La destinée sera ce que nous en ferons, soit
nous resterons spectateurs et irons au devant de
toutes les crises les plus sauvages de la
barbarie, soit nous commettons un acte de
courage et nous impliquons dans l’avenir et le
devenir, sans attendre que se referme sur nous
l’étau dictatorial, il n’y a pas ici de demie
mesure, il n’y a pas ici de phrase type comme
« rien ne presse », « je ne peux pas, j’ai une
famille », « j’ai peur de m’engager », etc,
etc. Il convient que chaque Etre Humain se
prenne en main et n’attende de son prochain
qu’il réalise pour lui ce qu’il doit réaliser,
savoir son Unité, savoir ce don précieux de sa
volonté dans le respect d’autrui, afin qu’il
vive non plus dans cet état létal où il est
objet et en aucun cas sujet, où il est unité
économique et non pas Etre Humain, où il
apparaît non-être au devant de la Vie qui
n’attend pas, poursuit sa route irréversiblement
en éradiquant naturellement devant elle tout ce
qui gène son évolution qualitative. Il n’y a pas
de compromis, sinon que dans la virtualité et
ses fécondations abstraites, où l’on peut jouer
du parasitisme comme du retrait. Le Réel n’est
pas un ornement, il est le fondement structurel
de toute l’aventure Humaine, qui se doit de le
comprendre et le signifier afin d’aller plus
loin sur la route de sa compréhension, ainsi et
par les temps, ainsi et par les lieux dans
l’honneur et en fonction de la capacité de
chacun, afin que chacun soit et dans la
communauté d’esprit initie non seulement sa
propre capacité de transcendance mais la
capacité de transcendance d’autrui. Les règles
du jeu sont simples, éclairées et éclairantes,
soit l’Humanité se soumet et disparaît en non
humanité, soit en ses composantes elle se révèle
et alors se correspond pour œuvrer non plus un
monde létal mais un monde de Vie, maturité
nécessaire et signifiante qui verra alors la
destinée s’initier et non plus se désintégrer.
L’Aigle doit se réveiller en chaque Etre Humain,
l’Aigle puissant et salutaire scrutant son aire
avec détermination, sa condition sans
condescendance, son devenir avec détermination,
son avenir avec harmonie, mantisse de l’œuvre à
prospérer, l’œuvre de la Vie au-delà des miasmes
et des parasitismes, au-delà de la vacuité de la
mort et de ses moires aisances, au-delà des
nivellements comme du paraître, au-delà des
formes magmatiques qui ne sont que les essors
nés de l’atrophie et de ses sources. Aigle
puissant en lui-même allant vers les Autres afin
d’œuvrer la réalité humaine et non cet univers
absurde dans lequel il n’est qu’une larve qui se
complait, une larve que l’on fait naître et
euthanasie dès lors que son pouvoir de
productivité est obéré, une larve systémique,
pavlovienne et délétère a qui l’on vend le
bulletin de vote pour lui faire accroire qu’il
est dans un monde de liberté alors qu’il n’est
déjà plus qu’un esclave qui se doit d’obéir pour
prospérer, un esclave sans lendemain, sans
devenir, un esclave né dans ce camp de
concentration mondial qu’on lui prépare sans
qu’il ait seulement droit à la parole, ici, là,
dans ces pouvoirs qui ne sont que les officines
du pouvoir économique qui défend ses privilèges,
privilèges sans issue sinon ceux de la
matérialité la plus inhumaine, une matérialité
qui se veut le gage de l’aventure Humaine qui ne
créé que le non être, la non humanité,
circonscrits dans le paraître, le clinquant, le
vide qui ne peut que s’auto détruire, tant il
prend de la vitesse, désintégrant tout sur son
passage !
Ruine fumante dont l’Etre doit non se contenter
mais dépasser afin que l’avenir soit, le devenir
irradie, loin des contes pour enfants, loin des
rêveries onanistes des atrophies qui se veulent
légiférer ce Monde, ce Monde qui ne leur
appartient pas, mais qui appartient à la
totalité des Etres Humains, à l’ensemble des
Ethnies, des Peuples et des Races, à l’Humanité,
ce Monde qui n’est pas leur jouet, ce Monde qui
n’est pas un jeu, ce Monde qui doit ouvrir
l’Humanité à sa pérennité par la conquête
irréversible de l’Espace, son devenir n’étant en
ce lieu mais dans ces milliards de Galaxies qui
gravitent en cet Univers, Univers parmi les
Univers ! Soyons clairs, lorsqu’une maison est
sale, on n’attends pas que les toiles
d’araignées s’accumulent par milliers, on prend
son courage à deux mains et on balaie, on
nettoie, on fait œuvre écologique, (car
l’écologie c’est l’hygiène, et non cette
prétention politique à cultiver des écotaxes sur
la crasse au nom de pseudo réchauffement qui
sont naturels par l’inversion du champ
magnétique terrestre doublée d’orages solaires
qui depuis les années 1700 ne cessent de prendre
de l’ampleur- mais n’est ce pas, il faut
culpabiliser l’Etre Humain ! Il n’y a que lui
qui peut payer, pour renflouer les caisses vides
des états !). Ainsi l’Etre se doit-il pour
lui-même et pour son environnement de renaître à
un comportement responsable, en fonction de ses
capacités, un comportement naturel, qui n’est
pas celui de se voir floué de sa réalité, mais
vivre en la réalité pour faire prospérer son
état Vivant en ses composantes au sein de ses
espèces, l’Humanité qui ne doit rien à ce jour
aux prébendiers qui veulent la diriger, mais
tout de ses heurs et malheurs, de cette
indigence mentale en laquelle elle est laissée
pour compte pour le profit du parasitisme
institutionnalisé.
Debout au milieu des ruines, l’Etre doit assumer
sa destinée, créer ce contre pouvoir qui
permettra d’éradiquer son impuissance actuelle
et enrayer la puissance de la destruction qui se
trouve en face de lui, cette puissance aux pieds
d’argiles au regard de la puissance réelle, que
l’on cache bien entendu en nucléarisant sa
réalité, des milliards d’Etres Humains qui
vivent sur notre planète et contre lesquels ne
peuvent rien, je dis bien strictement rien, les
quelques millions de parasites qui engluent la
destinée Humaine. Regardez la réalité, non
seulement dans le nombre, non seulement dans
l’intelligence, car l’intelligence n’est pas le
panache de quelques individus, non seulement par
le pouvoir de création et de créativité, car qui
construit, sinon ces millions d’ingénieurs, ces
millions d’ouvriers, ces millions d’Etres
Humains qui en chaque branche sont sachant de la
réalité et non de la virtualité, ces milliards
d’Etres Humains sont les vrais détenteurs du
Pouvoir, ce Pouvoir qui leur tend la main s’ils
savent seulement coordonner leur essor et faire
valoir leur effort dans cet acte de courage qui
veut voir chacun, en fonction de ses capacités,
se dresser afin de faire rayonner la vitalité,
l’Harmonie, la grandeur et l’Honneur de
l’Humain, non comme précitée par la mise en
œuvre de ces mouvements de foule qui ne servent
aujourd’hui strictement à rien, mais par cet
entrisme cette insinuation, la cooptation des
énergies afin que de contre pouvoir ce contre
pouvoir puisse déterminer le Pouvoir, le Pouvoir
auto surveillé par ce contre pouvoir créé,
indispensable à la réalisation de la pérennité
tant de l’Humain que de l’Humanité !
En effet Pouvoir contre Pouvoir sont intimement
liés et dans l’Histoire des Civilisations, je
parle d’Histoire avec un H majuscule, et de
Civilisations avec un C majuscule, et non de
cette histoire réécrite et de cette civilisation
du profit que nous connaissons, donc dans
l’Histoire des Civilisations ont toujours prouvé
par leurs fondations le potentiel d’évolution
qualitative du Vivant, l’un aiguillonnant
l’autre lorsqu’il se laisse aller, l’autre
retenant l’un lorsqu’il dérive, conjonction de
l’individué et du généré, toujours sous tendue
par cette rémanence formelle qui permet à tout
un chacun de comprendre que ce n’est que dans
cette raison universelle que l’évolution peut se
formaliser, et non en laissant l’un ou l’autre
en dérives, ce à quoi nous assistons ce jour
dans certains pays où le dictat fait sa Loi,
cette Loi qui n’est pas la Loi Humaine mais la
Loi de particuliers qui s’arrogent le droit de
se complaire dans le mépris de l’ensemble qu’ils
« dirigent » ! Ici se tient le Lieu par les
temps de l’évacuation de cette maladie importée
sur le corps de l’Humanité, qui permettra de
destituer ces moires aisances, le parasitisme,
pour ne laisser place plus qu’à la Capacité, la
capacité de faire évoluer, la capacité de porter
au plus haut l’Humain en ses branches, en ses
degrés, vers son potentiel d’épanouissement, ce
potentiel ce jour défiguré par l’illusion qui
brise toutes formes de courage, par le fantasme
qui n’est que le mépris des Autres, ces tares
qui ne sont heureusement génétiques dans le
corps Social de l’Humanité, mais n’appartiennent
qu’à un nombre restreint qui s’imaginent, dans
la solitude qu’ils sont, liés à aucun contre
pouvoir, régir la destinée de l’Humanité !
Destinée, voilà le terme exact qu’il convient de
mettre en exergue, cette destinée qui ne
s’attend mais se prend, cette destinée liée à la
Liberté qui ne se transige ni ne se relâche,
cette destinée qu’il convient de prendre en main
afin de ne se laisser sombrer dans la folie
régnante, complaire et paraître, à l’image de
ces pouvoirs factices qui ne sont que de parade,
qui ne sont que de clinquant, pauvres pouvoirs
d’errants qui se réjouissent de leur pauvreté
Humaine, cette pauvreté qui les voit
s’agenouiller devant la puissance de
l’impuissance, celle de la matérialité la plus
avide, pour goûter de quelques miettes de leurs
apparats qui ne sont que de pauvres éclats, tant
ils suent la sueur de millions d’Etres Humains,
la sueur et le sang, les larmes et la douleur,
alors qu’il eut suffit, comme le font certains
Capitaines d’Industries, de faire en sorte que
chacun puisse recevoir respectivement la part de
son labeur, pour que déjà s’atténuent la douleur
et les larmes, la sueur et le sang ! Mais
combien sont-ils, combien en restent-ils de ces
Capitaines ? Pratiquement aucun, tant ils sont
traits par le sordide, la loi du parasitisme,
cette loi ignoble que l’on laisse libre alors
qu’elle devrait être encadrée, permettant à
n’importe quel opérateur de laisser sur le tapis
des millions de familles dans la pauvreté, pour
les arcanes d’un clinquant supplémentaire, pour
les arcanes d’un rubis complémentaire,
immoralité gouvernante qui ce jour parade avec
grandiloquence, traitant le politique comme un
étron, alors que le politique est le
représentant du Peuple, ce Peuple qui n’a pas à
se voir soumis au dictat de ces potentats
incultes qui n’ont d’autres ambitions que
d’attraire encore plus dans le mépris le plus
écoeurant tant de l’Etre Humain que de
l’Humanité, pauvres errants dont on peut se
demander comment ils peuvent se regarder dans
une glace le matin, pour voir ce reflet
nauséabond de la mort qu’ils insinuent chaque
seconde que le temps créé !
Destinée ! Il est temps de voir les choses en
face, la réalité non plus comme virtualité mais
comme réalité, pour chacun, en ce lieu de la
terre qui nous est commun, en ce lieu fourvoyé
dont il suffit seulement, je dis bien seulement
d’insinuer toutes les institutions afin de faire
dévier l’agonie vers la Vie, en jouant de toutes
les cartes qui ont permis l’asservissement du
politique, sans le moindre préjugé, pour
contrebalancer cet ordre qui s’avance et qui se
croit invincible ! On ne peut être invincible
que si le nombre est derrière soit ! « Combien
de divisions ? » disait-en substance Napoléon
Bonaparte ! Combien de divisions donc ? Face à
l’Humanité et ses milliards d’Etres Humains ?
Pratiquement un ersatz qui disparaîtra sous la
multitude, lorsque la multitude aura enfin
compris qu’elle ne peut poursuivre dans la
division imposée, dans cette caricature du
vivant qui se réjouit de sa propre décrépitude
et participe activement à sa désintégration,
pour le seul profit de ces quelques uns qui
s’unissent dans une folie dominatrice qui ne
cessera d’être si et si seulement le nombre ne
s’unit pas lui-même pour faire plier le joug,
restituer à la Liberté sa grandeur, son honneur,
sa puissance motrice ! Restituer à la Vie sa
flamboyance, restituer au Vivant son pouvoir
d’épanouissement, au-delà de cet esclavage
conditionné qui devient méthode de gouvernement,
esclavage considérable ce jour, de chaque
individu, fiché, auto surveillé, suivi de sa
naissance à sa mort qui sera bientôt programmée,
par ces courroies de transmissions que l’on
appelle les états, qui ne sont là que pour faire
accroire à l’illusion de la Démocratie, pauvre
Démocratie destituée, profanée, anémiée, qu’il
convient de reconquérir !
Reconquête ! Ce n’est qu’à ce prix que la
Destinée des Etres Humains sera ! Reconquête par
un coup d’état permanent, en chaque institution,
en chaque association, en chaque groupe de
pensée, permanent afin que ne cesse le
mouvement, l’action pure et non gratuite,
l’action souple et fluide permettant d’éradiquer
les scories qui se sont accouplées à leurs murs
afin de gréer ce vaisseau de mort qui ignore
l’Humain et que nous devrions acclamer comme
acclament les aveugles, les chiens de Pavlov
dressés pour accepter leur esclavage putride !
Reconquête pour la Destinée de l’Humanité dont
le but n’est pas celui de se voir remisée dans
les arcanes de l’esclavage mais de s’irradier
dans l’épanouissement le plus total, dans
l’harmonie, dans le creuset d’un Ordre
symbiotique qui sera respect de chaque Etre
Humain, de chacune des composantes de
l’Humanité, Ethnies, Peuples, races, de chacune
des composantes de ses espaces bio géo
historiques constitués, Régions, Nations, Inter
Nations, Monde, ce Monde qui sera malgré tout,
car la Loi Naturelle est là pour y veiller,
cette Loi que rien, ni personne ne peut
détruire, cette Loi que chacun d’entre nous
porte en ses gènes, Loi de la Liberté d’Etre,
Loi de la Liberté de Vivre, condition sine qua
non de la réalisation de la Vie en ce Lieu et
par ce temps, Loi issue de la rémanence formelle
des Civilisations que l’Histoire nous dévoile,
cette Histoire qui demain rappellera à chacun
d’entre nous le chemin parcouru et restant à
parcourir pour parvenir à l’Harmonie !
Destinée qu’il convient de prendre à pleine main
en s’impliquant totalement dans le cadre de la
Vie, pour la Vie et par la Vie, dans cette
notion essentielle de l’Action qui est celle de
la détermination de renaître des cendres qui
actuellement ruissellent notre Monde, ces
cendres qu’il convient d’obérer par une prise de
pouvoir légale et intégrale de toutes
Institutions Humaines, qu’elles soient visibles
ou discrètes, par la réalisation d’un contre
pouvoir total permettant de légiférer pour la
Vie, par la Vie et en la Vie, au-delà du
paraître et de la soumission, enfin par la mise
en œuvre d’un coup d’état permanent de prendre
le pouvoir de toutes Institutions, visibles ou
discrètes, afin de renaître le Pouvoir dans sa
légitimité structurelle et fonctionnelle qui est
celle de l’Art de diriger vers l’évolution
qualitative de l’Humanité en ses composantes, et
non l’art de détruire pour diluer l’évolution
dans une involution totale et suicidaire,
réalisation possible si et si seulement l’Etre
Humain s’éveille à sa condition réelle et ne se
cache sous la virtualité pour officier sa propre
destruction, en agitant les épouvantails de
l’illusion dont le factice est chute et
dépérissement dans les chaînes de l’esclavage
légiféré par le parasitisme qui veille cette
congruité, si et si seulement, d’oisillon
aveugle il s’élève dans la ramure des cieux pour
scruter son aire, en lui-même, au-delà de
lui-même, tel l’Aigle Impérial, et constituant
et partie fonde le Nid d’Aigles qui renversera
le culte de la mort, le culte du profit, le
culte de l’atrophie, le culte du mondialisme, le
culte du nazi communisme, qui aujourd’hui sont
les phares d’une civilisation en voie d’auto
destruction totale, si et si seulement il
devient ce qu’il est, dans l’Harmonie, un Etre
Humain !
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