Etats saigner pour plusieurs générations les Etres Humains de leur Peuple, pour rembourser l’innommable, le vampirisme des errants, de leurs matrices composites, ces banques n’ayant pour dieu que l’usure et pour conjonction que la destruction de tout ce qui est Humanité.
Aidées en cela par le sommet de leur apothéose, qui se fait nommer fonds monétaire international, courroie de transmission aux ordres n’ayant pour dynamisme que celui d’épuiser les ressources Humaines de tous les Pays afin de les rendre esclaves du nouveau désordre mondial, ce désordre que l’on rejette dans les Pays en révolution, ce désordre qui continue à s’insinuer dans le corps des gouvernements de transition de ces dits Pays, gouvernements de dupes pour les dupes, dont les Peuples ont compris les fondements et la liturgie, cette liturgie de la prébende, cette liturgie de l’esclavagisme à tout prix, qui rendit honneur aux tyrans qui les dirigeaient, tous valets de cet opprobre que la terre porte comme un chancre. Bel univers bercé de ses illusions qui croit encore faire face aux Peuples qui se soulèvent, et qui ne sont dupes de ce pourrissement et de cette altérité de leurs forces vives, bel univers que celui-ci où la fripouille se trouve un nid malgré le renversement de ses valeurs nauséeuses.
Quelle expérience souveraine pour les Etres Humains de voir à quel point le parasitisme s’accroche à ses mandats, à ses délégués qu’il déplace dans des pouvoirs qui ne lui appartiennent plus, cela en serait risible si c’était une farce, mais ce n’est pas une farce et la mort frappe à tous les coins de rues, sans un regard, sinon que quelques paroles stupides maugrées par les tenanciers de cette caverne de dupes qu’est devenue l’organisation des Nations Unies, et quelques gouvernements qui n’ont d’autres privilèges que de défendre le nouveau désordre mondial qui leur échappe. Car les Peuples sont dans la rue, et la violence endémique des suppôts du nouveau désordre mondial n’y changera rien, les Peuples n’ont pas la moindre intention de se faire voler leur heure de renaissance, par les satrapes qui tirent les ficelles de leur désorientation. Une désorientation qui sur la place publique lentement prend place non pour y succomber mais bien au contraire pour la vilipender.
Comme cela serait facile, si l’ignominie n’avait frappé des milliers de fois, et tout un chacun ne savait pas de quoi elle était faite! Comme ce serait facile de reprendre en mains ces pouvoirs qui se délitent, ces pouvoirs qui servent encore comme dans certains pays dont le tyran a décidé que la révolution finirait dans un bain de sang, et contre lequel à part quelques paroles issues d’ailleurs des rangs du nouveau désordre mondial, rien n’est envisagé, strictement rien alors que ce nouveau désordre mondial se permet des droits d’ingérence pour créer de toutes pièces des pays qui deviennent des plaques tournantes de la drogue, de la prostitution des femmes et des enfants, du trafic d’organes ! Que la honte rejaillisse sur cette morgue qui n’est que l’ombre de morgues où s’entassent les combattants de la Liberté, qui à mains nues vaincront leur hérésie, leur vassalité à l’usure et tous ses tenanciers, car ces Pays comme les nôtres n’ont pas a être soumis ou vassalisés par leur horreur permissive, une horreur sans nom qui chaque jour fait son œuvre, une horreur dont l’Humanité jugera les actes dans ce tribunal de l’Histoire avec un H majuscule qui ne pourra être réécrite, tant le sang versé par l’innocence conflue à l’abjection des défenseurs de ce sida civique qui sévit actuellement dans la plupart des pays de notre Monde, je dis nôtre, car le Monde ne lui appartient pas et ne lui appartiendra jamais, communisme comme national socialisme, ses créations fictives ont disparu et ce nouveau désordre mondial disparaîtra comme eux, comme il disparaît actuellement petit à petit des Pays qui se délivrent de son omniprésence prégnante.