Etat des lieux
Reprenons en douceur, car je vois qu’il y en a
qui n’ont toujours pas compris, ce qui est
parfaitement normal compte tenu de la chape de
plomb qui pèse sur les cultures. Prenons donc la
place de ce vent porteur. Nous sommes donc ce
vent porteur qui doit asseoir sa dictature
totale sur ce petit monde et bien entendu cette
Humanité qui doit être à notre service exclusif
comme unité économique uniquement. Parenthèse,
il convient de bien comprendre que le temps
n’est pas un vecteur dans cette prise de pouvoir
mondial. Nous avons insinué tous les pouvoirs
par l’intermédiaire de notre monnaie, de
l’usure, notre Loi. Nous avons créé les
conditions de guerres qui permettent un
endettement considérable des Nations qui
désormais nous mangent dans la main pour ne pas
devenir ruine. Nous avons détruit les trônes qui
ne voulaient pas être à notre service et
phagocytés les trônes qui nous servent, nous
avons institutionnalisé notre référence, le
matérialisme sur chaque face de la planète que
nous exploitons à souhait, mais restent encore
les Peuples qu’il faut conditionner pour les
réduire à l’esclavage.
À ce titre rien que de très facile, il nous a
suffi de prendre en main tous les moyens de la
raison, la presse, l’édition, ce jour le cinéma,
la télévision, la radio, les moyens de diffusion
artistiques, galeries, espaces scéniques etc. Et
pour initier les conditions de l’acceptation des
Peuples à notre autorité, nous avons mis en
exergue des idées virtuelles permettant de
façonner les intelligences, l’accroire étant
d’une facilité congénitale avec le défaut de
culture. En premier lieu nous avons commis
politiquement le socialisme et le communisme qui
nous permettent une exploitation générale, en
second lieu nous avons inventé une psychologie
réductrice de l’Etre Humain à ses simples
besoins matériels, en troisième lieu nous avons
façonné une anthropologie anthropomorphisme
permettant de faire accroire en une unité
quelconque des Etres-Humains, sans considération
de leur réalité Humaine, de leurs ramifications,
soit leurs Races, leurs Ethnies, et bien entendu
culturellement nous avons œuvré afin de détruire
dans leur esprit la qualification de Peuple, et
ce principalement en détruisant leur Histoire,
car ces Peuples doivent faire place à l’individu
abstrait que nous pourrons exploiter
indéfiniment.
Vous commencez à comprendre mieux ? Oui, donc,
passons les périodes intermédiaires de ces deux
conflits mondiaux qui ont été à notre service,
passons sur la génération des camps de
concentration qui masquent les goulags avec leur
centaine de millions de morts et qui n’ont été
que les prolégomènes de ce que nous allons
instaurer d’une manière authentique sur toutes
surfaces de cette terre, passons donc sur les
centaines de millions de morts dont nous sommes
les auteurs, morts pour avoir pensé, morts pour
avoir respecté les valeurs de la tradition,
morts car ne complaisant pas à nos dires,
passons donc sur la dramaturgie qui nous était
nécessaire afin d’enfanter le maître mot de
notre discours conditionnel, la culpabilisation
de l’Etre-Humain, une culpabilisation infinie
qui nous permet d’en gérer le devenir, si tant
le syndrome que l’on appelle de Stockholm
aujourd’hui étant un principe fabuleux que le
Pavlovisme nous permet de mettre en valeur et de
porter à son paroxysme.
En ces élytres du passé notre asservissement ne
peut désormais être total que si nous réunissons
les conditions suivantes : crainte, désir, peur,
terreur, et bien entendu, ce qui est acquis,
culpabilisation. Nous devons donc créer des
conditions particulièrement houleuses sur toutes
les surfaces de cette terre, afin que les
Peuples se dissocient de leurs meneurs et en
appellent à notre raison pour les libérer de
cette houle, et nous acclamer en libérateur,
mais pour cela faut-il accentuer toutes les
dérives qui soient afin que le sentiment de
mal-être devienne commune mesure à l’ensemble
des Peuples. Pour cela nous devons générer une
acculturation telle que plus aucun esprit ne
fasse allusion à une quelconque tradition, à un
quelconque sens de l’honneur, à un quelconque
désir d’évoluer, de progresser, et condition
sine qua non donc mettre en œuvre une propagande
totale sur nos vecteurs de pensées, les droits
de l’« homme » (de quel homme parlons-nous ?
Certainement pas de l’Etre-Humain mais bien de
l’esclave né !), l’inexistence des Races, des
Ethnies et conditionnellement des Peuples,
l’inexistence de l’Histoire qui doit être
réécrite, la déperdition des racines,
l’appauvrissement des cultures, le noyage des
religions par apport de multiples religions et
plus particulièrement les religions de la
soumission, la désintégration de l’Etre Humain
qui ne doit plus se considérer que comme un
sexe, et ne doit plus se considérer comme couple
mais comme une abstraction, le viol des Peuples
par métissage forcé et légiféré. Car pour
gouverner, Il nous faut détruire tout
comportement Humain, au sens strict du terme,
qui doit désormais se considérer comme un animal
servile, à notre profit exclusif bien entendu.
Pour se faire, il convient que nous prenions en
mains toutes les institutions internationales,
quelles qu’elles soient, et en créer de
nouvelles afin de faire valoir notre
domesticité. À commencer par cette organisation
des Nations Unies, ce fonds monétaire
international, cette organisation mondiale du
commerce, ainsi bien entendu que cette
organisation mondiale de la santé, et tutti
quanti. Convaincre et vaincre doivent être notre
déterminisme en chaque ramification existante.
Et pour celles et ceux qui veulent nous
combattre nous auront choix de les ignorer où
bien de les détruire, notre puissance monétaire
nous permettant, après qu’avoir infléchi les
lois de régulation la tenant enchaînée, de déjà
faire ce qu’il nous plaît à faire sur cette
planète qui désormais est en voie de notre
appartenance. Et n’est ce pas déjà le cas dans
le cœur de réunions que nous diligentons où se
précipitent tous les féaux de notre condition,
sublimés d’avoir été invités à leur contrition,
auxquels nous donnons les ordres qui se doivent
et qu’ils se doivent de suivre scrupuleusement,
faute de quoi leur est enlevé ce petit pouvoir
que nous leur laissons encore, braves esclaves
dont nous nous débarrasserons le moment venu
lorsqu’ils deviendront trop encombrants.
Ne soyons maintenant plus ce vent porteur de
cette histoire qui doit tout de même vous sauter
aux yeux, mais de simples Etres-Humains
regardants, tels des Aigles, le champ d’action
de ce coup d’état en marche. Que voyons-nous ?
Ni plus ni moins que la réalisation de cette
voie inverse à travers ce petit monde, une
unification dantesque des moyens de production
au mépris de l’esprit créatif entrepreneurial,
l’utilisation d’une main-d’œuvre sous payée à
travers le monde, la délocalisation de tous les
moyens de production vers des centres de profits
où l’Humain est considéré comme monnaie de
singe. Et s’il n’y avait que cela ! Une atrophie
intellectuelle sans limite, où se désignent à
grands renforts de médias les propagandistes
d’un mondialisme délétère, portant
l’insuffisance à la suffisance, dans tous les
domaines où l’esprit trouve encore place,
détrônant le moindre principe des valeurs pour
le remplacer par la bêtise, la débilité,
l’invariance de l’atonie, à l’image de leurs
porteurs, tout un monde de vanité que la vanité
sublime dans la congénitale distorsion du réel,
cette virtualité sur laquelle ce monde
s’instaure.
Tandis que se mènent d’autres fronts des plus
virulents, attisant la haine pour en dissoudre
la perception, en faire accroire l’irradiation
alors qu’ils ne sont que manipulation, allant du
terrorisme et de son fameux réseau aux mises en
traque d’autres pseudos réseaux discursifs,
talismans d’un accroire putride trouvant ses
libations dans le mensonge et la propagande la
plus débile que l’on ait pu inventer de par ce
monde, une propagande maladive, craintive,
créant ses propres Gestapo et ses propres Tcheka
pour s’auto protéger de la vérité qui parfois
surgit et réduit à néant l’agreement de la
purulence qui se voudrait règne. Les
négationnistes de l’Histoire Humaine comme de la
réalité Humaine sont aux commandes de cette
prostration de l’esprit, acculturant,
désintégrant, concassant, où tentant de le
faire, car la réalité ne se laisse impressionner
par ces fétus de paille qui ne sont que
poussière de l’Histoire Humaine et retourneront
irrémédiablement à la poussière. Les Etats comme
les Nations sont prouesses de ces carnassiers du
vivant, de ces tueurs nés des cultures, qui
alliés au terrorisme intellectuel menant les
enfants à l’illettrisme, l’incapacité de
réflexion, préparent le terreau de l’esclavage
le plus bestial que la terre ait connu.
Un esclavage composé, métissé, raciste par
excellence, car reniant les Races, car reniant
les Ethnies et les Peuples, reniant la réalité
bio geo historique de chaque élément de la
charpente Humaine, reniant toute culture pour la
culture de l’innommable, de la stérilité, de
l’infécondité, de l’étronisme institutionnalisé
conditionné par l’apologie de la difformité, de
l’exsangue, de l’incapacité, voyant la
créativité là où elle n’existe pas, dans ce
marais fétide de l’ignorance où la vocifération
est œuvre, où les chiures de mouches sont des
œuvres d’art, où la littérature n’est plus que
pantomime de pantins articulés par le
soulagement fécal et urinaire, prose de larbins
assoiffés de prébendes, où le cinéma n’est plus
que bestialité encensant le crime et le
déshonneur que l’on présente comme chef-d’œuvre.
Ici se tient le lieu de la prostitution de
l’Esprit, de la contrebande de la pensée, et y
sont remerciés par tout le déshonneur ambiant
les opiacés de la destruction, les pédophiles et
les criminels de la plume, ces
pseudo-philosophes du mondialisme errant, tous
ces avatars de la pourriture qui font œuvre pour
cet esclavagisme qui se voudrait grand prêtre de
ce monde !
Pauvres fronts nantis et décatis qui font rire
toute personne censée, pauvres fronts sans
autres ambitions que la destruction qui se
voudraient phares de l’Humanité alors qu’ils en
sont la dérive ! Car à trop vouloir, on ne peut
plus se cacher ! Et c’est là qu’intervient la
réalité, devant cette provocation, ce
malthusianisme de la pensée, ce génocide de
l’Esprit, que tout un chacun constate dans les
moindres reflets de cette portée qui se veut
condition de notre avenir, ainsi pour désigner
les maîtres à penser et les maîtres à danser qui
d’ailleurs ne se cachent plus tellement ils
s’imaginent déjà les maîtres de ce monde,
agissant comme tels, d’une manière éhontée qui
ne peut qu’écœurer tous les Peuples devant leur
outrance, leur démesure, mais surtout leur
incapacité, leur incapacité créative, leur
incapacité à élever l’Etre-Humain, leur
incapacité à développer les capacités de
l’Humanité, si tellement confinés dans leurs
appâts du gain qu’ils en ont oublié
l’intelligence de gouverner, et voilà ce que
nous devrions les uns les autres admirer, cette
oligarchie qui voudrait étendre son pouvoir sur
toute la surface de ce monde qui ne leur
appartient pas plus et pas moins qu’aux autres
Etres-Humains !
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