Consensus
Le consensus jaillit, fertile, pour rendre à la
poussière la duplicité, la morgue, le
déshonneur, la féodalité, l’errance, ce
pourrissement des sociétés atteintes de la
pandémie de l’usure et de ses féaux, tout un
phasme de l’humanité qui n’a rien d’humain, mais
tout de la bestialité accouplée, vivipare
répugnance qui jouit des heurs et malheurs de
l’humain, jouant avec lui de la carotte et du
bâton, avec cette dextérité propre à celles et
ceux qui ont peur de perdre la main, cette main
qu’ils ont reprise en assassinant l’aristocratie
de tous les pays, cette main dont ils se sont
servis pour asseoir leur dictature infâme,
fomentant deux guerres mondiales pour que la
jeunesse Européenne disparaisse dans les
cendres, que cette énergie se dilue dans les
étoiles afin de taire le cœur des Nations, le
corps des Identités, la force des Etats, à leur
profit ignoble, ce profit allant jusqu’à
l’élimination physique par ses deux doigts de
leur même main que furent le national-socialisme
et le communisme, œuvres de l’errance et de ses
incommensurables incapacités créatives, car
enfin, où est la création dans la destruction de
toutes les valeurs, ces valeurs qu’ils
récupèrent en plagiaires habituels, ces valeurs
qu’ils déforment et qui se dissolvent dans leur
larvaire définition.
Faut-il le croire ? Non, bien entendu, car les
valeurs sont éternelles et ont des milliards
d’années là où veut se substituer un quorum de
lois, plagiées elles-mêmes, écrins sans
lendemain dans ce cri de l’Humain qui voit
appliquer les Lois uniquement par les esclaves,
tandis que les féaux au-dessus de ces lois
s’arrogent tous les pouvoirs de leur
contournement. Les civilisations Humaines en
sont témoignage, de par l’Histoire Universelle
qui voit saillir chaque épopée par la lie et ses
émoluments, cette lie qui n’a que le profit pour
chemin, ce profit de la bête qui n’est pas
devenue Humaine, rameau tronqué nécessaire il
faut bien le voir pour qu’enfin la Civilisation
éclose dans sa beauté au-delà de ce brouillard
dans lequel se perdent tant d’Etres-Humains,
aveuglés par les troupeaux qui parodient la
réalité et devant lesquels ils se prosternent en
croyant leurs mensonges, leurs illuminations
dévoyées, leur désespérante et affligeante
perversion, celle du clinquant, sans humilité,
sans haut-le-cœur, tant la matérialité dans leur
écrin rutile des mille feux de l’ombre en
laquelle ils se noient.
Enluminures, vacuité, correspondance de toutes
infamies, le tableau se dresse émerveillé par la
soldatesque hurlante des cohortes médiatiques
aux ordres qui se louangent dans l’étronisme
invariant. Manifestation dithyrambe de cette
fosse d’aisance en laquelle ces comédiens que
l’on appelle des journalistes se complaisent,
chacun y va de son discours pour glorifier
l’apparat trouble, les conditions déterminantes
qui ne peuvent être sursis, dont l’obligatoire
est maître à penser, sans un seul instant
remettre en cause l’admonestation qui vient de
leurs maîtres à danser. Ici se tient l’arme qui
se voudrait fatale de la bestialité, l’accroire,
la parade, le tempérament de la luxure, le
désordre de l’image comme du son, la
vingt-cinquième image elle-même, et dans le son
la monocorde pensée de la pourriture qui se
fraie un chemin, croyant galvaniser les foules
dans ce chemin de la lie qui se veut le
renouveau de ce monde, ce nouveau désordre
mondial qui veut à tout prix configurer, qui
veut à tout prix imposer, qui veut, veut encore
pousser dans ses derniers retranchements
l’Humain afin que plus vil qu’un singe, il
demeure l’esclave consentant que ce désordre
attend pour se parer de toutes les limpidités.
Eau glauque qui ne sera jamais l’Esprit
au-dessus des eaux, eau sale d’égout venue qui
retournera aux égouts tant sa poisseuse
définition est rutilance de cette déchéance qui
se veut couronnement, la déchéance de tout un
chacun, œuvrant et œuvré pour le seul profit de
l’usure et de ses métastases, cette bucolique
maniaquerie de l’insatisfaction, préau de toutes
les denrées qui servent ce profit, de l’ultime
correspondance du souffreteux à qui tout le
monde en veut, car finalement n’est-ce pas le
meilleur moyen de faire passer l’immondice que
de faire accroire que l’immondice c’est l’autre,
ce méchant personnage qui ne pense qu’en termes
de racines et non pas en termes d’errance, cet
individu particulièrement belliqueux qui
« veut » remettre à sa place l’errance et que
l’on traduit en justice en le déguisant de tous
les noms en « isme » qui ne peuvent se traduire
tant leur liquidité est source de tous les
émoluments et de toutes les gratifications de ce
pourrissement qui ternie toutes nos Nations,
livrées à la Gestapo de la pensée, livrées pieds
et poings liés à la Tcheka du mensonge, la
raison comme la pensée ce jour devant se
traduire par la prosternation à ce qui n’est pas
soi même. N’y a-t-il pas là plus belle dictature
que celle-ci ? Une dictature qui ne trompe plus
personne fort heureusement dans ce monde qui
n’est ni lâche, ni à l’agonie.
Consensus donc devant le fardeau de l’ignominie
qui ronge la moelle des Peuples, consensus
mondial, qui voit chaque Pays sous domination de
roitelets, de tyrans, de domestiques de la
pensée unique, sourire de cet aréopage qui se
veut le monde alors qu’il n’est que destruction
du monde, aréopage de persifleurs parlant au
public comme on parle à un enfant de cinq ans,
si tant la domesticité est son élément, si tant
sa parure est spongieuse et multiforme, revêtant
les habits de cette droite, de cette gauche, de
cette ahurissante écologie, de ces extrêmes de
gauche comme de droite, qui s’agitent en doigts
de la même main, cette main qui est celle de cet
aréopage qui a décidé depuis des centaines
d’années de contraindre l’Humanité au pur
esclavage, quitte à la détruire par ses venins,
ses officines véreuses qui inventent des virus
puis les diffusent avant que de faire payer les
vaccins qui permettront de les éradiquer. Nul
aujourd’hui en conscience n’est aveugle, et
lorsque tout un chacun étudie avec sagesse tous
les noms circulants des conseils
d’administration, et les noms des actionnaires,
ainsi que leurs liaisons, nul ne peut plus être
endormi par cette vaste chape de plomb qui
emprisonne le destin de l’Humanité qui n’est pas
celui de devenir esclave de cette machinerie
utopique et inverse.
La machinerie économique, mais de quelle
économie parlons-nous ? Celle tendant à
l’épanouissement de l’Humanité ou bien celle
tendant à sa réduction en esclavage ? Je n’ai
ici nul besoin de vous faire un dessin ! Si l’on
observe la crise économique créée de toutes
pièces par cette oligarchie afin de mettre la
main sur ce petit monde, le laisser-aller du
parasitisme, qui, sans foi, ni loi, s’est
précipité sur tout ce qu’il était capable
d’imaginer, bien entendu des équations
névrotiques composées sur la virtualité qui ne
se fondent que sur la poussière, nous pouvons
constater qui est la proie et qui est le
chasseur. Et surplus de cette répugnance, on
observera avec une répulsion particulière, que
le parasitisme a été pour le moins remercié,
voyant les Etats saigner pour plusieurs
générations les Etres Humains de leur Peuple,
pour rembourser l’innommable, le vampirisme des
errants, de leurs matrices composites, ces
banques n’ayant pour dieu que l’usure et pour
conjonction que la destruction de tout ce qui
est Humanité.
Aidées en cela par le sommet de leur apothéose,
qui se fait nommer fonds monétaire
international, courroie de transmission aux
ordres n’ayant pour dynamisme que celui
d’épuiser les ressources Humaines de tous les
Pays afin de les rendre esclaves du nouveau
désordre mondial, ce désordre que l’on rejette
dans les Pays en révolution, ce désordre qui
continue à s’insinuer dans le corps des
gouvernements de transition de ces dits Pays,
gouvernements de dupes pour les dupes, dont les
Peuples ont compris les fondements et la
liturgie, cette liturgie de la prébende, cette
liturgie de l’esclavagisme à tout prix, qui
rendit honneur aux tyrans qui les dirigeaient,
tous valets de cet opprobre que la terre porte
comme un chancre. Bel univers bercé de ses
illusions qui croit encore faire face aux
Peuples qui se soulèvent, et qui ne sont dupes
de ce pourrissement et de cette altérité de
leurs forces vives, bel univers que celui-ci où
la fripouille se trouve un nid malgré le
renversement de ses valeurs nauséeuses.
Quelle expérience souveraine pour les Etres
Humains de voir à quel point le parasitisme
s’accroche à ses mandats, à ses délégués qu’il
déplace dans des pouvoirs qui ne lui
appartiennent plus, cela en serait risible si
c’était une farce, mais ce n’est pas une farce
et la mort frappe à tous les coins de rues, sans
un regard, sinon que quelques paroles stupides
maugrées par les tenanciers de cette caverne de
dupes qu’est devenue l’organisation des Nations
Unies, et quelques gouvernements qui n’ont
d’autres privilèges que de défendre le nouveau
désordre mondial qui leur échappe. Car les
Peuples sont dans la rue, et la violence
endémique des suppôts du nouveau désordre
mondial n’y changera rien, les Peuples n’ont pas
la moindre intention de se faire voler leur
heure de renaissance, par les satrapes qui
tirent les ficelles de leur désorientation. Une
désorientation qui sur la place publique
lentement prend place non pour y succomber mais
bien au contraire pour la vilipender.
Comme cela serait facile, si l’ignominie n’avait
frappé des milliers de fois, et tout un chacun
ne savait pas de quoi elle était faite ! Comme
ce serait facile de reprendre en mains ces
pouvoirs qui se délitent, ces pouvoirs qui
servent encore comme dans certains pays dont le
tyran a décidé que la révolution finirait dans
un bain de sang, et contre lequel à part
quelques paroles issues d’ailleurs des rangs
du nouveau désordre mondial, rien n’est
envisagé, strictement rien alors que ce nouveau
désordre mondial se permet des droits
d’ingérence pour créer de toutes pièces des pays
qui deviennent des plaques tournantes de la
drogue, de la prostitution des femmes et des
enfants, du trafic d’organes ! Que la honte
rejaillisse sur cette morgue qui n’est que
l’ombre de morgues où s’entassent les
combattants de la Liberté, qui à mains nues
vaincront leur hérésie, leur vassalité à l’usure
et tous ses tenanciers, car ces Pays comme les
nôtres n’ont pas a être soumis ou vassalisés par
leur horreur permissive, une horreur sans nom
qui chaque jour fait son œuvre, une horreur dont
l’Humanité jugera les actes dans ce tribunal de
l’Histoire avec un H majuscule qui ne pourra
être réécrite, tant le sang versé par
l’innocence conflue à l’abjection des défenseurs
de ce sida civique qui sévit actuellement dans
la plupart des pays de notre Monde, je dis
nôtre, car le Monde ne lui appartient pas et ne
lui appartiendra jamais, communisme comme
national socialisme, ses créations fictives ont
disparu et ce nouveau désordre mondial
disparaîtra comme eux, comme il disparaît
actuellement petit à petit des Pays qui se
délivrent de son omniprésence prégnante.
|