Où se devise l’amorphe, le statisme,
l’inconditionnelle stature du désoeuvrement, se
situe la fatalité, cette fatalité qui plaide le
devenir comme le miasme suprême qui permet tous
les outrages, toutes les participations
inféodées, tous les fastes de la décrépitude,
toutes les formes de la destruction. Fatalité
est le terme même auquel les Peuples sont
confrontés, semble t-il tous impuissants à
drainer leur destin au-delà du néant qu’on leur
propose et qu’on dispose devant leurs yeux afin
qu’ils s’apparient avec le sordide,
l’inavouable, l’inconséquence majeure qui porte
ce monde à sa ruine temporelle. Nous sommes en
face d’un leurre qui brise jusqu’à la réflexion,
soporifique des temps qui brise toute latitude
de l’action et de ses forces. Nous ne voyons là
un abandon mais pire qu’un abandon un laxisme
œuvré de main de maître par la presse et ses
exactions, médiatisation consternante de la
bêtise et de ses incarnations, rectitude de
l’immoralité qui foisonne ses sapiences comme
autant de venins qui jaillissent des fosses
communes de l’Esprit où l’Esprit n’est plus
qu’une masse informe, à l’image de cette non
humanité que l’on perçoit aujourd’hui, avide,
incluse et recluse dans la pérennité d’une
jouissance de circonstance qui la mute dans les
limbes pitoyables du mensonge et de l’ignorance
qui formalisent l’ordre de ce monde.
Un ordre brutal, un ordre nanti de chiens de
guerre, un ordre de tueurs nés qui cristallisent
les attentions en agitant sous les yeux des
morts nés les voiles d’une pseudo démocratie qui
se vomit comme on vomirai un fruit trop mûr,
décomposé, glacé, bestial, majeure désinence de
la perméabilité des croyances qui accrois dur
comme fer qu’elles vivent dans la Démocratie,
alors qu’elles sont sous le joug de mantisses
perverses qui efforcent l’illusion dans
l’ultime, dans cette face de la nuit qui veut
faire croire qu’elle est jour, dérive qui
lentement mais sûrement prend de la vitesse, une
vitesse asynchrone qui frappe de ses
ramifications toutes faces de l’Humain,
l’écharpe et le détruit pour le muter dans cette
horde de la bassesse et de la lâcheté qui rugit
lorsqu’on porte un regard sur sa décrépitude,
tellement confinée dans le pourrissement
qu’adulant le pourrissement et ses élytres, ses
noires araignes de la pensée unique qui
surgissent dans toutes faces de l’Esprit, là où
on les attend le moins, jusqu’en les profondeurs
de la nuit qu’elles jugent, car elles jugent !
Elles jugent des dysfonctions, des anomies, des
pensées indirectes qui ne suivent leurs
évocations, leurs histoires réécrites, leurs
mensonges glorifiés, leurs délations putrides
portées aux nues de l’entendement, malfaçon que
l’Humain vivant voit, que le non-être, obscurci
dans les méandres de la croyance officielle ne
voit plus, enhardi qu’il est de complainte en
complainte dans la demeure du savoir qu’il ne
sait plus, car le savoir lui-même est sujet à
toutes les avanies, à toutes les dénatures, au
profit de cette pensée unique qui saillie le
monde, naturant la débilité profonde, cette
débilité incarnée dans les pouvoirs qui se
rassurent dans la probité de l’exaltation des
masses pour cette débilité !
Pauvres non-être dont le réveil sera
particulièrement difficile lorsqu’ils
s’apercevront qu’ils ne pourront plus faire un
pas, plus dire un mot, sans que l’auto
surveillance programmée, la puce informatique
individuelle, ne se mette en marche afin de
satisfaire la pensée unique, insigne du bât de
l’âne comme on porte une médaille, dont ils ne
pourront plus se prévaloir, lorsqu’ils seront
anomiques, voyant en cela leur seul espoir
d’avenir se résumer dans un suicide autorisé
afin de débarrasser cette société devenue de
cloportes et demeurés, d’esclaves consentants se
congratulant de leur humiliation, en
redemandant, comme une friandise le chien battu,
venin du jour presque réalisé, lorsqu’on regarde
le comportement des Peuples devant certains
pouvoirs qui s’imaginent déjà les maîtres, et
agissent en tant que tels devant l’anémie de
leur Peuple totalement tétanisé, mesure qu’il
convient de mettre en exergue, l’appartenance
des uns et des autres dans les partis politiques
défendant dans l’ombre du commun, dans ces
sociétés de pensées totalement phagocytées par
l’illusion mondialiste, la même outrance, regard
semblable qu’il convient de bien souligner pour
comprendre que le vote des uns et des autres, ce
jour ne sert strictement à rien, qu’il convient
de trouver rapidement des Etres Vivants pour
représenter les Peuples et non continuer avec
une naïveté particulièrement dantesque à voter
pour ces êtres morts qui n’ont plus de parole
que celle du mensonge, de la manipulation, de
l’hypocrisie, nantis qu’ils se croient de ces
pouvoirs de nains que leur accorde la
population, et non l’Aristocratie, des nantis
qui les téléguident et les autorisent, les
régulent, les défont et les créent pour mieux
servir leurs intérêts majeurs, qui sont la mise
en coupe réglée de ce monde à leur seul profit.
Partis avez-vous dit ? Il n’y a plus de partis
dans ce monde de mendiants, il n’y a, sous les
hospices de la létalité gauchiste, que des
avatars qui font semblant de se dévorer, alors
que dans les fraternelles de la mort ils se
congratulent de leur perversité, de cette
duperie, de cette manipulation constante des
Peuples. Non il n’y a plus de partis de la
raison, de la confiance, de la justice, il n’y a
que ces partis des copains et des copines, cet
aréopage de censeurs qui sont là non pour guider
les Peuples vers leur équilibre, leur harmonie,
mais vers leur esclavage total, vers leur
soumission aux ordres qu’ils reçoivent, tant
dans le domaine de l’économie, que de la
culture, tant dans le domaine de la culture que
de la spiritualité, faces désintégrées qui
ruissellent le sang des innocents, agitant les
épouvantails de terrorismes multipliés pour
assagir des Peuples entiers et les confluer dans
le désir de ceux qui prêchent leur profit, leur
seul profit, et non pas le profit des Peuples
qu’ils ridiculisent, et pire encore, qu’ils
mènent à la mort pour le seul plaisir
d’engranger et de complaire ! Manipulateurs qui
ne sont que des fétiches, des clameurs que
l’Histoire avec un H majuscule jugera ! Car ils
seront jugés dans les mémoires de l’Humain,
jugés et refoulés au plus profond des
consciences comme symboles de la destruction
permanente, symboles honnis qui ne seront mis en
exergue que pour montrer et démontrer ce que
représente le désir d’anéantissement, ce que
peut représenter l’involution et non
l’évolution, cette nécessité pratique de la Voie
qui ne peut se contenter de suivre le néant
alors qu’elle porte la Vie vers ses sommets !
N’oublions jamais que pour manipuler l’opinion,
il convient de créer le motif de son
mécontentement puis arriver en chevalier servant
pour éradiquer le motif que l’on a créé afin que
l’opinion vous suive aveuglement. Nous ne sommes
dans le cadre de notre civilisation, sous les
hospices de cet ordre mondialiste, dans le cadre
d’une fabrique mais d’une usine, une usine bien
huilée, qui fabrique les guerres pour vendre ses
armes, qui laisse se planifier la production de
drogue pour anémier par dépendance les forces
vives des nations afin qu’elles ne se révoltent
pas, qui conditionne les médias afin qu’elles ne
desservent que de la médiocrité afin d’abêtir
les populations, qui incapables de réflexion se
laissent emporter par le fantasme de l’illusion,
qui favorise une hiérarchie de la misère afin de
trôner sur les dissensions par la division
qu’elle conditionne, qui encourage la
prostitution des enfants et des femmes afin de
faire régner l’irrespect de l’Humain, qui
confine au mépris général permettant de naître
des conflits violents qui lui permet de naître
des services de police dédiés à la liquidation
physique des individus et des groupes, qui
favorise le trafic humain, d’organes humains, le
sacrifice humain, et notamment des enfants, pour
complaire à des sectes qui le servent comme
autant de troupes d’assauts qui en cas de
révolte n’auront pour fonction que la
destruction des révoltés, futurs gardiens de ces
camps de concentration dont certains pays dits
évolués ont bâtis les édifices, y compris en
Europe, dont certaines bâtisses servent à
emprisonner les opposants les plus virulents à
la politique commune de mensonge organisé qui
désormais est établi en règle !
Usine de la mort conditionnée, légiférée, voici
le bastion qui s’illumine de l’illusion, ce
bastion contre lequel les uns les autres dans
une peur irraisonnée ne veulent rien faire, par
fatalisme ! Problème majeur de notre époque ou
chacun est fiché, décortiqué dans ses relations,
ses goûts, ses aptitudes, entomologie répugnante
ne laissant plus l’ombre d’une liberté, vidéo
surveillé, analysé, fiché, ô que de fichiers !
Savez vous que notre pays est celui qui fiche le
plus, pire que dans l’ex union soviétique, un
pays laboratoire de la pire idéologie qui soit
dénommée plus haut, une idéologie maladive de
paranoïaques comblés, disséquant, se confortant,
amenuisant toutes faces de la réalité afin
surtout de se maintenir au pouvoir, ce pouvoir
de nains aux ordres des puissances précitées, ce
pouvoir qui obéit, et en obéissant détruit
toutes valeurs humaines dans notre pays, image
par tous les pays qui se répandent dans la lie
culturelle, l’abêtissement organique, la
destruction des identités, forces contre
lesquelles semble t-il, il n’y a rien à faire ?
Cela paraît simple et lamentable à la fois, cela
est tournure d’un défaitisme d’une vaste
opération de propagande dont les ramifications
se déversent en chaque langue, en chaque
identité, en chaque parti, en chaque
association, une opération de dilution qui se
contemple et dont l’onanisme est vecteur de
toutes les dérives, ces dérives qui pleuvent sur
nos devenirs qu’il convient de reprendre en main
afin de taire l’assaut idéologique du nazi
communiste qui s’imagine vainqueur, alors qu’il
est dans ce flou artistique qui précède le
réveil après le sommeil, un flou entretenu,
conjoint, félicité, un flou larvaire où les
larves se retrouvent et se conjuguent pour
poursuivre leur œuvre de mort, la mort de la
Liberté, la mort de l’être Humain, la mort de
l’Humanité, pour naître, le non-être, la non
humanité, la dictature, la dictature féroce qui
déjà saillit les Nations, les amenuise, les
destitue, les dilue dans ce tableau noir de la
désintégration !
Ainsi le sort de ce que l’on nomme la fatalité
dans l’instrumentalisation de la lâcheté et du
conformisme, sous tendue par la culpabilisation,
belle vague permettant d’éroder toute notion de
la réalité, appuyée sur le mensonge d’une
sécurité qui n’est là que pour mettre en coupe
réglée les Nations et les Identités, conjuguée
au jeu du yo yo économique qui permet de
terrasser les économies nationales pour le plus
grand bien du parasitisme couronné. Ainsi et
l’Etre en ce sein doit-il Etre ou apparaître ?
Le choix est vite fait pour la majorité inculte
qui se réfugie dans le cœur matriciel de cette
hérésie idéologique, attendant tout, ne faisant
rien, se laissant bercer par cette vague
étronique qui laboure toute vitalité, destitue
toute agressivité, nomenclature toute
détermination dans ce vide abstrait qu’est
l’illusion, splendeur du non-être à laquelle se
raccroche du plus bas niveau au plus haut niveau
chaque couche de la société pour profiter,
profiter de ce sursis qui ne durera qu’une heure
seulement face à l’éternité, car dans la raison
et afin de ne pas douter de la dérision de ce
monument d’hypocrisie qu’est le mondialisme,
qu’est ce donc à l’échelle du temps ? La terre à
quatre milliards cinq cent millions d’années et
est au milieu de sa course, l’Humanité bien plus
que ce quelque million d’année qu’on lui
instruit de force afin qu’elle ne sache pas
qu’elle vient de l’Univers et y retournera, bien
avant que ne s’amorce le processus de géante
rouge de notre Soleil qui détruira toute planète
de notre système, donc qu’est ce que ces trente
ans de mondialisme dans cette aventure cent
millions de fois plus importante de la Vie, de
la Vie dont nous sommes partie constituante et
règne en ce lieu et en ce temps : rien, un
épiphénomène qui s’auto détruira sans aucun
problème car ne portant en lui que les racines
de la destruction et non de la construction !
Alors fatalité, encore dans les croyances toutes
faites, dans la culpabilisation à outrance, dans
ce jeu de barrières mentales qui font réagir les
êtres humains comme les chiens de Pavlov ?
Resituons les problèmes là où ils sont et
dressons nous contre l’œuvre de destruction que
nous subissons actuellement ! Appuyons nous sur
la réalité fondamentale et non ses
abstractions ! L’Etre Humain n’est pas le fruit
d’un hasard, mais d’une nécessité, il se doit de
conquérir sa Liberté afin d’apprendre et
l’autonomie et la maîtrise tant de lui-même que
de son environnement, il n’est pas né en ce
lieu, et poursuis sa route vers cet Univers
qu’il doit conquérir pour faire survivre la Vie
dont il est le substrat, au même titre que de
nombreuses formes par les milliards de galaxies
qui constituent un univers parmi les milliards
d’univers qui coexistent. Il n’a pas à rougir de
l’Histoire qu’il a bâtie sur cette planète,
conquérant de toujours, balayant devant lui dans
une autorité morale les scories déployées qui
n’étaient sources que d’involution et non
d’évolution. Aujourd’hui il est confronté au
vide du parasitisme le plus aigu qui soit, un
nid de microbes assoiffés de prébendes,
multiforme à la ressemblance du sida,
conquérants de la destruction pour le profit
immédiat, conquérants sans aristocratie sinon
celle qu’ils se donnent et qui n’est qu’apparat
inculte et barbare. La sauvagerie est revenue,
vengeance des jaloux, des cupides, des
arrogants, vengeance de la nullité, turpide
galactique du néant, venant du néant, qui
retournera au néant, si et si seulement l’Etre
Humain se dresse en ses racines pour faire
barrage à l’insanité involutive qu’elle
conditionne !
Car il n’y a pas de fatalité à la misère
intellectuelle, physique, spirituelle,
économique, identitaire, nationale,
internationale, il n’y a que la lâcheté
insinuée, profilée, adulée que chacun porte
comme un voile sur le visage, qu’il faut
combattre en soi même pour se réveiller de cette
illusion qui parade et la combattre comme elle
doit être combattue, sur son propre terrain en
son propre terrain, là où elle s’attend le moins
à être combattu, en étant debout et non en
reptation, en initiant le réel face au virtuel,
en dénonçant la nocivité réelle du non-être
envers l’Etre Humain, en se battant avec cette
arme qui ne peut être détruite, le Verbe, le
Verbe en chaque discours déployant ses
oriflammes partout, en tout lieu, en chaque
conjugaison de l’imposture triviale qui se veut
dominante, en chaque particule de son pouvoir,
en son pouvoir lui-même, afin de rendre
l’honneur perdu de milliards d’Etres Humains, au
champ de ruine que le mondialisme impose, un
honneur multimillénaire qui se cache, et qui
doit à la pleine lumière se révéler afin de
terrasser l’ignominie, cette idéologie de la
mort qui se voudrait maître à penser d’une non
humanité, pavlovienne, esclave de sa propre
déréliction ! La fatalité n’existe pas, je ne le
répéterai jamais assez, elle n’est que le sauf
conduit de la peur engendrée par un système
concentrationnaire duquel il faut l’extirper
afin que ce système s’écroule sur lui-même et
disparaisse à jamais de l’avenir Humain qui
n’est pas celui de cette idéologie répugnante
qui ce jour parade.
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