HARMONIA UNIVERSUM  ®
La Création en Action ®
Home Contact us Feedback

HARMONIA UNIVERSUM ®

Présente

NID D'AIGLES

II Réalité
P I II III IV V c      
 

 

Au delà du factice et des apparences, au delà de l'illusion et de ses arcanes, au delà des leurres et de leurs désinences, au delà des mensonges et de l'ignorance, la réalité se présente, sans fards, sans rubis, sans émotion, sans lamentation, sans génuflexion, sans reptation, la réalité vivante de ce jour, en ce lieu, en ce temps, en cette seconde qui vous voit lire ce texte, sans déformation, sans régulation, sans amorphie. Qu'en est-il donc?

 

De ce monde: la Vie en son espace est symbole d'outrage légiféré, par mise en place d'un couronnement létal, celui de puissances organisées qui n'ont l'intelligence du vivant, mais contre ordre de sa parure l'intelligence de la morbidité dans tout ce qu'elle a de contingente! Il y a là mesure du déploiement, la constitution d'un ordre qui ne peut être que dictatorial par essence, car forgé, non pour la défense de l'humain, non pour la défense de l'humanité, mais pour la défense de privilèges qui ne naissent de la capacité, mais de la matérialité la plus avide, une matérialité basée sur l'atrophie des valeurs humaines, aseptisée de tout sentiment humain, n'ayant pour but que l'asservissement de l'humanité, prise ici comme confort des dits privilèges et de leurs aisances coutumières, l'asservissement et la reptation.

 

Concordance la réalité nous renvoi l'image de cette hérésie qui culmine aujourd'hui le langage anémié de l'humain. Anathème, pulsation vitale et coordonnée sans villégiature, le sang des échanges nationaux et internationaux, flux de biens et de services, flux de monnaies, flux de rouages secondaires et tertiaires dont se nourrissent les parasites de ce temps, ici et là, corrupteurs de toutes rives, assoiffés de prébendes et d'autorités dans la déification des marchés qu'ils construisent et détruisent à souhait afin de multiplier leurs profits nébuleux qui ne sont seulement objets de convoitises mais armes de pouvoirs tutélaires initiés. Nous y sommes dans ce paraître et cet apparaître faisant fi de l'individualité comme de la communauté humaine. Il n'y a de place dans ce sommet du matérialisme pour la moindre humanité. Le siphon de la létalité est là, et dicte la pensée, cette pensée unique orientée non vers l'harmonie, non vers la compétence, mais vers la multiplication de satiétés qui ne se contentent mais désormais cherchent par tous les moyens à imposer leurs règles. Et ces règles sont simples et dépendantes.

 

Elles partent d'un principe clair qui ce jour n'étonne plus personne, le profit à tout prix! Sans considération de l'humain, dont on voudrait tant se passer, cet humain ignoble qui ose réclamer un salaire, alors que dans le droit de cette nomenklatura il est et doit rester un esclave que l'on jette après usage, dans le fumier des immondices qui correspond à l'image même de celles et ceux qui se partagent cette dantesque aventure du non-être, de la non-humanité, qui expriment la réalité de ce jour. Parade sans lâchetés faut-il le dire, d’un courage consternant dans le limon de cette terre où l’on voit désormais deux castes se déployer, la caste des esclaves et la caste des maîtres, non les maîtres de la sagesse, mais les maîtres de ces flux dénommés, ces flux centralisés et autoritaires qui déplacent le pouvoir vers cette nébuleuse de hiérophantes qui dirige le devenir de ce monde dans la lie la plus putride, agitant le politique comme on anime des pantins qui sous le masque de la démocratie obéissent au doigt et à l’œil de cette caste qui légifère le droit, qui insinue le temps, et déjà au-delà du pouvoir sur le généré se voudrait pouvoir de l’individué.

 

Il n’y a pas de demie mesure dans cette folie, pas de conséquence autre que celle de la létalité globale, de la nature profonde de l’Humain, de l’Humanité elle-même, de ses associations, de ses regroupements, de ses forces politiques, de ces stances métapolitiques. L’agression est permanente, constante d’une civilisation factice qui s’octroie de vie comme de mort sur chaque Etre Humain, qui se doit d’être non-être s’il veut survivre, car la Vie ce jour est celle de l’esclave dans l’empire décadent de Rome, lié au désir d’une populace de parasite qui s’invitent au débat de l’avenir comme des puces sur le dos d’un animal afin que complaise chacun à la destinée qu’elle provoque. Et cette provocation s’initie, regardez là sans baisser les yeux, sans avoir peur, sans être consterné de terreur. La voici en chaque mouvement politique, lieu tout d’abord de la disparition des existants bio géographiques, des Ethnies, des Peuples, des Races, de l’Humanité, au profit de ce tableau sombre qui pullule les agonies individuelles dans un ballet morbide dont les convenances cherchent à toucher la sensibilité naturelle de chaque être Humain, du moins ce qu’il en reste lorsqu’on regarde le comportement de l’individué devant les menaces, celui qui ferme les yeux pour ne pas voir, celui qui se cache la tête sous le sable pour accroire, celui qui n’est plus que lâcheté, larve éphémère, choix de la populace assoiffée d’or et d’argent, de devises et de cordonites. Nous ne parlerons jamais ici d’Aristocratie,  car elle n’est plus que vide devant le flot de prébendiers qui désormais maîtrisent les constructions créées qui sont vides de leurs succès antique.

 

Poursuivons ce recours au réel et non à des utopies pernicieuses qui sont le voile des illusions de nos contemporains, voici qu’en la létalité des existants biogéographiques, on assiste désormais à la mise à mort des Régions, des Nations, et de ces Inter nations qui auraient pu faire accéder l’Humain à une incarnation, toutes phases d’un crime organisé, d’un génocide programmé de toutes phases de l’Humain, ses racines, son avenir comme son devenir, floués par la prétention des précités qui font trôner au sein d’organismes mondiaux leurs mentors tous dévoués à leur cause de destruction, se voyant déjà resplendissant de pouvoirs alors qu’ils ne sont que des nains dédiés au service de l’Or, de la pluviosité granitique de la folie qui ne s’émonde mais grossie de son importance explose dans chaque état, dans chaque constitution, dans chaque conjonction vivante, afin d’y faire reluire le ver de la discorde, de l’atrophie, de la vermine, cette vermine qui bave comme le chien atteint de la rage, la rage de détruire, la rage globale et globalisante qui atteint de ses sarcasmes toutes faces de l’Humain et que l’Humain ne regarde pas, tellement la peur est désormais son antre, pauvre être malmené qui n’est plus capable de se dresser et tel l’animal se complait dans la purulence, dans ses propres excréments, dans cette pourriture qu’il construit et acclame avec une joie qui laisse perplexe quant à la nature qui le devise dans ce rut bubonique dont il est placenta, cosmétique, déjà savon, prêt à encourager sa propre destruction afin de complaire les pustules mobiles qui noient les Etats de par ce Monde !

 

Etat d’esprit à la pensée unique qui fulgure, ici, nul lieu pour la culture, ici nul lieu pour les Arts, ici nul lieu pour la philosophie, ici nul lieu pour les sciences, ( heureusement que résistent en chacune de ses branches un certain nombre qui ne se laisse pas conter par les errances devenues et que le progrès se poursuit malgré toutes ces insanités), c’est à qui enchantera le plus la débilité profonde, maître à penser de ce monde, maître à penser qui jongle sur le firmament des vanités,  de la paresse mentale, de la folie pure, accentuant ainsi la disparition des racines des Ethnies, des Peuples, des Races et de l’Humanité, pour laisser place à ce désert complet où l’on voit pavaner des adultes incultes, des enfants ne sachant que prononcer une cinquantaine de mots, des infantiles majeurs qui, sans repères, sans racines, deviennent les armées d’esclaves tant souhaitées, ces armées à qui l’on vend la sécurité, le plaisir, mais surtout l’euthanasie, l’avortement, le fichage depuis l’âge de treize ans, l’assassinat intellectuel, l’assassinat spirituel, pauvres armées destinées à la culpabilisation journellement assénée, en chaque bribe de conversation, en chaque bribe délivrée par ces médias aux ordres qui sont les fourriers de cette débilité militante qui trouve chorus dans la médiocrité de prébendiers assoiffés de pouvoirs, mannes des âges qui se vivent et dans lesquels nous voyons chavirer chaque Peuple, dans lesquels nous voyons se lamenter tout être par ce temps, ajusté dans ce parfait de la culpabilisation, l’écologie politique, chantre de la mort par excellence, ignare de la réalité vivante qui ne sait pas encore que l’Etre Humain est partie intégrante de la Nature, mais qui trop lâche pour affronter la réalité ne voudrait que trop le détruire pour mieux se détruire, comble du suicide enchanté par les prêtres de Thanatos qui rugissent comme des moineaux près des cénacles politiques afin d’obtenir ce qu’ils sont incapables de gagner avec leur sueur et leur sang, le pouvoir de se nourrir, parasites absolument totaux qui ne servent à rien, sinon ces pouvoir dont les caisses vides, car les caisses des Etats sont vides ne l’oubliez jamais, peuvent se renflouer grâce à leurs éco taxes !

 

Ne vous cachez pas les yeux, regardez ce que chacun est devenu dans le cadre de cet ordre qui avance, et qu’il serait temps de nommer, le mondialisme, sans fards, dont les soldats sont ces hommes de mains qui grouillent dans chaque Etat, qui puisent leurs données dans chaque société de pensée totalement phagocytés par les membres de cet ordre, pauvres sociétés de pensées qui aujourd’hui prêterai à rire si ce n’était à pleurer de voir leurs idées soumises à cette purulence qui ne connaît de limite que dans la dictature qu’elle impose, cette dictature ou chacun se retrouve conditionné, larve parmi les larves, tributaire et soumis, incapable de se mouvoir, lié et liant de ce fardeau qui s’arroge tous les droits et aucun devoirs, délaissant à la famine la moitié de l’Humanité, fondant et détruisant chaque pouvoir pour instaurer son propre pouvoir, le pouvoir de la mort, instituant et stigmatisant toute pensée contraire à sa pensée unique, cette pensée abjecte qui ruisselle ses flots de morts comme autant de trophées, morts des Nations et des Peuples, morts par milliers, morts à venir qui quémandent et implorent au lieu de se redresser et de fouler aux pieds l’ignominie qui les soumets ! Au nom de quoi ? Toujours au nom du Pouvoir, non le Pouvoir permettant de hisser l’Humanité au sommet, mais le Pouvoir de détruire l’Humanité pour mieux profiter de sa mise en esclavage conditionnée, acclamée, congratulée !

 

Ne vous leurrez la voici la réalité dans tout ce qu’elle a de plus révélatrice, au-delà du clinquant, au-delà du factice, au-delà de ces illusions que l’on vous distille du matin au soir dans vos journaux, dans vos hebdomadaires, dans  vos mensuels, sur vos écrans de cinéma, sur vos écrans de télévision, propagande répugnante qui n’a pour objet que votre mise en esclavage, atteinte formidable à la Liberté que vous ne percevez même plus, tant vous êtes guidé par les miasmes qui vous sont viviparités de chaînes en lesquelles vous vous inféodez, vous vous complaisez, dans la croyance institutionnalisée que vous ne pouvez rien faire pour changer cet état de fait, dont on vous fait accroire que c’est la marche de l’Histoire, alors qu’elle n’est qu’un épiphénomène de l’Histoire, car le mondialisme n’est rien, rien qu’une tentative de mise en esclavage de l’Humanité, rien qu’un régime totalitaire issue de l’esprit le plus dénaturé qui soit, celui du communisme déguisé sous les hospices du nazisme le plus patenté et le plus autoritaire, thèse, antithèse, synthèse des plus abjectes composantes des idéologies qu’ait engendré l’humain, qui telles les précédentes devra disparaître, car annonce de la destruction de l’Humanité dans sa globalité, synthèse défendue par tout ce que le gauchisme révolutionnaire de ce jour, se cachant sous le libéralisme, a pu enfanter  qu’il soit Communiste, Maoïste, Troskyste, Léniniste,  Gramciste, car ne croyez un seul instant, que se défendent dans le cadre du mondialisme la moindre opinion de Droite, toutes les idées et tous les détenteurs du pouvoir de ce jour sont à gauche, même s’ils s’en défendent, et en aucun cas à Droite, cette Droite qui les rejette en totalité, car elle sait que leur œuvre est une œuvre de mort et non de Vie, en témoignent les cent millions de morts du communisme, les millions de morts du nazisme, idéologies dont la première synthèse en 1940 est enfin réalisée ce jour !

 

 

 
NID D'AIGLES

Préambule

Virtualité

Réalité

Fatalité

Unicité

Destinée

Conclusion

 
Vincent Thierry

ISBN 2-87782-244-3e

Pour aller plus loin

 Théorie Générale de l’Universalité

Nid de Faucons

Nid de Vautours

Nid de Scorpions

De Vincent Thierry.

Copyright  © Patinet Thierri. All rights reserved