Au delà du factice et des
apparences, au delà de l'illusion et de ses
arcanes, au delà des leurres et de leurs
désinences, au delà des mensonges et de
l'ignorance, la réalité se présente, sans fards,
sans rubis, sans émotion, sans lamentation, sans
génuflexion, sans reptation, la réalité vivante
de ce jour, en ce lieu, en ce temps, en cette
seconde qui vous voit lire ce texte, sans
déformation,
sans régulation, sans amorphie. Qu'en est-il
donc?
De ce monde: la Vie en
son espace est
symbole d'outrage légiféré, par mise en place
d'un couronnement létal, celui de puissances
organisées qui n'ont l'intelligence du vivant,
mais contre ordre de sa parure l'intelligence de
la morbidité dans tout ce qu'elle a de
contingente! Il y a là mesure du déploiement, la
constitution d'un ordre qui ne peut être que
dictatorial par essence, car forgé, non pour la
défense de l'humain, non pour la défense de
l'humanité, mais pour la défense de privilèges
qui ne naissent de la capacité, mais de la
matérialité la plus
avide,
une matérialité basée sur l'atrophie des valeurs
humaines, aseptisée de tout sentiment humain,
n'ayant pour but que l'asservissement de
l'humanité, prise ici comme confort des dits
privilèges et de leurs aisances
coutumières,
l'asservissement et la reptation.
Concordance la réalité
nous renvoi l'image de cette hérésie qui culmine
aujourd'hui le langage anémié de l'humain.
Anathème,
pulsation vitale et coordonnée sans
villégiature, le sang des échanges nationaux et
internationaux, flux de biens et de services,
flux de monnaies, flux de rouages secondaires et
tertiaires dont se nourrissent les parasites de
ce temps, ici et là, corrupteurs de toutes
rives, assoiffés de prébendes et d'autorités
dans la déification des marchés qu'ils
construisent et détruisent à souhait afin de
multiplier leurs profits nébuleux qui ne sont
seulement objets de convoitises mais armes de
pouvoirs tutélaires initiés. Nous y sommes dans
ce paraître et cet apparaître faisant fi de
l'individualité comme de la communauté humaine.
Il n'y a de place dans ce sommet du matérialisme
pour la moindre humanité. Le siphon de la
létalité est là, et dicte la pensée, cette
pensée unique orientée non vers l'harmonie, non
vers la compétence, mais vers la multiplication
de satiétés qui ne se contentent mais désormais
cherchent par tous les moyens à imposer leurs
règles. Et ces règles sont simples et
dépendantes.
Elles partent d'un principe clair qui ce jour
n'étonne plus personne, le profit à tout prix!
Sans considération de l'humain, dont on voudrait
tant se passer, cet humain ignoble qui ose
réclamer un salaire, alors que dans le droit de
cette nomenklatura il est et doit rester un
esclave que l'on jette après usage, dans le
fumier des immondices qui correspond à l'image
même de celles et ceux qui se partagent cette
dantesque aventure du non-être, de la
non-humanité, qui expriment la réalité de ce
jour. Parade sans lâchetés faut-il le dire, d’un
courage consternant dans le limon de cette terre
où l’on voit désormais deux castes se déployer,
la caste des esclaves et la caste des maîtres,
non les maîtres de la sagesse, mais les maîtres
de ces flux dénommés, ces flux centralisés et
autoritaires qui déplacent le pouvoir vers cette
nébuleuse de hiérophantes qui dirige le devenir
de ce monde dans la lie la plus putride, agitant
le politique comme on anime des pantins qui sous
le masque de la démocratie obéissent au doigt et
à l’œil de cette caste qui légifère le droit,
qui insinue le temps, et déjà au-delà du pouvoir
sur le généré se voudrait pouvoir de
l’individué.
Il n’y a pas de demie mesure dans cette folie,
pas de conséquence autre que celle de la
létalité globale, de la nature profonde de
l’Humain, de l’Humanité elle-même, de ses
associations, de ses regroupements, de ses
forces politiques, de ces stances
métapolitiques. L’agression est permanente,
constante d’une civilisation factice qui
s’octroie de vie comme de mort sur chaque Etre
Humain, qui se doit d’être non-être s’il veut
survivre, car la Vie ce jour est celle de
l’esclave dans l’empire décadent de Rome, lié au
désir d’une populace de parasite qui s’invitent
au débat de l’avenir comme des puces sur le dos
d’un animal afin que complaise chacun à la
destinée qu’elle provoque. Et cette provocation
s’initie, regardez là sans baisser les yeux,
sans avoir peur, sans être consterné de terreur.
La voici en chaque mouvement politique, lieu
tout d’abord de la disparition des existants bio
géographiques, des Ethnies, des Peuples, des
Races, de l’Humanité, au profit de ce tableau
sombre qui pullule les agonies individuelles
dans un ballet morbide dont les convenances
cherchent à toucher la sensibilité naturelle de
chaque être Humain, du moins ce qu’il en reste
lorsqu’on regarde le comportement de l’individué
devant les menaces, celui qui ferme les yeux
pour ne pas voir, celui qui se cache la tête
sous le sable pour accroire, celui qui n’est
plus que lâcheté, larve éphémère, choix de la
populace assoiffée d’or et d’argent, de devises
et de cordonites. Nous ne parlerons jamais ici
d’Aristocratie, car elle n’est plus que vide
devant le flot de prébendiers qui désormais
maîtrisent les constructions créées qui sont
vides de leurs succès antique.
Poursuivons ce recours au réel et non à des
utopies pernicieuses qui sont le voile des
illusions de nos contemporains, voici qu’en la
létalité des existants biogéographiques, on
assiste désormais à la mise à mort des Régions,
des Nations, et de ces Inter nations qui
auraient pu faire accéder l’Humain à une
incarnation, toutes phases d’un crime organisé,
d’un génocide programmé de toutes phases de
l’Humain, ses racines, son avenir comme son
devenir, floués par la prétention des précités
qui font trôner au sein d’organismes mondiaux
leurs mentors tous dévoués à leur cause de
destruction, se voyant déjà resplendissant de
pouvoirs alors qu’ils ne sont que des nains
dédiés au service de l’Or, de la pluviosité
granitique de la folie qui ne s’émonde mais
grossie de son importance explose dans chaque
état, dans chaque constitution, dans chaque
conjonction vivante, afin d’y faire reluire le
ver de la discorde, de l’atrophie, de la
vermine, cette vermine qui bave comme le chien
atteint de la rage, la rage de détruire, la rage
globale et globalisante qui atteint de ses
sarcasmes toutes faces de l’Humain et que
l’Humain ne regarde pas, tellement la peur est
désormais son antre, pauvre être malmené qui
n’est plus capable de se dresser et tel l’animal
se complait dans la purulence, dans ses propres
excréments, dans cette pourriture qu’il
construit et acclame avec une joie qui laisse
perplexe quant à la nature qui le devise dans ce
rut bubonique dont il est placenta, cosmétique,
déjà savon, prêt à encourager sa propre
destruction afin de complaire les pustules
mobiles qui noient les Etats de par ce Monde !
Etat d’esprit à la pensée unique qui fulgure,
ici, nul lieu pour la culture, ici nul lieu pour
les Arts, ici nul lieu pour la philosophie, ici
nul lieu pour les sciences, ( heureusement que
résistent en chacune de ses branches un certain
nombre qui ne se laisse pas conter par les
errances devenues et que le progrès se poursuit
malgré toutes ces insanités), c’est à qui
enchantera le plus la débilité profonde, maître
à penser de ce monde, maître à penser qui jongle
sur le firmament des vanités, de la paresse
mentale, de la folie pure, accentuant ainsi la
disparition des racines des Ethnies, des
Peuples, des Races et de l’Humanité, pour
laisser place à ce désert complet où l’on voit
pavaner des adultes incultes, des enfants ne
sachant que prononcer une cinquantaine de mots,
des infantiles majeurs qui, sans repères, sans
racines, deviennent les armées d’esclaves tant
souhaitées, ces armées à qui l’on vend la
sécurité, le plaisir, mais surtout l’euthanasie,
l’avortement, le fichage depuis l’âge de treize
ans, l’assassinat intellectuel, l’assassinat
spirituel, pauvres armées destinées à la
culpabilisation journellement assénée, en chaque
bribe de conversation, en chaque bribe délivrée
par ces médias aux ordres qui sont les fourriers
de cette débilité militante qui trouve chorus
dans la médiocrité de prébendiers assoiffés de
pouvoirs, mannes des âges qui se vivent et dans
lesquels nous voyons chavirer chaque Peuple,
dans lesquels nous voyons se lamenter tout être
par ce temps, ajusté dans ce parfait de la
culpabilisation, l’écologie politique, chantre
de la mort par excellence, ignare de la réalité
vivante qui ne sait pas encore que l’Etre Humain
est partie intégrante de la Nature, mais qui
trop lâche pour affronter la réalité ne voudrait
que trop le détruire pour mieux se détruire,
comble du suicide enchanté par les prêtres de
Thanatos qui rugissent comme des moineaux près
des cénacles politiques afin d’obtenir ce qu’ils
sont incapables de gagner avec leur sueur et
leur sang, le pouvoir de se nourrir, parasites
absolument totaux qui ne servent à rien, sinon
ces pouvoir dont les caisses vides, car les
caisses des Etats sont vides ne l’oubliez
jamais, peuvent se renflouer grâce à leurs éco
taxes !
Ne vous cachez pas les yeux, regardez ce que
chacun est devenu dans le cadre de cet ordre qui
avance, et qu’il serait temps de nommer, le
mondialisme, sans fards, dont les soldats sont
ces hommes de mains qui grouillent dans chaque
Etat, qui puisent leurs données dans chaque
société de pensée totalement phagocytés par les
membres de cet ordre, pauvres sociétés de
pensées qui aujourd’hui prêterai à rire si ce
n’était à pleurer de voir leurs idées soumises à
cette purulence qui ne connaît de limite que
dans la dictature qu’elle impose, cette
dictature ou chacun se retrouve conditionné,
larve parmi les larves, tributaire et soumis,
incapable de se mouvoir, lié et liant de ce
fardeau qui s’arroge tous les droits et aucun
devoirs, délaissant à la famine la moitié de
l’Humanité, fondant et détruisant chaque pouvoir
pour instaurer son propre pouvoir, le pouvoir de
la mort, instituant et stigmatisant toute pensée
contraire à sa pensée unique, cette pensée
abjecte qui ruisselle ses flots de morts comme
autant de trophées, morts des Nations et des
Peuples, morts par milliers, morts à venir qui
quémandent et implorent au lieu de se redresser
et de fouler aux pieds l’ignominie qui les
soumets ! Au nom de quoi ? Toujours au nom du
Pouvoir, non le Pouvoir permettant de hisser
l’Humanité au sommet, mais le Pouvoir de
détruire l’Humanité pour mieux profiter de sa
mise en esclavage conditionnée, acclamée,
congratulée !
Ne vous leurrez la voici la réalité dans tout ce
qu’elle a de plus révélatrice, au-delà du
clinquant, au-delà du factice, au-delà de ces
illusions que l’on vous distille du matin au
soir dans vos journaux, dans vos hebdomadaires,
dans vos mensuels, sur vos écrans de cinéma,
sur vos écrans de télévision, propagande
répugnante qui n’a pour objet que votre mise en
esclavage, atteinte formidable à la Liberté que
vous ne percevez même plus, tant vous êtes guidé
par les miasmes qui vous sont viviparités de
chaînes en lesquelles vous vous inféodez, vous
vous complaisez, dans la croyance
institutionnalisée que vous ne pouvez rien faire
pour changer cet état de fait, dont on vous fait
accroire que c’est la marche de l’Histoire,
alors qu’elle n’est qu’un épiphénomène de
l’Histoire, car le mondialisme n’est rien, rien
qu’une tentative de mise en esclavage de
l’Humanité, rien qu’un régime totalitaire issue
de l’esprit le plus dénaturé qui soit, celui du
communisme déguisé sous les hospices du nazisme
le plus patenté et le plus autoritaire, thèse,
antithèse, synthèse des plus abjectes
composantes des idéologies qu’ait engendré
l’humain, qui telles les précédentes devra
disparaître, car annonce de la destruction de
l’Humanité dans sa globalité, synthèse défendue
par tout ce que le gauchisme révolutionnaire de
ce jour, se cachant sous le libéralisme, a pu
enfanter qu’il soit Communiste, Maoïste,
Troskyste, Léniniste, Gramciste, car ne croyez
un seul instant, que se défendent dans le cadre
du mondialisme la moindre opinion de Droite,
toutes les idées et tous les détenteurs du
pouvoir de ce jour sont à gauche, même s’ils
s’en défendent, et en aucun cas à Droite, cette
Droite qui les rejette en totalité, car elle
sait que leur œuvre est une œuvre de mort et non
de Vie, en témoignent les cent millions de morts
du communisme, les millions de morts du nazisme,
idéologies dont la première synthèse en 1940 est
enfin réalisée ce jour !
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